La racine d'une solution.

L'ambiance ''électrisante'', pour un fonctionnaire moyen elle l'était du moins, attaquait déjà tout mes sens. L'endroit où devait m'attendre mon vielle ami ce trouvait au centre d'une grande pièce où il y avait une multitude de tables aux formes et dispositions variées. Toutes séparées par de longs rideaux insonorisés à opacité ajustable, pour ceux et celles qui aiment faire ce genre de chose en public. Les stroboscopes, la fumé odorante pour couvrir les autres odeurs qui pourraient circuler et les enceintes sonores directionnelle fixer au dessus de chaque tables pour offrir des ambiances personnalisé. Non ce lieux ne manquait pas de stimulations, mais la principale qualité qui m'avait fait choisir le Club Select sont ces contre-mesure anti-espionnage.


Croisant le regard d'une collègue et lui renvoyant son clin d’œil alors quel chuchote je n'sais pas quoi à l’oriel d'un Automate qui semble sur le point d'exploser de désir. Je remarque aussi cette N.O.D. qui semble suivre mes déplacements depuis que j'ai exposé cette opportunité d'affaires aux hautes instances. Rassurant de voir que certain avait fait leur boulot. L’échantillon est dans un cylindre étanche dans la poche de ma veste et je redescend de mon piédestal en réalisant que c'est probablement plus ce machin qu'elle protège. Avec l’épidémie qui a fait des ravages, une alternative énergétique bon marché serai certainement la bien venue pour la reconstruction qui devait suivre.  


Une fois à la table que je nous avais choisit, je ne vois ce cher ''Geai'' encore nulle part et me demande de quoi il peut bien avoir l'air après ces quelques années. Car je dois avouer que les ''techniques secrètes'' des Valkyries additionné à quelques trucs de famille ont artificiellement préservé le look que j'avais à mes 18 ans. Consultant la console de contrôle d'ambiance mets un peu de musique d'un de mes compositeur classiques favoris. Je me détend enfin, commande un pichet de sangria et fait porté un vers de glaçons avec un petit parapluie à la N.O.D. en signe d'invitation. Je donne bien-sûr un gros pourboire au serveur, il pourrait se manger une baffe.








Olympia pouvait apercevoir la formes humaines au fond de la cuve. Une silhouette noirâtre qui se distinguait du liquide sirupeux qu'elle contenait. Celui qui avait signaler l'incident était à ces coté au bord des larmes.


Il, ou elle je n'saurai dire, a dut glisser et tomber dedans, mais ça n'explique rien pour...


Es-ce que le produit est contaminé?!  


Eh bhe... Et bien non, mais vous ne comptez tout de même...      


Une gifle aussi puissante que soudaine vint l’interrompre. Elle essuyât immédiatement sa mains avec une des lingette humide qu'elle traînait sur sa personne en tout temps et la lui jeta au visage avec l'emballage.  


Je ne croix pas avoir demander votre avis. Transvasez le produit dans une autre cuve et nettoyé celle-là! Avec discrétion bien sûr!  


Olympia repartie vers ses appartement, furibonde, avec les Novlanguois qui arrivaient d'ici un jours ou deux elle ne pouvait ce permettre se genre de ''petits accidents''. Il en allait de son avenir, mais également de ça santé mentale. Elle ne supportait plus cette endroits et surtout cette bande d'idiots dégénérés.

Petit ou gros retard ? J'ai perdu la notion du temps.
Maudite réunion, maudits actionnaires... Putain de ville de merde qui me bouffe tout mon temps et m'oblige à courir sans arrêt d'un endroit à l'autre.
La secrétaire m'a remis mon emploi du temps pour le reste de la journée alors que je passe en coup de vent. Je le lirai dans la limousine.

Comment en suis-je arrivé à être débordé à ce point ? Ah, oui. Le licenciement du sous-directeur.
Après réflexion, ce n'était peut-être pas une si bonne idée.

Je me suis installé sur un des sièges en cuir noir de la limousine alors que je donne ma direction au conducteur qui ne m'accorde pas même un regard.
Je suis si débordé que j'en oublie de me réjouir à l'idée de revoir ce cher Emon. Nous ne nous sommes pas vus depuis une bonne éternité. C'est si lointain... Nos pères respectifs étaient encore tous deux en vie.
La vie avance et nous avec.

J'ai déplié mon emploi du temps. Ah. La suite de la journée est presque vide. Le calme après la tempête, et non l'inverse. Pour une fois.
Tant mieux, je vais pouvoir prendre mon temps lors de ce rendez-vous.

Quel était le motif de notre rencontre, déjà ? Une vague histoire de... Non, je ne sais plus.

J'ai payé le conducteur et je suis sorti de l'imposant véhicule noir pour me diriger vers l'entrée du club.

À l'intérieur, l'ambiance est... Étrange. Je n'étais jamais venu et maintenant je sais pourquoi.
Ce n'est vraiment pas le genre de lieu que je me plais à fréquenter.

Emon fut facile à repérer. Il n'a pas changé d'un pouce.

Je ne vous ai pas trop fait attendre j'ose espérer.

Ma convalescence est terminée, j'ai enfin totalement retrouvé l'usage de ma jambe même si j'ai perdu quelques peu de ma condition physique. Et en plus de ça j'ai eu l'honneur de recevoir une mission très particulière. Sortir hors du dôme, escorter un groupe de négociateur. Je n'ai pas tous les détails évidemment, je sais juste qu'il s'agit d'un énorme profit pour Novlangue, quelque chose qui aidera toute la population. Je suis étonnement curieuse de voir l'extérieur, de constater si ce qu'ils nous ont dit est vrai ou pas.

Je suis certaine que c'est ma droiture et ma constance qui m'ont amené là, mes supérieurs ont confiance en moi et je ne les décevrais pas. J'ai un groupe de soldats avec moi que j'abandonne devant l'entrée du club.

Quel endroit grotesque et décadent... Je n'y étais jamais rentrée et déjà je voudrais en sortir. Tous ses hommes si riches, ce plaisir qui suinte par chaque pore de leur peau. Cela me dégoute. Je ne peux que penser que c'est interdit, ce genre d'endroit ne devrait pas exister pas plus que les valkyries. Le gouvernement a interdit le plaisir pour une bonne raison, parce que c'est dangereux, je ne comprends toujours pas ces laissé-passés, ce commerce de la luxure.

En passant j'aperçois une des NOD chargée de la sécurité du lieu avec un verre dans la main. Je lui prends et le repose sur le bar après l'avoir reniflé. Le verre est vide qui plus est mais il n'a pas encore été rempli puis vidé d'après mon flaire.

" On ne boit pas sur ses heures de service soldat. Vous avez de la chance de ne pas avoir bu ce verre avant que j'arrive, sinon j'aurais fait un rapport. "

Et puis je repère les deux hommes que je me dois d'escorter et m'avance vers eux, m'arrêtant à leur côté, droite comme un i.

" Keseena Hammond, je suis chargée de vous accompagner.

Je peux attendre à l'entrée que vous fignolez les détails si vous le souhaitez. "

Je connaissais les deux hommes de vue en plus de les avoir aperçu dans le dossier. Un puissant automate, et un autre dont la famille a été déchu, ayant été pucé et relégué au rang de Valkyrie. Le nom de Hammond ne pouvait pas les laisser indifférent, ils connaissaient forcément mon père le Haut Chancelier des mentalistes. Et peut-être aussi mon frère, membre de l'ordre et à la réputation sulfureuse. Le genre d'homme qui faisait régner l'ordre plus que de raison et avec des arguments très douloureux.
(Elle n'avait aucune idée de sa réputation sulfureuse en ce qui concernait les femmes, mais ça, ce n'était qu'une rumeur bien étouffée par leur père dont peu était au courant pour le moment.)

Vains dieux, on dirait le spectre de son père! Et le voilà qui s'excuse d'être en retard, c'est bien Jay ça. Il n'a pas encore comprit que ça position lui garantissait d'être toujours excusé et ce en toutes situation. C'est bien pour ça que je le voulais dans cette affaire qui serai qui pourrait lui assurer un monopole conséquent à sa compagnie et ce pour les prochaines années.  


Nous autres Valkyries avons un adage: ''Quand un Automates est à l'heure, commence à avoir peur.'' Trop comptant de te revoir mon ami. Encore désolé de n'avoir put assisté aux funérailles de ton père, j'était en déplacement quand c'est arriver.



Nous échangeons une brève accolade et je remarque que la N.O.D. à qui j'ai fait envoyer un verre ce fait grondé par son officier supérieur, qui se dirige ensuite vers notre table. Elle ce plante devant nous, raide comme un piquet et nous débite son matricule et ses intentions sur un ton plus froid et monotone qu'un drone.

Citation :

Keseena Hammond, je bla bla bla... je peux attendre bla bla bla... si vous le souhaitez.

Hammond?! Pourquoi ça me dit quelque chose? Bah! Je n'écoute pas vraiment. Je regarde Jay, pas plus l'aire d'approuvé que de réprouvé. C'est lui qui abattait les cartes dans cette affaire et l'implication des forces de sécurité ne me dérangeait pas le moindrement du monde.

Keseena Hammond ? Hammond, mais oui bien entendu. La famille Hammond.
S'il y a bien une famille dont la cité peut être fière, c'est celle-ci.

Au plaisir de vous rencontrer, madame. J'ai entendu beaucoup de bien sur votre professionnalisme et votre sens du détail.

Attendre à l'entrée ? Peu importe.

Ma confiance vous est acquise, à vous et à votre famille. Du moins en ce qui me concerne. Je ne peux pas parler au nom de mon ami.

S'il n'y a pas d'objection de sa part, je lui fais signe de rester.
Je me suis redressé et j'ai montré mon plus beau sourire à Emon, une partie de mes dents brillant à la lumière des néons criards du club.
Trop content de me revoir ?

De même. Cela faisait bien longtemps et c'est regrettable. Pour mon père... Bah. Personne ne possède le don d'ubiquité, ne t'en excuses pas, nous avons tous nos obligations.

J'ai commandé discrètement un verre. N'importe quoi sans alcool et cela ira.

Bien, passons aux choses sérieuses, la détente attendra.

J'ai joint les deux mains, doigts croisés les uns dans les autres, pour paraître plus professionnel. Il est temps de parler affaire et de ne plus badiner.

J'aimerais en savoir un peu plus sur les conditions et les détails de cette affaire. J'ai cru comprendre que c'était le contrat le plus important de ces dernières années, pourrais-tu m'en dire plus ? Mes conseillers se sont acharnés à remettre le dossier de cette affaire en haut de la pile, sans cesse. Et ils ne font pas ce genre de chose lorsque ce n'est pas absolument nécessaire. Alors qu'est-ce ? Opportunité de s'emparer d'un marché ? D'un monopole ? Ouverture pour une affaire avec des bénéfices se montant à des milliards ? Dis-moi tout.

Je me déplace sur la banquette afin de laisser de la place à la N.O.D. me retrouvant bien face à eux deux. Je tripote les contrôles au centre de la table et aussitôt un rideau de plastique épais et noire comme la nuit vient nous encerclé, nous isolant ainsi du reste du monde. Je tamise l'éclairage pour créer un petit effet dramatique et en débitant mon petit discourt, je place délicatement le cylindre devant moi et commence à en dévisser le fond en prenant bien mon temps.  


Voyez-vous mon job comprend la recherche et le développement de nouveaux produis, naturelles ou synthétiques. Pour ça je garde des contacte avec des voyageurs qui parcourt les terres extérieure, surtout celle à l'état sauvage depuis le cataclysme. De petite communautés indépendante développe de nouveaux moyens de survivre. Nécessité étant mère de l'invention l'une d'elle c'est  démarqué dans la monoculture d'un tubercule transgénique aux propriété et applications aussi multiples que formidables.


J'enlève enfin la partie externe du cylindre pour dévoilé le tube translucide qui ne contient qu'un peu de terre, une ampoule à forte intensité et une racine bien spécial.



En un mots comme en cent, voilà la bête!


J’espère qu'il verra le vrai potentiel de cette découverte, mais j'ai d'autres arguments dans ma besace.

De l'énergie propre à volonté pour qui a la main verte.

J'ai dégluti discrètement.

De l'électricité d'origine végétale. Une version améliorée de la patate dont nous nous sommes tous servi à l'école, petits, pour apprendre la physique.

Hm. Combien de fois des petits malins se sont pris à rêver du mouvement perpétuel sans se rendre
compte qu'il est impossible de le réaliser sans briser une des trois lois de la thermodynamique. Et l'énergie produite par ce genre de racine peut être si faible qu'il serait plus rentable de rester sur les énergies d'aujourd'hui.
Cependant... Il pourrait être sage d'acheter le brevet pour s'assurer que personne ne l'utilise.

Tout dépend de ces fameuses propriétés.

Quels genres de propriétés ? J'aimerais aussi en savoir un peu plus sur la quantité d'énergie produite par ce genre de racines. Faire pousser une plante, cela a un coût. Si la production d’électricité derrière ne suit pas, ou peu, ou au contraire ne rembourse pas le coût initial, cela n'en vaut pas la peine.

Doutes raisonnable de sa part et toujours aucunes réactions visibles de la N.O.D. Je me demande encore où j'ai entendus ce nom? ''Geai'' a mentionné ça famille honorable, mais je sais que ce n'est pas ça. Merde, ça va me travailler tant que je trouverais pas.



Réactions exothermiques, c'est tout ce que j'ai à te dire mon ami! Je n'est pas encore pratiquer tout les testes que j'aurai voulu avant de te rencontrer, mais je peux affirmer que c'est un savant croisement entre une algues, du bambou et un champignon souterrain. Ça pousse très vite, très fort et dans presque n'importe quels conditions.  



Je m'excite en parlant de ce sujet, est-ce la science ou le fait que nous allons peut-être changer la face de Novlange avec cette accord. Tous ce que je vais en tirée c'est un astérisme dans les livre d'histoire et ce n'est guère plus que je recherche. Tous ce qui viendra en plus ira dans la restauration de mon labo des Harbours. Probablement déjà mit à sac par une multitude junkies de vagabonds et squatteurs en tout genre.



Une vrai merveille grâce à mon petit bricolage j'ai réussi à projeter que l'équivalent qu'un ''rhizome'' d'environs un kilo de cette plante miracle produirait environs 20 volts de tension pour un courant potentiel de 1000 ampères maximum. Ont parle d'un générateur entièrement renouvelable pour autant qu'on le garde humide et qu'on lui donne une source de minéraux, que ce soit de la terre ou de l'eau de mers.



Je regarde l'un comme l'autre pour juger de leur réactions.

" Merci Monsieur. "

Je prends leur parole pour une envie que je reste, plus j'en sais et mieux je saurais d'où pourraient venir les multiples dangers. Mais je ne suis pas à ma place pour participer à la conversation, je n'ai pas d'avis à donner sur leur commerce et je n'y connais rien en physique.

Je me mets un peu sur le côté, refusant de m'asseoir, j'écoute et j'observe aussi bien eux que ce qui se passe autour de nous, toujours vigilante au moindre débordement. Immobile sans être immobile.

C'est dangereux.

Une plante aussi puissante pourrait vite devenir envahissante. Un mélange entre de l'algue, du bambou et un champignon ? Je ne suis pas certain de vouloir recouvrir le monde entier d'un végétal unique non mangeable. Dangereux.
Et bonne chance pour désherber ou se débarrasser d'une plante à la croissance aussi rapide et qui prolifère aussi facilement.

Cependant, en jardin hydroponique et bien encadré, ce pourrait être intéressant. Mais il faudra faire encore des modifications. L'idéal serait de rendre la plante sensible à quelque chose dans l'air qui la tuerait sur le coup. Nous ne voulons pas lâcher sur le monde un végétal aussi... Tenace, pas vrai ? Mourir de faim parce qu'il n'y a plus de cultures viables, ce n'est pas une idée séduisante.

Je me suis redressé sur mon siège, en luttant contre l'envie de jeter un œil à mon portable.

Mais une fois modifiée, elle serait parfaite. Et elle ne pourra être cultivée que dans nos infrastructures, là où l'air ne la tuera pas parce qu'il aura été modifié au préalable. Cela découragera les concurrents potentiels et cela permettra d’éviter la contamination extérieur par cette plante.

Je me suis penché vers Emon.

...Maintenant, rassurez-moi... Ils n'ont pas commencé à en faire des récoltes, pas vrai ? Nous devrions récupérer leurs résultats de recherche... Euh... Je veux dire acheter... Et ensuite, vérifier qu'il ne reste aucun "prototype" implanté dans la nature. S'il le faut, nous pourrions passer par le feu tout ce qui aurait pu être contaminé par cette plante.

Puis, je me suis reculé de nouveau, les mains croisées.

Que quelque chose soit clair. Que nous achetions ce brevet ou non, il est hors de question qu'un organisme aussi dangereux se balade dans la nature. Il reste à déterminer ce que nous allons choisir de faire.

Premièrement tu m'arrête ça les vouvoiements, on croirait entendre ton paternelle. On est entre amis, du moins toi et moi.  


Les points qu'il soulève sont parfaitement valables bien que des plus pessimistes, mais je constate que je l'ai mit en appétit et j'ai fait mes propres recherches. Je m'adosse confortablement place mes mains sur ma nuque et ricane un peu. Je voix toute suite que j'ai bien fait de le proposé à lui et lui seule.




Et ensuite je lui ait déjà trouvé soixante-douze toxines différentes capable de la tuer facilement et j'ai pas tout testé encore. Qui plus est, elle déteste la chaleur et les rayons du soleil. Plus particulièrement, la fréquence ultraviolette qui lui cause une déshydratation accéléré. Alors coté contamination de la flore on est assez bien couvert.



La N.O.D., toujours aussi séduisante que silencieuse, semblait saisir plus de nos propos que j'en aurai crut capable l'un de ses pairs. Je suis heureux du soutient direct d'une force de sécurité et surtout que ça ne venait pas de l'Ordre des mentalistes cette fois. Mon dernier ''voyage d'affaire'' qui avait profité de leur protection c'était transformé en une mission de conversion religieuse.



Par contre pour ce qui est de la ''plantation'', on parle d'environs plus ou moins milles-huit-cents âmes qui vivent exclusivement de cette culture depuis une quinzaines d'années. Ils maîtrisent déjà une méthode pour en concentrer suffisamment la puissance pour alimenté une petite ville. L'installation se trouve dans la région montagneuse qui fut jadis la Norvège au nord de... hmm ''Øvre Årdal'', pas certain de la prononciation. D'autres questions? Vous Miss Hammond?!  



J'essaie de lire la moindre émotion qu'elle pourrait émettre, mais elle reste de marbre. Jay lui doit sûrement se retenir de ce frotter les mains en signe de contentement. Je meurt de soifs! Je me ressers de la sangria et engloutie mon verre presque d'un trait.

Le vouvoiement le dérange ?

Désolé. Une habitude. Je ne suis pas certain de pouvoir m'arrêter....

J'ai haussé les épaules, un peu piteux. On ne se refait pas.
Pour les défauts de la plante, c'est parfait. C'est tout à fait ce que j'espérais.

Dans ce cas il n'y a pas de soucis. Ce brevet m’intéresse et j'accepte de faire partie des négociations. Quand aura lieu le deal ? Et où ?

Voilà où ça se complique! C'est une illuminée qui c'est autoproclamer comtesse Olympia des monts neigeux. Elle serai prête à commencer un échange commercial avec d'autres ''nations'', mais elle, et je la site, ''...ne traitera qu'avec un interlocuteur de noble ascendance.'' Voilà pourquoi j'ai pensé que le prince... Oh pardons, le roi du grille-pain serait tout indiqué pour nous représenté. Elle tient à n... te recevoir chez-elle.



Bon il est claire que cette entreprise est bien en marche. Cette solution pourrait éventuellement lui donnée le monopole énergétique en ville. Je suis expert pour ce qui est de procurer aux gens ce qu'il veulent. Et j savais que le pouvoir et le profit était le seule ''fixe'' qui comblerait mon vielle ami.    



Elle aurai réinstaurer un système féodale dans son petit coin coupé du monde. D'où la nécessité de la présence cette charmante Miss Hammond et de ses congénères. D'ailleurs les détails de notre déplacement n'en tiennent qu'à vous. Moi, je ne demande qu'à être du voyage, ça me fera des vacances.  






Olympia attendait dans assise à proximité des puits avec deux de ses plus fidèle cueilleurs. Le contremaître qui avait découvert le corps arriva épuisé de la tâche qu'il avait dû accomplir seule. Les deux malabars se tenait aux cotés de leur maîtresse qui leur tournait dos, concentré à regarder les reflets de la lumières dans une goutte d'eau sur le dos de sa main.


Voilà c'est fait, mais qu'allons nous dire à la...    qu'est-ce que ces deux idiots font ici?! Ne devraient-ils pas être couchés avec les autres. Madame?!  


Elle ne le regarda que du coin de l’œil et leva la main droite ce qui donna le signal à ses sbires.  
Les deux hommes échangèrent un regard, ricanèrent à l’unisson et se saisirent du pauvre homme pour le rouer de coups.


Quoi?! Espèces de sale petite gar... ouch. Vos parents ne seraient pa... ailles! Non lâchez-moi bande de lég...   mmbmhmm!.


Alors qu'il repoussait en vain l'emprise des deux colosses, l'un d'eux lui attrapât la tête alors que tirait sur ces épaule. Un craquement sec mit fin à ses jérémiades, mais ils prirent tout de même un moments à comprendre que leur victimes ne bougerait plus. Ils le jetèrent ensuite dans un trou pas très loin d'où il avait lui-même disposé de l'ouvrier anonyme mort plus tôt dans le journée.  


Bon allez-vous coucher les garçons, c'est du bon travaille! bonne nuit et rappelez-vous que c'est congé demain!

Le roi du grille pain ? C'est la première fois que je reçois ce titre, mais pourquoi pas.

Bien. Je vais donc rentrer organiser ce petit séjour. Restez disponible et je vous appelle très rapidement. Ce devrait être une affaire de quelques heures, peut être une ou deux journées si des imprévus se manifestent.

Je me suis levé et j'ai posé des crédits sur la table pour payer ma consommation, mais également celle de mon ami. Trois fois la somme.

C'est ma tournée. On se reparle très vite, bonne soirée.

C'est toujours bien de donner des pourboires conséquents pour bien se faire voir en ville. Mon entreprise c'est aussi une image, et j'en suis le représentant. Qui sait, des employés de ce bar m'ont peut-être reconnus.
"Monsieur Geai ? Jay Carlson ? Oui, je le connais, il est gentil il donne toujours de gros pourboires !"
Et même si c'est calculé froidement, personne ne le sait.

Je me suis retourné une dernière fois pour m'adresser à Emon.

Juste une chose... NOD ou non, n'oubliez pas... Venez armés. On ne sait jamais ce qu'il pourrait se passer. Prudence est mère de sûreté, en affaire comme dans le reste.

Voilà, il est temps de mettre les voiles.

Quelques heures?! Il es toujours aussi vite en affaire comme je peux le constaté.  À moin que Miss Hammond ne soit réticente sur l'un de ces points, la ''machine'' était en marche et avec ''Geai'' aux commandes ça prendrais un ennuie cataclysmique pour l'arrêter.  



Je ne traîne pas d'armes à proprement parlé, mais je considère m’être assez souvent défendue et ce avec succès pour ne pas m’inquiéter de l’éventuelle menace provenant d'une bande de cueilleur de patates transgénique. Je reste un bout ici, alors communique moi notre zone et heures de départ en me contactant avec ça.


Je lui tend ma carte de contact automatisé, un petit carrée de plastic rose marqué d'un ''V'' argenté. Ça ne donne pas mes coordonnées, mais tout contact avec un appareille de communication légal compose mon numéros directement et me donne la position de l'appelant. Parfait pour les ''urgences à domiciles''  et pour les clients à situations résidentielle plutôt incertaines.




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