Novlangue est un univers totalitaire inspiré de 1984 (G Orwell)
Ambiance Blade Runer, The Island, Total Recall, et tant d'autres où les libertés sont étranglées... Chut! Big Brother... La délation est l'arme des cafards...Bienvenue dans notre Monde!
Age : 44Mes RPs : Il y eu un début.
En mission de reconnaissance ( Hyena )
Un verre de lait parfumé à la cerise ( April )
Coule Oeuvre et Un appartement comme tant d'autres ( liza et mélusine )
Faille, Novlangue vieillit de 100 ans.
Effervescence ( Blanche )
Treglocumox-tripholphene ( Zoltan Gladic )
A la recherche du temps perdu ( Lilith Asimov )
Contemplation ( Léna )
Journée de merde
Journée de merde (Suite) et Duck and Cover ( Avec April, Samuel, Lewis Golden, Dr. Fritzerman, Emilie, Newton, Eldon et Caroline, Hyena, Cornelius Thrope et Llewelyn )
C'est comme il l'avait dit et C'est comme il l'avait dit (Suite) ( Hyena )
Les murs ont des oreilles ( Avec Jade, Anouck, San'o Nyme, Sanay Fleo, Emilie et Karmine ) Fan Club RP : 26 Fichier Edvige ♫ ♪♪ Particularité : Un peu d'histoire:
Sujet: Parfois, tout va bien Dim 27 Fév 2011 - 22:33
Se sentir à l'étroit, sur un monde clos qui n'est pas le siens Et se dire que peu importe, tant qu'au final on se sens bien Fermer les yeux, laisser tomber les jugements, on fera mieux demain
Des envie de vivre plusieurs vies De danser tout nu sous la pluie Sauter dans les flaques à pieds joins Hurler à la lune que tout, tout va bien
Tant à faire, tant à voir Apprendre à jouer de la guitare Lire, parler, écrire, boire, Parler à des amis jusqu'à tard
Jouer à des jeux puérils Se dire qu'on grandira demain Et que les mois passent On ne cesse d'être un gamin
Pourquoi s'ennuyer, Laisser sa vie se consumer Comme une bougie allumée Dans un monde si fade et banal Je veux voyager, être en cavale Vivre comme dans les films Vivre de morceaux de rimes
Recoller les bouts de miroirs brisés Dans lesquels certains voient un étranger Moi dans le reflet je ne vois que moi Je me reconnais, de nouveau me conçois
Faire des rimes complétements chaotiques Un texte sans sens, sans direction, illogique Écrire sans but et sans inspiration, erratiques
Voyager par l'esprit, laisser tomber les choses matérielles Laisser couler l'encre, tracer, courber toujours de plus belle
Et se dire qu'on fera mieux demain.
Insurgé Libre, même dans l'esclavage
Krebs
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Sujet: Re: Parfois, tout va bien Sam 14 Mai 2011 - 16:51
Combien d'année coulent et roulent, Combien d'année dans le sablier ? Combien d'année glissent et se déroulent Me reste il assez de doigts pour compter ?
J'ai toujours vécu dans ce monde Comme une bulle de souvenir glacé je traine ma vie dans une seconde Une fraction de temps éternel figé
Instants suspendus, Jardins temporel de Babylone habités de statues Ici, Plus un bruit ne résonne
J'habite dans ces rues, Vides de mouvement J'habite dans ces appartements seule vie dont ils sont pourvus
Et pourtant, dire que je suis seul est un mensonge. Tout est recouvert d'un flou, d'une ombre étranges, fantomatiques, que ma présence ronge Mon seul contact suffit à les faire fondre
Je suis la bougie de vie qu'ils fuient à vue.
Le froid mord et laisse ma peau meurtrie de douleur J'arpente la ville sous les ombres laiteuses de la lune A la recherche de divertissement à défaut de chaleur Un livre, un film, un jeu ou un compagnon d'infortune
Dieu qu'il fait froid.
Cette ville, c'est ma punition, c'est mon enfer. La solitude ? L'emballage, le paquet dans lequel il est enveloppé J'ai l'impression d'y être depuis des millénaires Mais la réalité est faussée, cela ne pourrait faire qu'une journée.
Il faut que je le fasse, que je me dépêche, trouver sur quoi mettre la main Sur ce qui pourrait m'occuper aujourd'hui, un moyen de m'occuper Je ne peut sortir de chez moi que la nuit à la recherche d'un butin Le jour est brûlant de chaud là ou les nuits sont infiniment glacées
J'arpente les rues, traine mes pieds sur les routes pavés, d'avenues en avenues Je chante et siffle, exprime ma joie au milieu de tout ce froid, malgré le vent qui gifle
J'ai fait l'acquisition de tout une bibliothèque ces jours derniers Les ombres sont parties, rampantes et piaillantes, paniquées Et moi, j'ai découvert Poe, Pratchett, Baudelaire, Hobb, Hergé... J'ai également mis la main sur une guitare, un crayon et du papier De quoi, aisément et ce pendant longtemps, me faire patienter
L'océan étendu au pied de la ville est assoupi Mer d'huile pour cimetière à visage de ville.
Sous les étoiles, je regarde l'océan Rêvant de mondes, d'infinis, de néant Mais ici, il n'y a rien d'autres que ce miroir Rien d'autre que cet endroit aux reflets blafards
Ma vie est profondément ennuyante. Je tourne en rond, dans cet univers Seul, seul, seul, quelle idée lancinante
La pièce possède deux faces Qui tourne selon l'heure, parfois selon l'humeur La question du pile est une farce
La premier est froid, est hiver aussi glaçant que l'univers La second est un soleil de plomb qui transforme aisément en charbon
Et moi, j'attends.
Le jour, sur la ville et ses hauteurs Le soleil s'est levé, irradie, brûle, enflamme Le béton et l'air vibre de sa chaleur Quelle journée en enfer encore on entame
Merveilleux. Il me faut de quoi manger Encore aujourd'hui, je vais aller fouiller Aller d'appartement en appartements A la recherche de conserve, d'aliments
Une fois les réserves rangées, je suis resté Un moment, les yeux vers le ciel, affalé l'air absent, au milieu d'une des places La peau froide contre le dallage d'une terrasse
Un monde fantomatique, flou et indistinct Où les températures jouent avec le moral Et les ombres ne s'évanouissent au matin
Ce serait presque déprimant si s'n'en était risible.
Je ne sais pas pourquoi je m'imagine cet endroit comme un enfer.
Pas de souffrance, Juste une errance sans porte dérobée
Puis, un jour
La porte apparut.
Pas juste une porte en fait.
Une ouverture.
Une possibilité.
Un demain alternatif.
Franchira ? Franchira pas ?
Insurgé Libre, même dans l'esclavage
Krebs
Age : 44Mes RPs : Il y eu un début.
En mission de reconnaissance ( Hyena )
Un verre de lait parfumé à la cerise ( April )
Coule Oeuvre et Un appartement comme tant d'autres ( liza et mélusine )
Faille, Novlangue vieillit de 100 ans.
Effervescence ( Blanche )
Treglocumox-tripholphene ( Zoltan Gladic )
A la recherche du temps perdu ( Lilith Asimov )
Contemplation ( Léna )
Journée de merde
Journée de merde (Suite) et Duck and Cover ( Avec April, Samuel, Lewis Golden, Dr. Fritzerman, Emilie, Newton, Eldon et Caroline, Hyena, Cornelius Thrope et Llewelyn )
C'est comme il l'avait dit et C'est comme il l'avait dit (Suite) ( Hyena )
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Sujet: Re: Parfois, tout va bien Mer 25 Mai 2011 - 15:17
Frustration. inhibition spoliation
Remplir la page de ratures Je barre, noircis et m'agace Jeter de l'encre en pâture Tous ces mots minables que j'efface
S'exprimer est un challenge Se prendre pour un albatros, une mouette Ou encore pire, un ange Quand on ne sait décoller d'un millimètre
S'élancer au dessus du ravin sans finir dans un linceul Essayer de s'élever dans l'azur en battant des bras Pas étonnant que les oiseaux se foutent de notre gueule Accroché, rivé au sol comme des chapeaux-chinois
La gravité, cette connasse, qui nous tire les vêtements Nous réprimande comme des gamins En nous faisant retomber sur le sol lourdement Empêchant tout décollage de son frein
Pourquoi est-il si difficile de faire sonner des mots ? Pourquoi chaque mot que je tresse est-il si discordant ? J'aimerais qu'ils s'envolent comme des notes de piano Pouvoir composer symphonies de voyelles spontanément
Attacher des syllabes Coudre des sonorités Qu'elles soient affables Et de toute beautés
Un jour je saurais jouer de la plume Comme on manie les cordes d'un instrument J'y consumerais ma vie et mon âme On a rien sans rien, comme un entrainement