Le balafré se fait surprendre par l'ouverture de la porte.

Euh pour te frotter le dos tout ça

Il a dit ça d'une voix mal assuree.

Enfin tu vois ce que je veux dire hein

Rire nerveux, regard gêné.

Il entrouve un peu plus la porte pour s'affirmer

Long regard.

Tentation.

Tester avec un de l'extérieur. Quelque chose de brut. Voir si il y a quelque chose qui les fait exploser à peine en contact, ou si c'est des histoires à faire peur.

Elle avance la main, touche une joue.

Murmure.

- Oh. Que le dos, alors ?

Moue déçue.

Nan mais c'est façon de parler quoi.

Élocution rapide et non maitrisée. Regard un peu fiévreux.

Tu, euh tu étais pas pressée ? Ah non c'était moi.

Il touche la main posée sur sa joue. Douce, enivrante. Rien à voir avec ce qu'il a connu auparavant

- Oh. Du coup... Ça devient... tentant.

Elle avance d'un pas, laissant glisser sa main de la joue à la main, caressante.

- Non. Tu cherches quelqu'un. Moi, j'en trouve.

Son nez frôle la courbe de la mâchoire.

- Alors... Que fait-on ?

Mordillage de gorge.

Est-ce que ça réagit différemment, un homme du Dehors ? Est-ce que si elle lui passe la main sur le ventre il va retenir sa respiration ? Est-ce qu'ils gémissent comme nous ?

Oui, oui : aborder l'ethnologie par l'acte sexuel, c'est une manière de faire comme une autre.

Tu ne sais pas avec quel feu tu joues tu sais

La voix toujours mal assurée

Il s'approche aussi. Le dos de sa main caressant le bras de la valkyrie.
Son regard se fait plus dur, plus sauvage.

Il est temps, laisse moi faire

Son regard change.
Intéressant.

Elle frisonne un peu, se mord les lèvres.

- Je paie pour voir.

Elle l'embrasse à pleine bouche, fermant les yeux à demi, collant son corps chaud à celui à demi vêtu du Ressac.
Elle le pousse côté chambre.

La salle de bains, niveau confort, c'est... spartiate.

A peine eu le temps de comprendre ce qu'elle disait qu'il était repoussé vers la chambre et embrassé à pleine bouche. Décidément pleine de surprises cette rencontre.
Il agrippa la taille de K-Cendre, se laissant entrainer par elle.
Doublement spectateur de cette scène.

Mmmm elle en veut la bougresse. Elle va en avoir pour son argent
Laisse moi reprendre le dessus
Observe et apprend

Voyons voir avec quoi tu vas payer

Il arrêta le mouvement de la valkyrie et ouvrit son haut d'un seul coup. Il décolla leurs bouches et mordilla son cou. Il reprit la main sur leur déplacement et la poussa vers sa chambre. Il ralentit à l'approche de l'escalier.

Elle est plus curieuse qu'excitée, pour le moment.
Le manque de compréhension mutuelle rend ce type de moment un peu tendu, vous ne trouvez pas ?

Mais comme elle sent contre son corps plein d'autres choses plus intéressantes se tendre... C'est sans doute qu'il faut cesser de penser, non ?

- Voyons voir avec quoi tu vas payer

Rire de gorge, velouté.
Ses mains suivent les contours des muscles, caressent, taquinent.

- Cela me semblait évident...

Elle apprécie qu'il prenne des initiatives.
Les partenaires soumis ostensiblement ne sont pas amusants.
Elle le pousse vers la chambre : un peu de confort ne fera de mal à personne.

- Viens, mon tout beau, sur mon cœur a... ventureux. Retiens les griffes de ta patte, et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux...

Baiser pendant qu'elle appuie sur un interrupteur, faisant passer son appartement en mode "pénombre".

Elle aimait prendre l'initiative. Le balafré se laissa entrainer. La lumière baissa tandis que ses mains suivaient le contour de ses cicatrices.

Elle va comprendre ce qu'il en coute de reveiller la bête

Le balafré la poussa sur le lit au jugé. Ses yeux semblaient presque luire dans la pénombre. Son sourire se fit plus carnassier.

Passons aux choses sérieuses. Fini de jouer ou de tourner autour du pot. Voyons ce qui se cache sous cette assurante sensualité

Il avanca, doucement, comme un félin. Le regard fixé sur K-Cendre qui semblait l'attendre. Aucune peur ne se dégageait d'elle. Pas comme les autres.

Pas elle, les lois de l'hospitalité s'appliquent. L'hôte et l'invité sont liés
Ne me distrait pas, je m'amuse

Il passa sa langue sur ses dents puis sur sa levre inférieure.Possible qu'elle n'ait rien vu avec cette obscurité.

Il alla sur le lit. Puis sauta sur elle. Ses mains enserrant ses poignets, l'empechant de fuir ou de l'agripper.

Nous avions commencé à parler paiement je crois.

Il relacha la valkyrie et déchira ses vetements de fureur.
Il regarda chaque centimètre carré de sa peau parfaite.

Cela me semble honnête

Il reprit les poignets de la belle avant de passer sa langue sur son cou puis descendit entre ses monts jusqu'à son nombril

Il a l'air... subtilement différent.
Un frisson passe dans le dos de la jeune femme. Rien qui puisse l'empêcher de se rouler dans un lit avec le mâle présent, cependant.
Penser jouer avec un ocelot et voir que c'est un bébé tigre ne change rien (sauf la taille des pattes et celle des griffes) : le risque était là dès le départ.

Elle tombe sur le lit, met cependant un peu d'espace entre eux deux.
Elle tient pas plus que ça à prendre une raclée imprévue.

Passons aux choses sérieuses. Fini de jouer ou de tourner autour du pot. Voyons ce qui se cache sous cette assurante sensualité.
Nous avions commencé à parler paiement je crois.

Il la prend aux poignets pour lui faire sentir sa force, puis la relâche et lui arrache ses vêtements.
Cela lui procure un frisson plus grand... pas totalement désagréable.

Il faut cependant marquer sa désapprobation, tant que c'est les fringues ça va mais...

Cela me semble honnête
- Hey ! J'aurais pu les enlever tu... Oh...

Les passages de la langue sur son corps ont comme bénéfice immédiat de la faire taire...

Elle caresse les cheveux de l'homme, les yeux à demi-fermés posés sur lui.
Elle tend la main.

Un peu de rébellion vite étouffée de la part de la valkyrie.
La langue du balafré continua à descendre jusqu'à ce que K-Cendre gémisse.
Il était arrivé à destination. Il s'attarda en ce lieu, alternant la pression et la vitesse, se guidant à la voix de K-Cendre.

Voila un cri que j'aime à entendre.

Ses mains se crispèrent légèrement sur les cuisses de la belle. Pour lui montrer que même aussi bas il menait la danse.

Tu es...délicieusement excitante. Différente de ce que j'ai pu connaitre et pourtant il me semble etre en terrain connu

Il retourna à sa tâche, ne pouvait la laisser dans cet état.

C'était bon.
Vraiment.

Le genre de truc où tu te perds dans tes sensations.
Où même si le gars t'inspire que moyen confiance, ça n'a plus trop d'importance.
Parce que, putain, il est doué.

Elle se tord et se cambre, murmurant une litanie sans fin de mots doux, ses mains filant dans les cheveux de son amant.

T'arrête pas, pitié, t'arrête pas...

Et tant pis si elle flirte avec l'interdit, voire met les deux pieds dedans.
Elle est pas en train de bosser.
Et chez elle, c'est permis.
En extra.
Pas avec un type qui vient du Dehors, certes.
Mais ça, personne a besoin de le savoir.

T'arrête surtout pas.

La belle gémit de plus belle, l'incitant à ne pas s'arrêter. Comment le pourrait il ? Elle avait subtilement resserré ses jambes autour de son cou.
Il activa sa langue, ne ménageant pas ses efforts. Flattant, puis esquivant son bouton, l'enserrant puis le libérant.
Il n'entendait plus que ses gémissements, incitations sonores à l'achever.
Ses mains lacherent les cuisses, se rapprochant de son antre de plaisir. Pour accomplir sa tache il allait avoir besoin de plus que sa langue.
Ses doigts se mirent en action. D'abord discrets, tâtant le terrain puis de plus en plus présents.

Jamais vu un tel appétit. Vivement que nous passions à la suite

Enfin l'extase, un volcan en éruption, une fenêtre vers le paradis. Un soleil dans la nuit.
Les cuisses de K-Cendre se serrerent autour du cou du balafré sous la force de cette libération.
Quelques secondes plus tard, elle reprit pied dans la réalité et relacha son étreinte.

Blanc.
Elle a crié, peut-être bien.
Elle sait plus trop.

Elle dénoue ses jambes, confuse de lui avoir peut être fait mal.

- Pardon...

Elle le tire à elle, l'embrasse à nouveau, se goûtant sur ses lèvres.
Sa main vient effleurer ce qu'elle sent contre sa cuisse.
Sourire.

Elle avait oublié combien c'était dur et doux, et fragile tout à la fois.
Son taf la maintient trop éloignée des autres, définitivement.

Sa main se referme, lentement.
Caresses hésitantes puis, un coup de reins inverse leurs positions et rend les douceurs plus précises et plus intéressantes.

Puis, elle se penche sur lui.
Elle aussi, elle aime à jouer.

Il perd la maitrise du jeu. Elle l'attire à lui, l'embrasse.

Si doux, si doux, si.....sensuel
Tu n'y connais rien

Elle se retrouve sur lui. Un moment de faiblesse et voila ce qui arrive.
Elle a le même sourire que lui auparavant. De chasseur il semble devenu proie.

Il tente de l'attrapper mais sans succès. La force lui manque.

Ahah... Il s'abandonne.
Elle surveille ses réactions.
Ses gémissements, ses crispations.
Ses halètements.
La pulsation de son sang dans sa main, dans sa bouche.

Quand elle le sent prêt à perdre pied, elle se glisse sur lui.
Le glisse en elle.
Elle perd son souffle un instant.

Quand elle le retrouve, elle lui sourit, se penche.

- Comment est-ce que tu chantes, toi, quand tu exploses ?

Baiser.
Coup de reins.

Si bon de se laisser aller. Si plaisant
Idiot !


- Comment est-ce que tu chantes, toi, quand tu exploses ?

Comment je chante ? ELle me prend pour un oiseau de compagnie ?? Fini de jouer

Le balafré ferma les yeux, le temps d'1 ou 2 battements. Puis les rouvrit et fit basculer K-Cendre. Leurs deux corps se séparèrent.
La rage l'habitait. Son côté sauvage se rebellait.
Il cloua la belle sur le lit, les bras bien écartés.


Je ne chante pas, valkyrie

Il fut en elle tout de suite après. La colère, la fierté, l'excitation se melaient en lui. Il se coupait du monde, ne sachant plus interpreter les cris de K-Cendre.
Il l'embrassa, oui mais lequel des deux fut à l'initiative ?

Écartelée.

Elle ne proteste cependant pas.

D'abord parce que ce serait vain, elle le voit à ses yeux.
Ensuite parce que c'est agréable, différent mais agréable, cette sensation de ne pouvoir résister.
D'être prise.
Alors qu'elle a choisi, hein.

Elle se borne donc à feindre de se débattre, juste pour que l'étau sur ses poignets se resserre.

A se laisser engloutir à nouveau par une vague qui prend lentement son élan, pour grossir... Grossir... Grossir...
A ne laisser filtrer qu'un cri silencieux pendant que son corps est secoué de spasmes, couvert de sueur.
A juste ahaner quand il lui tombe dessus à son tour.

A rester les yeux fermés, pour se repasser la bande vidéo du tout dans sa tête.
A presque y reprendre le même plaisir.

Elle rouvre péniblement ses yeux mauves, les tourne vers l'homme.
Attend.
Il veut être le dominant ?
A lui de parler le premier.

Et s'il lui demande "alors heureuse ?", elle cloue ses burnes au-dessus de la porte de la salle de bains.

Par vagues, la fureur l'envahit, il se dechaine, tente de se controler en vain.
Elle resiste, aime, se débat, se resigne ? Il ne le sait, ses yeux sont fermés, son visage crispé.

Soudain il explose, toute sa force, sa rage, son énergie lui echappent.
Il est couvert de sueur, à bout de souffle. Quand il revient, elle a son regard sur lui. Mauve, troublant.

Il était le dominant, maintenant, qu'est il ? Une enveloppe vide ?

Je...je. Si bon... si intense.

Ce fut parfait K-Cendre, maintenant, allons y

Il déposa un baiser sur sa joue, avant de sortir du lit et de se rhabiller

Un moment de blanc pendant lequel la jeune femme semble abasourdie.

Puis elle éclate de rire.
Un rire chaud et doux.
Et joyeux.

- Quel gentleman... Tu permets que je passe en vitesse sous la douche quand même ?

Elle roule hors du lit.

Cinq minutes après, rhabillée en baroudeuse urbaine et un sourire inconvenant aux lèvres, elle est prête.
Un foulard pour cacher le bas du visage.

- On y va, graine de chaos.

Je te laisse la main jusqu'à la prochaine fois
Batard

Il n'osait croiser son regard. Il durcit son visage le mieux qu'il put.
Graine de chaos ?
Ca sonnait bien.

Je dois me déguiser aussi ? Y a un grand batiment dans ta ville ? avec des fentres comme des miroirs ?

Il semble gêné.
Ah, les mecs...

- Non, tu as le look ad hoc. On va pas se la jouer touristes friqués, mais "trucs se fondant dans le décor".

Elle le pousse dehors tout en réfléchissant à toute allure.

- Mmmmh. Plusieurs. Tu n'as pas d'autres infos ?

D'autorité, elle lui prend la main : Valkyrie et patient.
Personne les emmerdera.

Elle me prend la main. Ouh la, va pas falloir qu'elle se fasse des idées. On a eu un bon moment ensemble mais c'est tout

J'avais dit que j'avais pas de carte. Un grand bâtiment avec plein de monde, vous avez ça ? Un truc administratif ou un magasin, non ?

Tu m'avais parlé du centre commercial. C'est un bon endroit pour débuter.

[Direction par là --> hop ]