Le jour se lève une nouvelle fois.
Le visage d'Apocalypsia, caressé par la douce chaleur du soleil, s'éveille.

"OH! Mes Fruits! Ils ont disparus... ou plutôt... mangé... haaaaaaaaaaa *soupir*
Bon... tant pis, il en reste plein dans les arbres."

L'enfant chantonne un air en grimpant dans les arbres, reprenant une vingtaine de pommes dans son sac.
Cela fait, elle saute directement du haut d'une branche situé a cinq mètres du sol.
Petite voltige de mise en forme. Atterrissage en roulade. Finissions debout, les bras grand ouvert comme pour accueillir les acclamations du publique...
Mais c'est pourtant bien la lumière du soleil qu'elle accueil dans ses bras.
Voila comment transformer une journée qui en apparence commençai mal, en une journée radieuse.
Pied nue, elle décide de franchir la rivière, sautillant de rocher en rocher.
Avec grand plaisir, elle saute au abords de la rivière pour éclabousser le plus loin possible.
Ce ne sont plus des pas mes de véritable coup de pied dans l'eau qu'elle donne.
C'est tellement amusant de jouer avec l'eau, de la voire s'envoler et refléter les rayons du soleil, les gouttes scintillant comme des étoiles.

Le sourire au lèvre Apocalypsia continue son chemin. Le pressentiment qu'une choses extraordinaire va lui arriver aujourd'hui la pousse en avant.
La journée entière, elle cours, sautille, tourne sur elle même, fait la roue et autres acrobatie... Découvrant la beauté du monde dans la joie et l’émerveillement.

Alors que le crépuscule jaunie la terre elle aperçoit d'immense cube...

Étrange... ça n'a pas l'air très naturel.

Fatiguer par sa longue marche, elle approche doucement...

Des fenêtre, comme chez moi ?! une habitation ? DES habitations! ... pourtant ça semble désert...
il y a des troue plein les murs... si ils avaient construit dans la roche, ils auraient pas eux ce problème!
D'autres être humains ont vécu ici ? a quoi ressemblait il ?
Et a l’intérieur comment c'est ?

Apocalypsia rentre dans l'une des nombreuses maison abandonnées. Le bois est bouffé par les mites, des vases en morceaux jonches le sol.
Les tapis sont décoloré, la cheminé éventré et noir. L'enfant prend dans sa main un vieux jouet cassé, une poupée.... tout du moins ce qu'il en reste, il lui manque un bras et une jambe.
Regardant encore dans la pièce, elle voie un escalier briser qui ne mène nul part.
Ses yeux se lève vers le plafond qui n'en est plus un... la moitié de celui-ci est tomber au rez-de-chaussé et encore au dessus les trois quarts du toit sont arrachés.
C'est une ouverture béante qui fait place au ciel... une maison qui a pour seul toit des nuages roses.

La petite blonde lâche soudainement la poupée qui tombe au sol...
Sa voix intérieur l'appel.
S'approchant de la porte d'entrer, elle sort légèrement la tête vers l’extérieur.
Seul la moitié de son visage apparait, son œil bleu glacé scrutant ce que l'on pourrai plus appeler un chemin qu'une rue.
Le soleil pourpre l’empêchant de discerner correctement ce qu'elle voie au bout de l'allée... une forme apparait.