Kleuska marchait dans les débris et autre… truc dégueulasse comme elle dit.
Puis elle aperçu un homme. Tout de blanc vêtu.

*mais sérieusement… pourquoi il est là lui… sa ressemble pas un endroit très accueillant comme endroit pourtant…*

Elle s’approcha de lui et s’arrêta à 3métre de lui. Yeux fixé sur son visage.

Kleuska lui souri. Elle aurait aimé arriver vers lui et lui faire bouh ! Enfin si elle avait une voix…
Elle incline légèrement la tête histoire de dire bonjour. Elle se rapproche de lui. Assez prés pour que si elle voulait elle pouvait le toucher. Ses grand yeux regardaient l’homme, le dévisager presque.

*Mais a quoi tu penses…*

Après quelques secondes elle sortie un stylo et écrivit sur sa main : « je suis muette. »

Lester. Elle aimait bien se nom. Kleuska pris les quelques feuilles. Mais elle n’avait pas envie d’écrire aujourd’hui. Elle mit les feuilles et le stylo dans les poches de son manteau trop grand. Puis elle rapprocha doucement sa main de celle de Lester. Quand il eu contacte elle commença à lui envoyer des images.
Dans ses image très flou et très vague il y avait des cris, des images de Kleuska dans le quartier des valkyries, dans un lit de valkyrie, une fuite, un cerveau non contrôler.
On pouvait comprendre qu’elle s’appeler Kleuska, qu’elle était une ancienne valkyrie, qu’on la croyait morte et que maintenant elle n’était plus personne.

Kleuska regarde Lester. Elle le trouvait assez mélancolique. Elle aurait voulu lui remonter le moral. Rien de se qu’y étais au tour d’eux ne l’intéresser. Lester étais le point centrale de toute ses pensées.
Elle réfléchie a un moyen de le faire sourire. Elle avait bien une ou deux blague imager, mais se n’étais peut être pas le moment. Puis elle ne connaissait pas cet homme, elle savait juste son nom et le faite qu’il avait sans doute des pouvoirs mentaux vus le magnétisme de ses mains.
Elle serra un des doigts de Lester, ses mains étant trop petite pour serré sa main entière.
Elle envoyait de nouvelle image.
C’étais le moment présent, eux deux dans les ruines. Mais Kleuska n’était pas pareil, elle était belle. Puis elle parla, elle se donna la voix que Lester voulais.

« Parle moi de toi… qui es-tu, que fais tu, que veux tu, qui veux tu ? »

Ses grands yeux bleus étaient fixés dans ceux de Lester.

Elle sentait la main chaude de Lester.
L’image mentale continuait. Dans cette scène elle se colla à Lester, se mit sur la pointe des pieds et lui chuchota à l’oreille.

« Je ne connais pas le vrais monde, mais j’ai des images de se monde, des saveurs, des sensations. Demande-moi et je te les donne. Dans la réalité je ne peux rien te donner, et mon corps n’est pas assez beau pour être un cadeau. Laisse-moi t’aider à partir loin de ses lieux que tu n’aimes pas, laisse-moi te faire rêver quand tu le voudras. La mélancolie est un sentiment magnifique, mais il ne doit pas être permanant. Laisse-moi te faire découvrir de nouveau sens. »

Puis elle lava sa main et arrêta le contacte mental. Elle s’écarta d’un pas. Toujours les yeux fixé sur, lui, elle attendait sa réaction, se sentant prête à être rejeter à tout moment.

Kleuska comprenais mieux se que ressentait Lester maintenant. Elle avait juste peur de ne jamais pouvoir lui donner.
Et oui… elle avait besoin d’être aimée. Elle avait étais formater pour sa après tout.

*Je n’ai rien à perdre de toute façon, je n’ai rien*

Elle se rerapprocha de Lester. Elle ne voulait pas lui prendre ses main, elle n’avait rien a dire, rien à exprimer, tout pouvais se passer de commentaires.
Elle l’embrassa, se fut un baiser furtif. Mais c’étais un vrai baiser, quelque chose de réelle, quelque chose dont elle avait véritablement envie. Mais cela ne dura même pas une seconde. Elle eu peur que son corps dégoute Lester.

Kleuska se colla à lui, elle se sentait bien, elle se sentait protégée, elle se sentait aimée. Elle leva les bras et attrapa le cou de Lester. Elle lui envoya un son mental.

« Emmène moi, viens on s’casse. Sa pue ici.»

Elle était sur la pointe des pieds, coller à Lester, serré, comme si elle voulait le traverser.

Kleuska n’avais plus les pieds qui toucher le sol, elle s’accrocha donc a Lester comme une fillette de 5ans s’accroche à son père.
Où aller, elle n’en savait rien, elle ne voulait pas le savoir, elle s’en fichait, elle voulait juste partir avec Lester.
Elle posa sa tête sur son épaule et lui fit un baiser dans le cou puis elle ferma les yeux.
Si elle ne répondait pas Lester aller peut être l’emmener où il voudrait.
Les yeux fermés, elle apprécia la chaleur de cet homme, jamais on ne lui avait porté une attention aussi gentille.

Kleuska commença a se servir dans les différente boite. Elle mangea bien. Sa fessais longtemps, sa fessais du bien.
Elle reprit son stylo et écrivit « merci » sur le parquet. Elle ne savait pas comment exprimer sa gratitude d’une autre façon… enfin… si, mais on ne joue pas avec la nourriture !
Une fois après avoir manger elle se mit à écrire par terre.

« Je suis désolé si je suis maladroite, mais je n’ai pas l’habitude de parler avec des gens, enfin… sans qu’il me raconte se qu’ils veulent de moi bien sur… enfin bref… j’aimerai te remercier, vraiment, j’aimerai te le dire pour que tu puisses entendre la sincérité de se mot, merci »

Elle leva les yeux vers Lester, elle espérait de tout son cœur qu’il comprenne… puis elle se souvient de son corps chaud…

Kleuska se leva et se mit derrière Lester. Elle mit se bras au tour de lui. Elle voulait juste sentir sa chaleur. Sa la réconfortais. Elle mit sa tête dans son cou, elle se sentais bien.