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 La femme est une promesse non tenue. (Libre à vous)

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Insurgé
Libre, même dans l'esclavage

Jürky
Jürky

Masculin
Age : 39
Fan Club RP : 2

Fichier Edvige ♫ ♪♪
<b>Particularité </b> Particularité :
Un peu d'histoire :

La femme est une promesse non tenue. (Libre à vous) Vide
MessageSujet: La femme est une promesse non tenue. (Libre à vous)   La femme est une promesse non tenue. (Libre à vous) Icon_minitimeJeu 7 Avr 2011 - 17:34



    LEGENDE : Jürky Z'allez bientôt le connaître mieux que ça.
    Bazil Castafolte . L'Italien sexy, rat de labo mais qui n'a rien contre les femmes, vraiment rien.
    Léa La fille qui ne disait pas non. Charmante, charmante, vraiment.


    Depuis toujours, j'avais remarqué que Bazil était un homme. Mais pas n'importe quel homme - oh ça non. C'était un homme à femmes. Un homme qui usait du charme de ses origines, de son collier bien rasé, de ses yeux sombres et mystérieux, bref de son physique plus qu'avantageux pour ramener de la belle. Parce que en plus, il les choisissait belles, le gaillard. A force d'en voir passer, j'avais remarqué que ce qu'il aimait par dessous chez les demoiselles, c'était leurs longues et fines jambes. Ah comme il avait raison. J'avais également remarqué qu'aucune ne c'était jamais vraiment intéressé à un homme comme moi. C'était vrai que je n'avais pas les traits excellents de mon très cher ami et que par moment j'avais des instants de folie pure et dure, mais en dehors de cela, n'étais-je pas un homme?

    Bazil était également quelqu'un de remarquablement jaloux. D'ailleurs, je pense que c'était pour cette unique raison qu'il était autant solitaire. Il n'aimait les autres que par moments et pire encore, il n'en aimait que certains dans ces moments. En gros ça pouvait se résumer à moi et aux femmes. Ah quel drôle d'animal ce Bazil là. Mais ce matin, vu que j'étais dans une période de lucidité complète, j'avais décidé de changer le cours du petit train train de ce très cher ami qu'était Bazil.
    Lui qui s'arrangeait toujours pour me faire déguerpir quand ça l'arrangeait - quand la demoiselle ne voyait aucun mal à écarter les cuisses, en d'autres termes -, il fût bien embêté ce matin-là.

    - Jürky, je...
    - Sois pas jaloux, quand il y en a pour un, il y en a pour deux mon grand.

    J'ignorais ce qu'il y avait de plus plaisant dans ce qui était entrain de se passer ; les douces lèvres de mademoiselle Léa ou la tête de perdu de Bazil. Dans les deux cas, je peux vous dire qu'après tout ce temps d'abstinence, ce ne fût pas la présence de Bazil qui me gêna par après. La damoiselle était comblée, dans tout les sens du terme.

    Trente seconde, montre en main, après le départ de la jeune femme, l'autre savant fou m'ordonna de me rhabiller et me foutu à la porte.

    - Ah ça tu marches sur mes plates bandes ; va voir dehors si j'y suis, bâtard!
    - La jalousie ne serait-elle pas un stimulant?
    - Va te stimuler ailleurs, pendard! Bâtard! Connard! Salopard!
    - Si tu veux, il y a tarare qui rime en "ar".

    La porte qui se rouvrit et la main qui se souleva me fit déguerpir en moins de temps qu'il ne fallait. Je commençais à devenir sur de moi mais quand même pas au point de me faire frapper. C'était Bazil-Jürky 0-1, ça m'aurait mal au cœur de revenir à égalité alors que sur ce coup-là, j'étais bel et bien supérieur.

    Une fois dans les rues assombries par le soir prenant place, quelque chose me dit que ce n'était pas une mauvaise idée de calmer le scientifique afin qu'il ne me laisse entrer. Le seul moyen de remédier à sa colère, c'était de la laisser s'apaiser ou de le faire changer d'idée. Sur le moment, ce serait très très très très compliqué. Mais où était-elle donc passer cette Léa? Oh, voilà, une charmante idée ; si je devais rester dehors, autant parcourir les alentours non? Eh bien si, c'est ce que je fis, pardi (quelle humeur poète, n'est-ce pas?). Quitte à trouver quelqu'un, je ne pus m'empêcher de lâcher un "Hey, y a quelqu'un?" d'abord aux murs, vu que personne n'était dans mon champ de vision. L'idée que n'importe qui pouvait me répondre me tordit soudain les tripes ; j'étais inconscient. Et si, par hasard, il avait des aiguilles? Ce serait la mort assurée. Sainte Marie, sauvez-moi.
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