Novlangue est un univers totalitaire inspiré de 1984 (G Orwell)
Ambiance Blade Runer, The Island, Total Recall, et tant d'autres où les libertés sont étranglées... Chut! Big Brother... La délation est l'arme des cafards...Bienvenue dans notre Monde!
Jürky ▬ L'homme est cet animal fou dont la folie a inventé la raison [Cornelius Castoriadis]
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Insurgé Libre, même dans l'esclavage
Jürky
Age : 39Fan Club RP : 2 Fichier Edvige ♫ ♪♪ Particularité : Un peu d'histoire:
Sujet: Jürky ▬ L'homme est cet animal fou dont la folie a inventé la raison [Cornelius Castoriadis] Jeu 7 Avr 2011 - 11:31
Salutations,
Avant tout chose, je tenais à vous faire part de ces quelques mots.
Spoiler:
* Mode : Bonzaï : ON * MAIS PUTAIN! Je vous aime, je vous admire, c'est épique, c'est terrible, c'est à peine si j'ai pas pleuré en voyant ça. Mais j'y ai pas cru. PAS UNE SECONDE! Ah, vous croyez pouvoir m'avoir? Mais c'est trop beau! Le NIRVANA. Le 7ème ciel, la jouissance à l'état pure. Sa mère, c'est comme une délivrance émotionnelle! Ah mes dieux Pas de fiche de présentation? Ah mais le 1er avril c'était vendredi (même que mes potes m'ont fait une sale blague. Comme chaque année. Je me fais toujours avoir. Je suis nul. Plaignez-moi, j'aime ça). Enfin quelqu'un qui a compris QUELQUE CHOSE de FONDAMENTALE. C'est jouissif, oui, oui, OH OUI! Je pouvais pas me permettre de la fermer, tellement je trouve ça fantastique. 3 mois que j'ai abandonné la quasi totalité des forums rpgs. Vas-y que je suis un vampire de 3007 ans qui chasse une petite mégère des bas fonds et que j'ai passé 67 jours à peaufiner ma saloperie de fiche de présentation et sa cousine la fiche de liens organisées, et qu'en plus j'emmerde ton personnage parce que son avatar c'est Petri Lindros et qu'il est même pas connu et même pas beau (même que moi, si j'étais une fille, je voudrais me marier avec. Mais je suis un mec. Alors je me marie pas avec Petri - même s'il aime parfois porter des jupes. Perso, moi pas. Sauf les kilts.) La délivrance, le plaisir. Ca devrait être partout comme ça, à en croire mon état psychologique actuel. Je suis tellement heureux que j'ai même pas lu tout le contexte. Ah amour quand tu nous tiens, ahhhhhh. Ah, franchement j'y ai pas cru - comment ça je me répète? Balivernes. J'ai pensé qu'il y aurait 3 gus d'inscrits ayant abandonné le navire - marre des gamines de 13 ans qui jouent toutes des supers héros ennuyeux et prévisibles présentent partout dans les autres forums - mais NON! NON! *Mode : Bonzaï : OFF * Bref, le ciel et moi-même remercions l'ultime génie qui a fait ça. Oh oui
Ah celui qui a tout lu, je le félicite. S'il veut, il aura un bisous. Voir plus si infinité.
▬ Si j'ai un conseil à vous donner, ne m'écoutez pas (Proverbe d'une bonne amie) ▬
LEGENDE : Jürky Un homme bien dans sa tête, bien dans son corps. - Il a la tête du chanteur de la superbe chanson que vous voyez au-dessus. C'est ça Jonne, l'amateur de VODKA ... J'ai eu la flemme pour l'avatar. Mais avouez que la photo est cool. Bazil Castafolte Un homme comme on en fait plus. L'Italien sexy, rat de labo qui aime rassurer les gens qu'il vient de torturer. N'est-il pas mignon? Il a un tatouage de code barre sur l'avant bras droit, on se demande pourquoi - Si vous connaissez le Visiteur du Futur, je vous aime.
- Jürky. - ... - Jürky! - ... - JURKY! - DOUX JESUS ! Ne crie point dans mes oreilles. - Viens ici. - ... Non. Non. NON, AH NON NON JE PROTESTE NON!
Ah non mais non. Ce crétin, cet imbécile, cet être infâme, oh mon Dieu, j'allais le mordre s'il continuait. Il voulait toujours et encore des e-xa-mens. Il piquait sans scrupule tout les parties de mon corps, me regardait sous toutes les coutures, palpait mes plaies, observait d'un œil d'expert chaque petit détail qui faisait que j'étais moi. J'en devenais fou. Même si pour lui en fait, je l'étais déjà. Il disait que si j'avais autant peur des aiguilles et de tout ce qui ressemblaient de près ou de loin à du matériel médical, c'était parce que je n'en étais pas "à mes premiers tests". Il justifiait cela en me disant qu'il m'avait retrouvé dans une rue, entrain d'agoniser nu à côté d'une poubelle, mutilé de partout. "Si je n'avais pas été un scientifique, j'aurais eu peur!" qu'il disait. Eh bah ouais, parce que môssieur Bazil Castafolte non seulement il était rebelle mais EN PLUS il était scientifique. Et sa vision de l'humanité était trèèèèès particulière. "Je t'ai sauvé la vie, tu me dois bien ça non?" Alors qu'est-ce que ce "ça"? Eh bien lui servir de cobaye pour le restant de mes jours. "De toutes façons, tu n'es rien sans moi". Il avait presque raison. Bazil avait réussi à me rendre l'usage de la parole et bien d'autres choses encore. Il est le seul homme en qui je fais réellement confiance. Il y a trois choses auxquelles je tiens dans son monde : Bazil, la vodka et la troisième je ne sais pas c'est laquelle. Enfin, ce que je veux dire c'est que c'est un peu bête comme affirmation. J'aime plus de trois choses, c'est logique. Comme j'en déteste tout un nombre également.
Castafolte me voyant plaqué à nouveau dans le coin de son labo, soupira. Il rangea avec soin le prélèvement de sang qu'il venait de me prendre avant de venir s'assoir à mes côtés.
- Est-ce que tu te souviens de quelque chose? Je veux dire, pour avoir peur comme ça.
Il comprit à la main qui agrippa son bras et aux yeux bleus larmoyant transperçant son propre regard que c'était effectivement le cas. Je me souvenais de tout, sans n'avoir jamais rien compris. Pas de tout, non, je mens. De beaucoup de choses. Mais pas les meilleures, ni les plus essentielles. Par exemple, c'était lui qui m'avait rebaptisé Jürky (qui, amis lecteurs se prononce "Yourku") car à part "501", je ne me souvenais d'aucune autre nomination particulière. Peut-être... Florent? Euh... Sans doute, je ne sais pas, après tout "Jürky", j'aime bien aussi. Paraît que c'est finlandais. L'autre scientifique de service, il est persuadé que ce sont mes origines - "T'aimes l'alcool, t'as pas peur du froid, t'es grand, t'es blond, t'es fort, t'es finlandais."
Il posa son menton sur la tête qui venait se frotter contre son épaule. Il sembla réfléchir un moment avant de m'embrasser tendrement le front et de commencer à me chanter une de ses chansons préférées.
- De Alto cedro voy para Marcané, Llego a Cueto voy para Mayari♫Une mélodie d'enfance, qu'il faisait souvent résonner le soir.
Il me rassurait quand il faisait ça. C'était un peu comme s'il m'éloignait de tout. C'était oeil pour oeil et dent pour dent mais en version sympa. Je te pique ton sang, je te donne mon passé. Je te rappelle des souvenirs atroces, tu m'arraches à moitié le bras pour te rassurer. Je te sauve la vie, tu hurles le soir parce que tu flippes.
- C'est beau, hein? - Magnifique.
Je restais collé contre son buste un long moment pendant lequel il me caressa doucement le dos. Ah Bazil, il m'épatait toujours. Bazil le tortionnaire se transformait souvent en Bazil la maman perdue. Perdue, parce que je ne sais même plus comment la mienne s'appelle. Parfois, y a des images qui reviennent, d'un visage d'abord heureux puis horrifié, on sait pas trop ce qui ce passe, on entend juste quelques paroles brouillées par le temps et la folie.
Après une nuit passée aux côtés du rebelle qu'était Bazil, je m'étirai lentement avant de me lever toujours à la même cadence. Je partis en quête de l'homme brun, là où il ne pouvait être nulle part d'autres ; dans son labo. Il passait ses journées à essayer des trucs et des machines avec des noms à rallonges, des idéaux utopiques seulement réalisables par l'ambition d'un fou. C'était un fait, celui qui m'avait sauvé, lui aussi, il était fou.
▬ Les Insurgés ▬
Et voilà /o/ El cariño que te tengo, Yo no lo puedo negar ♫ Oh oui, hâte de rpg avec vous dans ce petit coin de paradis virtuel (PS : La chanson c'est Chan-Chan de Compay Segundo. Un chef d'oeuvre Si vous voulez la traduction =3 )
Jürky ▬ L'homme est cet animal fou dont la folie a inventé la raison [Cornelius Castoriadis]