Novlangue est un univers totalitaire inspiré de 1984 (G Orwell)
Ambiance Blade Runer, The Island, Total Recall, et tant d'autres où les libertés sont étranglées... Chut! Big Brother... La délation est l'arme des cafards...Bienvenue dans notre Monde!
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Suite pour violoncelle n°1
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Sujet: Ouverture du Wonderland Mar 28 Déc 2010 - 23:26
HJ : Je copie mon post d'introduction afin que l'on puisse reprendre sans se faire ***** à cliquer dans tous les sens avec plein d'onglets
Et on fait péter les watts !!!!!!!
Spoiler:
Phil aimait cette soirée, elle venait de débuter mais il l'adorait. Il avait travaillé dur afin d'achever ce projet-là et ce soir, il l'inaugurait. Il régnait déjà sur plusieurs restaurants de luxe, de bars branchées pour les gros bonnets de Novlangue accompagnés de leurs poupées plastiques assoiffées et autres lieux nocturnes destinés à satisfaire les désirs décadents des automates de cette société, mais il lui manquait le Wonderland. Toute sa vie il avait rêvé de ce lieu, paufinant les plans et imaginant sans cesse de nouveaux concepts, choisissant lui-même les éléments du décor et le mobilier. Tout était partit de lui, et tout s'était fait grâce à lui, personne d'autre que Phillip Mason n'aurait pu.
Le wonderland, cabaret et nightclub haut en couleur, vient d'ouvrir ses portes ! Ne ratez pas l'ouverture du nouveau lieu de divertissement des Entreprises Mason et faites un bond de 100 ans en arrière en plongeant dans l'ambiance art-déco du siècle dernier !
Il avait fait envoyer ces invitations à toute la haute société de la ville, privilégiant ceux avec qui il avait déjà de bons rapports afin de garantir sa publicité. Et ils viendraient, qu'avait donc bien pu leur concocter monsieur Mason ? Un nouveau coin de beauté et de luxe rien que pour eux ? Rien n'était moins sûr.
Les invités affluaient docilement, s'échangeant leurs interrogations quant à ce qui les attendait, chaque personne ou groupe fut accueilli avec un cocktail offert par la maison et pris place au comptoir, aux tables ou encore, resta debout autour de la scène. L'ambiance s'amorça facilement grâce à l'alcool de bienvenue et à la musique qui battait déjà son plein, et tous semblaient passer un bon début de soirée.
Il adorait cette soirée. D'autant plus grâce au contact de cette bouche qui lui dévorait les lèvres, le tout mêlé au whisky qui lui chauffait le corps des pieds à la tête, Phil s'éclatait. Plaqué contre le mur du bureau, sa proie lui enlaçait la tête à pleine main, tandis que Mason parcourait son corps à l'aide des siennes. Puis ce fut à son tour d'être collé violemment à la paroi. L'autre voulait jouer ? Ils allaient jouer. Il se dégagea de son étreinte au bout de quelques minutes et plaqua l'autre sur le bureau tout en commençant à lui ôter ses vêtements.
Bam ! Bam ! Bam !
- Phil ! On t'attend pour le discours ! hurla Henry, son meilleur ami et bras droit, à travers la porte.
Mason soupira et hôcha de la tête, tandis que sa proie continuait à se trémousser sur le bureau. Il se redressa et reboutonna sa chemise.
- Allez, j'ai un discours à faire, déclara-t-il. - Ça peut bien attendre cinq minutes ? demanda l'autre. - Il y a un temps pour tout tu sais. Un temps pour venir et un temps pour y aller. Et là c'est le temps d'y aller, répondit-il avec un clin d'oeil.
L'autre répondit par un sourire amusé tout en se rhabillant, puis Phil ouvrit la porte afin de les faire sortir et ils quitèrent la piéce.
- Allez, Henry ! s'exclama l'hôte de la soirée, tout excité. Allons divertir nos invités ! Tout est prêt ? - Ils n'attendent que toi mon brave, répondit Henry.
Alors que son invité s'éloignait déjà, les deux amis lui emboitèrent le pas.
- Oh, et surtout ne t'éloignes pas trop ! lui dit Phil avec un air espiègle. On a pas terminé. - Ne t'en fais pas, je ne compte pas m'éloigner du bar, répondit son flirt en souriant. - Alors, ce sera pour la maison, conclut Mason en le dévorant des yeux.
Ce soir, tout est permis, monsieur Mason accomplit son rêve. Alors que le brun dont il avait déjà oublié le prénom pris la direction du bar, Phil et Henry se dirigèrent vers la scène afin de lancer l'inauguration sous le feu des projecteurs.
- Allez, souhaites-moi bonne chance. Le spectacle commence, dit Phil avec un sourire enjoué. - Pour ton discours ou ce mec ? rétorqua Henry. - Oh le discours voyons ! Lui, c'est comme si c'était fait, répondit Mason en riant.
Henry prit le micro et attira l'attention sur eux :
- Mesdames, mesdemoiselles, messieurs. C'est avec un grand plaisir que ce soir, monsieur Phillip Mason vous présente le dernier lieux de divertissement des Entreprises Mason !
L'audience applaudit consciencieusement comme le voulait un tel moment et Phil put prendre le micro, un sourire jusqu'aux oreilles et frétillant d'excitation. Il adorait définitivement cette soirée.
- Merci tout d'abord à vous de vous être déplacés, commença-t-il. Je sais que beaucoup d'entre vous avait bien mieux à faire et c'est vraiment gentil d'être venu. Mais passons-nous des civilités et des discours ennuyeux à mourir pour ce soir, car ce soir, je ne veux surtout pas vous faire plus attendre. Alors, que la soirée commence et bienvenue au Wonderland.
Et sur ces mots, la salle entière se retrouva dans le noir. Un voile obscur venait de leur tomber dessus, emportant la musique avec lui. Ils étaient privés d'électricité et Phil bouillonait.
Dernière édition par Phil Mason le Ven 31 Déc 2010 - 15:30, édité 1 fois
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Lester
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Sujet: Re: Ouverture du Wonderland Jeu 30 Déc 2010 - 17:29
[J'ai eu pitié ! ] Lester traînait dehors, quand il avait entendu le bruit caractéristique du gloussement de la haute société. A la fois surpris et désespéré, il avait flairé le potentiel de la chose bien avant de comprendre ce qu'il se passait. Comme attiré tel un aimant, ses pieds l'avaient amené jusqu'à la file d'attente devant le « Wonderland ». Wonderland, un drôle de nom pour une boite de nuit branchée. Lorsqu'il était jeune (cela remontait à plus de quatre ans déjà), il avait déjà visité ce genre d'établissement, de temps à autres, lorsqu'il faisait un effort pour se comporter comme ses pairs.
Drogue, alcool, sexe. Tout y passait, et rien qu'à l'évocation de ses souvenirs de fêtard shooté, il se mit à saliver tel Pavloff, le chien. Drogue. Putain, il allait peut-être pouvoir se soulager un peu.
Mais pour le moment, sa tête l'élançait et son visage émacié faisait plutôt penser à un cadavre. De son apparence, il s'en fichait. Tans pis si ces rangers étaient un peu sale, son pantalon plus tout à fait blanc, et son T-shirt un peu imprégné de sueur. La matraque ceint à sa hanche permettrait de couper court aux rabats-joie.
Alors il intégra le rang, poussant quelques dindes et jeunes automates au passage, et malgré leurs protestations, rentra dans le « Wonderland » !
Spoiler:
Musique !
- Waow... Putain ! En temps normal il était plutôt poli, mais pas quand il rentre dans le temple de la dope !
C'était, incroyable. Des riches, partout, vautrés, qui consommaient, encore et encore. On aurait dit des porcs en train d'être engraissés. Et le mobilier ! Putain, il avait l'impression d'être revenu des années dans le passé, un passé fantasmé et enlaidi, extravagant et bourratif. Un passé haut en couleur et en bruit.
Maintenant, son objectif.
La masse de gens s'était faite plus compacte et le mouvement de foule l'empêchait de progresser avec rapidité. Malgré son mètre quatre-vingt sept, Lester se sentait balloté par la marée, parfois buvait la tasse dans une voisine odorante, se prenait une énième volaille. Parfois des mains chapardeuses s'agrippaient à son vinyle, d'autres se frottaient à lui. Mon dieu, il n'était plus fait pour cette sauvagerie !
Un peu d'espace s'était libéré devant lui, alors il passa à travers la brèche pour déboucher... devant le bar. Il tourna la tête, essaya d'apercevoir un quelconque sachet de poudre, mais n'y parvint pas tellement les bourgeois étaient remuants. Au même moment, un homme pris un micro et se mit à parler. Des platitude, du lissage de caniche frisé. Lester ne daigna pas écouter et se paya un verre en sortant une énorme liasse de billets.
Ben oui, il avait pas l'air comme ça, mais il était plutôt aisé. Merci le gouvernement, de bien engraisser tes porcs... - Le plus cher, ou le plus fort. Je m'en pète.
Il s'assit sur un tabouret et, du haut de son perchoir, il espéra pouvoir admirer les environs et repérer son objectif. Quelqu'un, n'importe qui.
Ses lèvres se trempèrent dans le breuvage bleuté qui crépitait. Une âcre odeur de gingembre et de cannelle flottait à ses narines et du métal en fusion rinça son œsophage. Il faillit déglutir sous le coup de la surprise. *M'a pas volé le type !*
Et puis BLAM. Plus de courant. Le noir total, le cacottement des poules. L'horreur !
Automate Nous sommes Dieu...
Phil Mason
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Sujet: Re: Ouverture du Wonderland Ven 31 Déc 2010 - 16:17
Du noir. En haut, en bas, gauche, droite, devant, derrière, l'obscurité c'était abattu violemment, suivie de cri d'étonnement général. Il ne fallut pas attendre pour entendre les premiers gloussements de peur émanant de la foule bourgeoise. Il fallait réagir vite afin de garder le public sous contrôle et éviter l'émeute, dans un endroit aussi clos et bondé que le Wonderland ce soir là, c'était le carnage assuré. Et Phillip ne voulait surtout pas voir tous ses portefeuilles ambulants se piétiner à mort dans le chaos le plus total. Il n'y avait plus qu'à espérer que les employés et la sécurité arrivent à accéder au local matériel afin de ramener les lampes torches et les projecteur portables prévus pour les représentations.
Alors qu'il essayait de ne pas prendre l'orientation en évitant de bouger, une main s'abattit sur son épaule, ce qui manqua de lui coller une attaque cardiaque.
- C'est moi, s'annonça Henry. Je viens d'avoir les gars sur le talkie, ils se rendent à la remise mais ils en chient. - Le talkie ? demanda Phil. - On organise pas une soirée de cette ampleur sans pouvoir communiquer en permanence avec son équipe. Règle n°6. - C'est moi qui t'ai appris ça ! se rappela Mason. - Faut croire que tu as été un bon prof'. Sinon, une fois que la lumière est un semblant rétablit on fait quoi ? - On a un mégaphone ? Un truc du genre ? - Un mégaphone ? - Oui ! Un putain de mégaphone ! Tu sais bien, on s'en sert quand on veut donner de l'effet au micro lors des soirées. Un mégaphone nom de dieu ! On en a ou pas ?! s'impatienta Phil. - Oui, oui,il doit y avoir cela. Je demande. - Ok, ok, fais ça. - Ça va le faire, t'en fais pas, dit Henry en tentant de le calmer. - Oh oui, je suis complètement bourré au milieu de la scène, ma clientèle panique et on a plus de courant. Mais ça va le faire !
En attendant que les lampes arrivent, les barmen eurent une brillante idée, ils craquèrent autant de tube phosphorescent que possible, produisant un faible halo de lumière autour du bar. Un minuscule repère dans une salle noire, mais qui réussit plus ou moins à calmer le public. Deux minutes plus tard, les premiers faisceaux de lumière firent leur apparition depuis les couloirs menant à la salle principale. Les employés jouèrent des coudes pour se frayer un chemin parmi la foule, harcelés par les questions que leur fustigeait l'assemblée, et au bout d'un moment, parvinrent à installer les projecteurs portables, rétablissement partiellement la lumière et de manière inégale. On apporta le mégaphone à Phil, qui put enfin prendre la parole et essayer de calmer tout le monde d'un ton détaché :
- Bien, votre attention s'il vous plait ! tonna-t-il afin de faire le silence. Comme nous l'avons tous constaté, il y a une panne de courant, mais nous faisons tout ce que nous pouvons afin d'y remédier et de savoir quand le courant sera rétabli. En attendant, je vous invite à rester calme, l'agitation ne mènera à rien. Merci.
La foule commença à râler, chacun grommelant avec son voisin comme quoi ceci était bizarre, inadmissible, ou encore scandaleux. Pendant ce temps de répit, Phil se pencha à l'attention d'Henry.
- On a réussi à joindre l'extérieur ? demanda-t-il. - Non, les lignes sont coupées elles aussi. On dirait qu'il n'y a plus un volt dans toute la ville. - Putain de bordel de merde. Et on fait quoi alors ? - On attend d'en savoir plus, un nos gars de la sécurité vient de partir dehors pour voir s'il trouve pas quelqu'un qui en saurait plus. - Bien, espérons qu'il ne mette pas trois heures, sinon je le vire.
Sur ces mots, il descendit de scène et traversa la foule en faisant des sourires et clamant Je m'en occupe à tout bout de champ, pour rejoindre le chef de la sécurité qui se trouvait près du bar. Il lui fit signe de le rejoindre au comptoir et ils s'accoudèrent au zinc. On servit immédiatement un scotch seize ans d'âge au propriétaire, dans un pur réflexe de bon employé conditionné. Phil remarqua une personne pour le moins singulière à la droite de son employé, un homme aux cheveux hérissés, entièrement vêtu de blanc et l'air plutôt maussade. Par contre la tenue en vinyle blanc, c'était la grande classe pensa-t-il. Enfin quelque chose d'original et non conventionnel. Phil adorait les gens qui sortaient du lot, soit par leur apparence, soit comme lui par leur personnalité. Phil avait certes beaucoup de points de communs avec le reste des automates, mais c'était lui qui leur faisait sortir le portefeuille, lui qui les abreuvait et les gavait à des prix exorbitants, lui qui était au sommet de la chaîne consumériste, ça, il en était convaincu. Il salua donc de la tête et avec un grand sourire ce singulier personnage :
- J'adore la tenue ! s'exclama-t-il.
Puis il enchaîna direct avec son subalterne, ce dernier lui faisant un bilan de la situation.
Dernière édition par Phil Mason le Mar 4 Jan 2011 - 23:43, édité 2 fois
Orthodoxe Esclave de corps et d'esprit
Evra
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Sujet: Re: Ouverture du Wonderland Ven 31 Déc 2010 - 20:18
Derniers réglages avant d'entrer: on se recoiffe, on s'épouste, on réajuste la robe afin que le décolté soit parfait, et la voilà fin prête pour mettre l'embiance la plus lugurbre à cette soirée de snob. Mais faut avouer que ce n'est pas évident de se préparer à la lueur d'une lampe de poche. A bas les coupures de courant!
- Tu sais ce qu'il y a de mieux dans ce genre de batiment? Les entrées de service! J'adore les entrées de service. Tu entre sans être vu à des fête où t'es même pas invité! - Et moi j'adore les vigiles qui gardes les entrées de service, surtout quand c'est moi qui dois me les faire!
En effet, comme ils ne pouvaient pas entrée pas la porte principale, plus gardée et controlée que les portes de la maison blanche, Evra et Leg' avaient dut empreinter l'entrée de service. Mais faut savoir que dans ce genre d'endroit, les entrées de service ne sont pas "géniale" comme le prétendait Leg'. Il fallait bien que quelqu'un les surveille. Et qui dit vigile, dit plus vigile. Evra lui avait laissé un souvenir dont il se souviendrait jusqu'à la fin de sa mort. La coupure de courant avait eu lieu jsute au moment où le vigile avait touché le sol. Hasard assez troublant, mais bon. Evra s'inspecta encore une dernière fois, et en baissant les yeux sur ses chaussure:
- Ah, merde! - Quoi? - Une tache de sang sur ma chaussure! - Hein? Où tu vois une tâche de sang?
Faut dire que rapérer une minuscule tâche de sang sur des chaussure noires laquées ce n'est pas chose facile!
- T'en fous! Les gens regarderont ton cul, pas tes pieds.
Evra gromela un petit connard inodible puis s'approche d'une porte.
- Les voix viennent de là. Ce doit être la bonne porte... Eteind ta lampe de poche, ils sont sûrement dans le noir.
Et se fut leur tour d'être dans le noir. Evra sentit les mains de Leg' se poser sur ses fesses.
- Mais qu'est-ce que tu fous? - Ben je me tiens à toi pour ne pas te perdre. - Ben voyons!
Et les mains remontère pour s'acrocher aux épaules. Il était au courant qu'il fallait toujours se méfier d'Evra. La jeune femme ouvrit doucement la porte et ensemble ils avancèrent dans la salle où résonnait des centaines de murmures de crainte dûs à l'obscurité. La porte se refèrma dérière eux et plus rien. Du moin pendant quelques minutes. Car ces putains de snobs demandèrent que la lumière soit, et la lumière fut. Certe faible, mais elle fut. Leg' se décrocha donc des épaule et partie d'un côté.
- Leg'!Où tu vas? - Ben je part à la chasse aux minous! - Et tu me laisses seule? - Mais t'inquiète pas, je finirai par le tien. Faut toujours garder le meilleur pour la fin! - Evidement...
Evra sourit. Legolas était un beau salaud qui aimait jouer de son charme pour obtenir tout ce qu'il veut, mais Evra l'aimait bien. Ce fut sur ces de'rnier mots que les deux amis se séparèrent. Car, oui, ils étaient amis. Croyez le ou non, lorsqu'on est fou, on a plus de chance de trouver des bonnes relations. Enfin seule, Evra scruta la foule à la recherche de sa prochaine victime. Un homme au bar attira son attention. En même temps, sa dégaine le démarquait des autre: tenue blanche flachie, et cheuveux noir comme la mort. Elle s'installa donc près de lui et commanda un mojito, et...
*Oh! Joder!*
Voilà qu'un autre type se pointe pour le saluer.
*'Tain, dégage, tapette, c'est ma victime!* fut ce qu'elle brulait d'envie de lui dire. Mais en tant que fausse snob, elle se devait de rester courtoise. Elle garda donc le silence. Par chance, il ne continua pas sur sa lancé, et Evra put continuer son opération séduction.
- Excusez-moi, fit-elle à l'intention de l'inconnu. Mais ne nous sommes-nous pas déjà rencontré?
Cul-cul comme tentative d'aproche, mais en général ça marche pas mal. Et puis, cette sensation de l'avoir déjà rencontré était belle et bien réelle...
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Lester
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Sujet: Re: Ouverture du Wonderland Mar 4 Jan 2011 - 21:24
[Le temps joue hélas un peu contre moi ce soir. Je ferais mieux la prochaine fois !]
Lester était donc assis. Il avait fini son verre et demeurait à regarder autours de lui. L'obscurité ne le dérangeait pas, enfin pas à la base. Avec toute cette concentration de la haute, amassée comme des sardines dans cet espèce de mi-clos baroque, il eut une bouffée de chaleur. Aussitôt, ses yeux roulèrent de ses orbites et il se prit à se toucher le front. Évidemment, il était chaud. La fièvre commençait à monter, et à chaque inspiration, profondément, la douleur se faisait de moins en moins ténue. Enfant monstre qui grandit et dévore, toujours plus, et hurle, encore et encore, jusqu'à s'en faire péter les cordes vocales. Pour le moment, le bruit de fond de sa souffrance n'était qu'un cri lointain et crissant, au loin, qui lui parvenait entre deux gloussements.
Un semblant de lumière réapparut lorsque des néons se firent voir. Lester trouvait cela joli. Agressif, mais beau. N'y avait-il pas une seule chose dans ce monde même qui ne nécessitât pas de violence, même un tout petit peu, ou au moins un peu de souffrance ? Le contre-exemple ne lui venait pas à l'esprit, et son cerveau embrumé ne pouvait pas suivre une telle cadence. Il abandonna là sa réflexion, à peine quelques secondes après l'avoir entamé. En tout cas reçut-il à côté de lui une grande colonne incandescente bleue électrique qui irradiait son visage et ses vêtements. Le blanc s'était coloré, mais ça n'empêchait pas l'homme de le dévisager.
L'homme ? Oui, il y avait un homme, à deux pas de lui, qui l'avait regardé, avant que ses lèvres ne remuent presque imperceptiblement. Lester, parmi le vacarme, crût entendre les mots « adorer » et « tenue ». Ses yeux se voilèrent un instant durant et ses sourcils s'arquèrent. Sa moue s'était renforcée. -Merci.... mâchonna-t-il. Qu'aurait-il pu lui dire, de toute manière ? Un simple discours superflu, pour meubler le vide. Cet homme était nerveux, Lester le présentait. Alors, en s'approchant de plus près, il réalisa la richesse de sa tenue, son maintien hautain et son manière de dévisager les lieux. Oui, il lorgnait sur les murs, le barman, le sol. Enfin tout ! Il n'était pas un client, il semblait être gonflé d'orgueil (et de stress) devant le Wonderland, comme s'il possédait l'endroit. Un actionnaire, un propriétaire, ou juste un automate mégalomane ? Sans doute les trois à la fois, ou alors un client un peu étrange. A moins qu'encore une fois, ce soit-lui même qui se trompe. Dérivait-il à ce point là ? Déjà il s'était détourné de lui. Il n'avait été conscient de sa présence que le temps d'un battement de cils. Et encore, jamais il n'aurait pensé pouvoir intéresser un homme de son genre aussi longtemps !
Mais il n'eut pas le temps de questionner l'individu qu'un second se présenta à lui. Une femme cette fois-ci, une sans-gène de basse extraction, reconnut-il. Dès la première parole, il sentit qu'elle n'était pas dans son élément, pas au sens propre du terme : elle imitait bien les riches, elle parlait avec aisance ou se fondait dans la masse. Rien en elle ne lui était préjudiciable, et pourtant. Elle ne devrait pas être là. Point final. A moins que...
- Non, je ne pense pas. dit-il sans ne serait-ce que tourner la tête de son verre. Les émotions, les gens, trop pour lui ce soir. Il ne se rappelait pas du timbre de sa voix. Juste une étrange sensation, à mi-chemin entre un souvenir flou, caché, et un mot coincé sur le bout de la langue, qui démange et chatouille. Le manque sans doute, la fièvre qui montait. Trop longtemp, sevrage forcé. Il croyait bien qu'il allait mourir s'il n'en trouvait pas.
Ne surtout pas perdre le fil. Absolument pas. - Auriez-vous envie de quelque chose ? Et je vous invite mademoiselle. Agiter l'argent, voilà la solution. Elle devait savoir où il y en a, elle, et lui il avait l'argent. A deux ils pourraient s'auto-aider. Du moins l'espérait-il. - des tickets pour le paradis. Il ne connaissait aucune femme, surtout d'entre les civils, qui refuserait une telle offre. Ce serait jour de fête pour elle, et délivrance pour lui ! Il s'était tourné vers l'autre homme ; son invitation valait pour lui aussi. Tant pis s'il avait l'air con : il multipliait les chances, et c'est ce qu'il y avait de plus important.
Alors, seulement, un sourire étira ses lèvres. Il voyait enfin la lumière au bout du tunnel, une lumière bleue et tamisée, qui exhalait l'alcool et la poudre blanche. Douceure artificielle
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Sacha
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Sujet: Re: Ouverture du Wonderland Jeu 6 Jan 2011 - 15:36
Une éternité a marcher dans le froid et la nuit, une éternité de quelques minute a essayer de ne pas se perdre, de ne pas lâcher sa main. Elle ne te perdra pas joli Jude, toi qui a trouvé ta place dans son cœur, au chaud sous les premières couches de son épiderme qui frissonne encore de ce contact tout nouveau. Elle n'a pas envie de s'habituer a ça, t'avoir dans la peau, toi le petit Jude qui grandit mais qui restera toujours petit pour elle. Que chaque jour elle soit surprise en ouvrant les yeux au matin de te sentir encore et toujours remuer doucement sous sa peau.
Elle trébuche sur les reste d'un tapis rouge que la tempête a trempé, a moitié retourné malgré les clous qui le tenais fixé au trottoir, et qui commence a le déchirer. Elle le suis des yeux, il y'a une porte au bout, une grande porte toute neuve surmontée de l'inimitable logo des entreprises Mason et de l'enseigne « Wonderland »
Ah tient, maintenant qu'elle voit ça, elle se rappelle vaguement avoir reçut une invitation pour l'inauguration de ce truc, peut être même qu'elle y serai allée si elle ne s'était pas faite enlever le cœur entre temps.
Elle montre du doigt la porte à Jude et l'entraine.
Elle tire sur la poignée de la porte, fermée, évidement, soirée privée, avec la coupure de courant ils ont du prendre certaines précautions. Elle frappe, et miracle, la porte s'ouvre sur un gorille en costume sombre a l'air peu commode.
Il détaille le couple trempé des pieds a la tête d'un air peu amène, il attendait le retour de son collège parti chercher des infos, alors se retrouver face a ça... Lui en chemise elle en robe de soirée mais avec un manteau quasiment informe sous laquelle elle porte une veste de costume les deux avec un sac sur le dos.
-Vous voulez quoi !?!
Agressif.
-Il pleut...
-Et alors, j'm'en fout moi.
-... Et nous espérions pouvoir nous abriter dans le hall pour quelque instants.
Encore un coup d'oeil calculateur de la tête aux pieds, elle est mignone, si elle avait été toute seule, pourquoi pas, mais l'autre la, non, pas question.
-Dégagez.
Bon, il est peut être temps d'enfiler a nouveau le costume de la parfaite petite automate.
-Est ce que vous savez qui je suis ?
Elle a pris le ton le plus hautain qu'elle aie en réserve, celui dont elle se sert uniquement pour parler a ce genre de personnes. Ceux qui croient briller par ce qu'il sont proche de la lumière.
-Qu'est ce que ça peut me faire ?
-Eh bien, je crains que si Phil, monsieur Mason, pardonnez moi, apprenais un jour que vous m'ayez refusé l'entrée, il ne fasse de votre vie un véritable enfer. Je conçoit tout a fait que notre tenue ne soit pas tout a fait appropriée, mais voyez-vous, même cela ne sera pas une bonne raison quand vous devrez lui rendre des compte, et croyez moi, vous en aurez a lui rendre... Au fait, je suppose que vous avez un nom, pourrais-je le connaître je vous prie ?
Était-ce le ton ? Ou l'attitude ? A moins que ce ne soit ce regard glacial qu'elle lui lançait en parlant et qui le faisait sentir tout petit, toujours est-il qu'il attrapa le talkie qu'il avait a la ceinture pour appeler un chef quelconque et le prévenir de l'arrivée de deux invités supplémentaires. En remerciement il eu droit a l'un des sourires de commandes de Sacha, froid, pratique et plein d'angles, pire qu'une cuisine ikéa.
Elle passa devant l'homme entraînant Jude a qui elle jeta un regard inquiet, il n'avait sûrement pas aimé ce qu'il venait de voir, elle n'avait fait que revêtir ce costume qu'elle portait tout les jours et dans le quel elle se sentait a l'étroit, mal a l'aise. Elle s'arrêta plus loin dans le hall, loin de l'homme qui avait refermé la porte a clé, et fit face a Jude, cherchant le reproche et la déception dans ses yeux, elle avait fait ce qu'il fallait, elle le savait, mais lui, il ne connaissait pas cette Sacha la...
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Phil Mason
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Sujet: Re: Ouverture du Wonderland Sam 8 Jan 2011 - 13:57
Le verre de scotch à la main, Phil écoutait d'une oreille distraite le chef de la sécurité qui, au final, ne lui apprenait rien de nouveau. Henry faisait décidément un excellent bras droit et pour rien au monde il ne se séparerait de son meilleur ami. Il lui arrivait même de penser à lui léguer la direction le jour où l'envie d'une retraite lui tomberait dessus. Pendant que son employé lui parlait, Phil passait toute la salle en revue, balayant chaque détail du regard, un spot mal placé, les gens plus qu'importants qu'il allait falloir choyer, les verres vides qui trainaient trop à son goût et qui pouvait devenir une arme en cas de bagarre. Même si le public présent ce soir, trop soucieux de son image, n'était pas du genre à en venir aux mains, il ne prendrait pas de risques.
- Dites au personnel de continuer le service, ce n'est pas une panne de courant qui doit nous arrêter, qu'il resserve à boire, qu'il débarrasse les tables, et qu'il soit aux petits soins de nos invités, est-ce clair ? coupa-t-il. - Oui monsieur, répondit le chef de la sécurité. - Bien, allez-voir Henry, il vous indiquera les personnes les plus importantes. Qu'on leur taille des pipes s'il le faut, mais ils doivent repartir avec une impression pas si mauvaise. Il ne faudrait pas voir la prime de Noël s'envoler, arriva-t-il à plaisanter.
Le responsable s'en alla et Phil posa ses coudes sur le comptoir avant d'enfouir son visage dans ses mains, les faisant glisser le long de ses joues, à deux doigts d'hurler. A ce moment là, la personne dont il avait complimenté la tenue s'adressa à quelqu'un à voix haute.
- Auriez-vous envie de quelque chose ? Et je vous invite mademoiselle.
Il y en a qui ne perde pas le Nord, même dans une situation comme celle-ci. Après tout, se dit Phil, il a raison, il ne laisse pas pourrir sa soirée par une panne de courant. Intéressant ce gars.
- des tickets pour le paradis.
Il eu envie de rire. Il adorait quand les gens sortaient des métaphores aussi bas de gamme. Il s'approcha alors de ses deux voisins et les invita :
- Avec plaisir, dit-il en finissant d'un trait son verre. Mais c'est pour la maison, avec tout son bordel, on vous doit bien cela.
Tandis qu'on les servait, une vieille connaissance fit son apparition dans la pièce, accompagnée par un homme et tous deux trempés des pieds à la tête.
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Isÿlin
Age : 38Mes RPs : Isÿlin, Lettre anonyme,Ouverture du Wonderland Fan Club RP : 0 Fichier Edvige ♫ ♪♪ Particularité : Un peu d'histoire:
Sujet: Re: Ouverture du Wonderland Sam 15 Jan 2011 - 19:53
Isÿlin sortis son invitation de la poche de son short noir et le tendit au portier sans même le regarder. Son esprit était ailleurs, déjà plongé dans le Wonderland, ressassant le visage de ses derniers clients. - Tenez c'est pour vous! Lui lança le portier qui le sorti de sa rêverie. - Hein? L'homme lui tendit une petite boite noir, un écrin. Isÿlin fut surpris et regarda l'homme interrogé. - Une dame m'a demandé de remettre ceci à un jeune homme roux aux yeux vairon qui présenterait une invitation, je présume que c'est vous... - Heu... Ouai, merci. - Bonne soirée, puis il invita le jeune homme à entrer. Isÿlin posa son parapluie et son manteau au vestiaire, puis intrigué par le cube, l'ouvrit. Dedans se trouvait un petit mot ainsi qu'un pendentif noir semblant être fait d'onyx, de forme oblongue.
Petit mot:
Met le et rejoint moi dans le troisième toilette
Isÿlin en bon valkyrie se mit l'objet autour du cou - après tout, si cela fait parti du trip de cette bourgeoise - et rentra dans la salle bondé de ce nouveau lieu.
Isÿlin se fraya un chemin a travers les corps qui se mouvaient au rythme de la musique, cependant il ne pouvait s'empêcher de vouloir danser - Allé juste une - Et il se mit a bouger comme on lui avait appris au centre d'éducation des valkyrie. Le son était tellement bon qu'il ne faisait plus attention aux autres autour de lui et laissait libre court à son imagination. A ce moment la une chaleur se fit sentir sur sa poitrine. Isÿlin regarda son torse et remarqua, malgré la lumière des stroboscopes et autres projecteurs, que le pendentif scintillait comme si des petites lucioles dansaient, emprisonnées dans la goute. Puis s'éteignit. Il se rappela qu'il devait trouver les toilettes et continua donc à traverser la salle pour les atteindre. A présent au calme dans ceux-ci, Isÿlin s'approcha de la troisième porte et toqua: - Oui? c'est occupé!! - Heu... c'est moi, Isÿlin...! La porte s'ouvrit et une main aux ongles vernis et aux doigts garnis de bagues aussi grosses les unes que les autres se refermèrent sur la bretelle d'Isÿlin et l'entraina à l'intérieur avec force. - Oh! Isÿlin, mon bel Isÿlin tu es la, huunnnnmmm, tu es la! Il n'avait même pas eu le temps de voir le visage de la femme hystérique qui s'était blottis dans ses bras et qui le caressait de toute part comme une poupée qu'elle venait de retrouver tout en gémissant. Le jeune homme la repoussa légèrement, pour voir cette femme blonde habillé en tailleur crème. Elle leva les yeux vers lui avec un léger sourire, qui rempli son visage des quelques rides corrigé par une chirurgie esthétique: - Martha ?! s'étonna-t-il - Tu ne t'attendais pas à me voir hein? - He nan, cela doit bien faire 2 mois que je ne vous avais pas vu, vu le cachet je me suis dis que ce devait être quelqu'un de récent. - Oh tu as mis ma création! Isÿlin regarda le collier. C'est bien, tu vas en avoir besoin, Oh Isÿlin serre moi! Il s'exécuta. - Pourquoi étai-ce aussi urgent de ce voir Martha? Murmura-t-il a son oreille. La femme s'arrêta de respirer et se raidit. Puis commença a marmonner les yeux dans le vide. Elle le regarda, puis sortis précipitamment du toilette. - SORTEZZZZZZZZZZZZZ bande de connard SORTEZZZZZZ d'ici!!! Hurla-t-elle aux personnes présentent dans la pièce surpris la plus part d'entre eux sortirent, Sauf une jeune femme. Isÿlin observait la scène interloqué. - Nan mais qu'est-ce qu'elle veux la vielle hystérique, et s'avança vers la femme essoufflée. - Toi m'cherche pas ptite conne! Fait c'que j'te dis et casse toi d'la! - Oula !!! Ma salope tu m'parle autrement ,j'vais t'péter la gueule. Martha leva sa jambe, lui planta son talon dans le pied et lui plaqua la tête contre l'évier, Casse toi je t'ai dis petite pute! L'automate avait beau avoir la soixantaine, elle avait gardé tout sa force. La jeune femme blessé sorti en boitant, les cheveux hirsute. Martha sorti de la poche de son tailleur une sorte de briquet qu'elle passa sur la poigné de la porte. Le meta commença a fondre et a s'incruster dans le mur. Isÿlin était impressionné. - Mais... mais, comment... - Laisses tomber mon petit ce serait trop long a t'expliquer, elle tortillait ses doigts, maintenant que nous sommes seul je vais te dire deux trois trucs qui t'aideront plus tard, quand... elle s'arrêta et s'approcha du garçon en le fixant droit dans les yeux. - Les évènements récents qui se produisent vont aggravée, je ne peux pas t'en dire plus. Je fait parti d'une chose encore plus grande que le conseille des automates et je sais que les choses ne vont pas s'arrêter. Ce collier à été fabriqué pour préparé les plus fortuné de la Nouvelle Europe à affronté ce qui ce prépare... c'est une sorte de booster de capacité, il se manifeste différemment selon les personnes. Elle se tenais a présent tout prêt de lui. Embrasse moi. Isÿlin était confus - le temps va s'aggraver? - les yeux sinistre de la femme brillait de chagrin. Il eu pitié et l'embrassa. Il sentis dans sa poche arrière qu'elle lui glissait quelque chose, mais avant de pouvoir mettre la main, il se retrouva par terre avec la femme sur lui. - Maintenant, baise moi! Elle sorti un chèque pré-remplis, four moi et remplis moi! L'argent l'excitait et à la vue du chèque signé de la femme et de tout ces chiffres il oublia les dires et l'hystérie précédente de la femme. Il la plaqua contre le sol et plongea sa tête entre ses seins siliconés et arracha son tailleur, elle aimait ça qu'il soi sauvage. Il le savait, les préliminaires n'étaient pas son truc et après lui avoir lubrifier les lèvres avec sa langue, il sorti son membre brulant d'excitation et la pénétra d'un coup sec comme une vulgaire poupée gonflable. Elle hurla de ce plaisir douloureux. Isÿlin savait ce que la femme aimait, cela faisait un ans qu'elle venait toute les semaine se faire chevauché par ce grand roux. Elle se cambra a chaque coups de reins du valkyrie tout en gémissant. Ses mains posées sur les lunes charnues du jeune homme se contractaient et venait le tirer plus profondément dans l'automate. L'excitation était à son paroxysme pour les deux faux amants qui gémissaient quasi à l'unisson et Isÿlin lâcha sa chaude semence qui vin déborder d'entre les cuisse de la femme. Il se retira et elle trempa ses doigt dans son orifice pour en étaler jusqu'à son nombril. - Isÿlin, dit-elle toute essoufflée, apporte moi du papier. Pffiouuu, ahaha je ne sent plus mes jambes. Merci. Elle s'essuya et remis les vêtements qu'elle pu. Le jeune homme lui s'essuya également et se rinça la queue sous l'eau du robinet. - Hum cache moi ce monstre, j'en redemanderais. Isÿlin rigola en regardant la femme dans le miroir, qui se remaquillait. Tien prend ça, et ouvre la porte tu n'as qu'à appuyer sur "Rtn", le garçon s'exécuta et la poignée se reforma. Soudain, la pièce plongea dans le noir! et les gens de l'autre coté commencèrent a crié d'étonnement. Martha sursauta, elle écouta le bruit aux alentours. Un homme parla dans un mégaphone pour calmer l'agitation qui commençai. L'automate se précipita sur Isÿlin:
- Ça va commencé!! Elle tremblais, je dois partir, fait attention à toi! elle l'embrassa sur la joue et sorti en courant des toilettes. Lui sorti doucement de la salle, autour de lui tout le monde s'agitait et bougonnais. Tout ce sport lui avait donné envi de boire quelque chose. Ce n'était pas parce qu'il faisait noir qu'il n'allait pas consommer. Il s'avança au bar et demanda à l'homme qui venait d'offrir un verre a deux personne s'il pouvait lui servir une consommation offerte avec son ticket. En baissant la tête pour prendre son ticket Il se rendit compte qu'il tenait encore l'objet de Martha.
Orthodoxe Esclave de corps et d'esprit
Evra
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Sujet: Re: Ouverture du Wonderland Dim 16 Jan 2011 - 16:25
L'homme en blanc ne fut pas très enchanté de la voir. La manière dont il l'avait à moitier ignoré, en restant fixé sur son verre au lieu de la regarder comme toute personne normale et polie. Elle n'aimait pas qu'on ne s'interresse pas à elle.
Mais ce qui lui déplut encore plus, ce fut qu'en suite il lui secoua de l'argent devant le nez tout en lui proposant un ticket pour le paradie.
*Nan, mais pour qui il me prend celui là? Pour une pute, peut-être? J'ai une gueule de valkirie?*
Les poings sérés, les muscle contractés, l'ésprit embrasé pas la colère, Evra n'avait qu'une envie: tuer ce salaud. Mais elle eut le reflexe de se resaisir à temps. Si elle assassinait ce type devant toute ces personnes, elle aurait peu de chance de sortir vivante de cette sale bondée.
Jouer les femme totalement conne qui ne comprend rien à rien fut une meilleure conclusion selon elle. Elle prit donc la tête de celle qui se dit: "Mais kekidit cuilà?" et demanda:
- Qu'entendez vous par "un ticket pour le... "paradie"?
Un petit regard en coin accompanié de son plus beau sourir de star et...
*Et merde! Revoilà l'autre tapette qui revient à la charge. Nan mais oh! J'te tue maintenant ou après mon jolie?*
Re-sourir de star, un poil faux cul, cette fois-ci adressé à l'autre homme
- Bonjour monsieur. C'est aimable à vous de nous inviter ainsi. *Et vraiment très chiant* C'est vous qui organisez cette... *fête pour couillons friqués* réception?
Evra devait fournir un effort considérable pour ne pas exprimer librement ce qu'elle avait sur le coeur, et pour parler comme tous ces snobs. Mais elle y arrivait. Difficilement, mais elle y arrivait. Être un caméléon, ce n'est pas chose facile.
Mentaliste Le destin bat les cartes, nous jouons
Lester
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Sujet: Re: Ouverture du Wonderland Mar 18 Jan 2011 - 9:45
Lester, finalement, se trouva dans une position assez agréable, dans la mesure où ses souhaits étaient sur le point d’être exaucés. Comme quoi, même dans sa malchance, il avait encore eu le cul bordé de spätzele ! Il avait bien fait de s’adresser aux deux personnes, puisque la femme avait l’air pour le moins incrédule. Pire, elle essayait de rattraper la situation comme le font d’habitude les dindes de la haute. Un sourire hypocrite sur les lèvres, l’air profondément amusée. - Eh bien euh… C’est vrai quoi, que pouvait-il répondre à cela. Dans pareil contexte, cela tombait sous le sens. Surtout qu’on ne disait pas ce genre de chose crûment, en publique, devant une assemblée de poules hystériques. Tout le monde en prenait, mais il fallait tout de même ménager les soupçons et faire semblant, que non, il était cleen. - De la dope quoi… Bon ben, quand il fallait sortir les gros mots… Autant ne pas tourner autours du pot, c’en serait d’autant plus risible.
L’homme semblait joyeux, même si apparemment, la situation ne devrait pas être aisée. Il aurait dû être décontenancé, stresser, courir en tout sens pour tenter de sauver la situation. A la place, l’homme paraissait si sur de lui, si tranquille. Une telle maîtrise était exemplaire, et Lester se prit à admirer son état de quiétude. Mais il savait également que bien souvent, il ne s’agissait que d’une façade. Peut-être était-il en plein stress à l’intérieur ?
Lester accepta avec joie cette perspective de ne pas payer. Après tout, même si l’état le payait grassement, ce ne serait pas un bon prétexte pour tout dépenser d’un coup. D’un autre côté, le manque qu’il ressentait l’empêchait d’être correctement lui-même. Il devait faire un effort surhumain pour rester lui aussi calme.
La douleur était moins sourde et arrivait progressivement, ne lui donnant pas même un froncement de sourcil. L’entraînement mentaliste n’y était pas étranger et il avait appris à accumuler, compresser, et ranger méticuleusement ses émotions et sensations au plus profond de son être. Il se contenta de ranger son argent, bien au chaud dans la poche de son pantalon en vinyle.
- Bon, au lieu de nous morfondre, profitons plutôt de la soirée. J’ai comme qui dirait l’envie de me détendre ! Je me demande toujours si je suis au bon endroit… Nouveau sourire faussement contrit, jusqu’à ce qu’un inconnu vienne leur rende visite et s’empare de son généreux donateur. Un instant, Lester sentit l’irritation le prendre. Un opportuniste (ne l’étaient-ils pas tous ?). Mais il considérait désormais l’automate comme son dû, sa porte vers l’euphorie et la non souffrance. Il ne permettrait pas qu’il lui passe sous le nez, aussi près du but.
Technique de maître de soi, et il reprit une face normale, aussi lisse que du béton. Ne pas se rabaisser à ce niveau. Il était un piètre mentaliste, mais un mentaliste tout de même ! Peut-être quelqu’un avait-il remarqué la brusque étincelle d’irritation qui était passée dans ses yeux. Furtive, mais brûlante.
Lester s’était mis de dos au comptoir, accoudé et pantelant. Il ne ressemblait qu’à un consommateur avachi, un de plus parmi la mêlée. Rien ne pouvait le différencier, en extérieur, à ces porcs engraissés aux privilèges, pourtant, à l’intérieur, la tempête grondait…