Tsyklon avait fini sa journée, et décida de sortir de son lieux de travail qui lui servait aussi de résidence, Le Maintenancier avait envie de sortir de son trou.

Tout cela pour voir la vie a l'exterieur de sa petite bulle, de son monde bien formaté. a lui les rencontres imprévues et un endroit ou il y avait un air plus frait que des fumées de chaudronnerie.
Tsyklon enfila ses guenilles pour sortir, un jean bleu légèrement usé , des chaussures de marche banales et un blouson sans manche rouge porté sur un pull bleu marine. C'est sous cette apparence ce cet homme qui avait au delà de la trentaine, se décida a explorer le "jardin urbain" de la ville, pour changer de ses allez-retours entre son domicile et les magasins de nourriture.

Tsyklon sortit donc par la petite porte au nord de l'usine métallurgique, il se contenta de marcher de manière nonchalante tout en observant de ses yeux marrons les alentours, composés de blocks de bétons et d'acier tous gris, tous semblable et si mornes..;

*a coté de cela les hauts fourneaux c'est un film en couleur ..*

il se stoppa et ramassa une cannette vide qu'il jeta dans une poubelle situé non-loin de la.

Tsyklon vit émerger une personne de derrière la poublelle , un peut surpris certes mais ce qu'il allait entendre était encore plus surprenant.

"Hé doucement la...vous voulez réveillez les morts ?"

C'était qui cette pépé pour lui parler ainsi ? Tsklon répondit du tac au tac :

"Je ne prendrais pas une canette et une poubelle si tel était le cas, et les morts on rarement parole au chapitre ....

C'était froid, mécanique et monocorde, dans ce monde de béton et d'acier, la vie était si morne que Tsyklon était devenu lui même un des machine qu'il répare, froid sans coeur et effroyablement méthodique.
Il glissa une main dans la poche interne de sons blouson pour en tirer un paquet de "Belomo" une marque de cigarettes bon marché qui refilait le mal de crane a n'importe quel néophyte, Tsyklon tira une cigarette du paquet, la porta a la bouche et l'alluma, tout en rangeant son attirail il écouta cette pépé au cheveux bleus lui dire:

"En voila une belle rencontre, la journée n'a pas était trop dur ?"

Tsyklon marqua un temps de pause, en tirant quelques boufées dans sa cigarette, l’odeur du tabac se mélangeai avec cette odeur caractéristique de scorie qui le suivait.

"Vous croyer berner qui avec ses minauderies ? je ne suis pas né d'hier! vous, vous en contreficher de ma vie de ce que je fais et ce que je suis, j'en déduis que si vous dormez prés des poubelles c'est que vous avec d'autre passe temps que travaillier a l'usine.
Finalement les gens ne changent jamais .. vous me flatter dans quel but ? l'argent ?Vous n'este qu'un hypocrite, vivant probablement du malheur des gens, Maintenant excuser moi mais je suis sorti me changer les idées, pas pour vider mes poches et parler a une personne qui m'auras oublier dans l'heure .."

Tsyklon fit un pas de coté et esquiva l’étrangère au cheveux bleus,il tira plusieurs boufée frénétiquement sur sa cigarette tout en marchant.

Tsyklon était décidement tombé sur un sacré spécimen, la Valkyrie le suivait comme un chien suit un chapelet de saucisses.

Vous oubliez dans l'heure ? ça m'arrangerais peut-être bien, mais c'est pas vraiment possible dans l’état actuel des choses.
Votre argent m’intéresse bien entendu, je suis loin de pouvoir me permettre de cracher dessus, mais ce n'est pas pour autant que je vais vous voler, rien n'est gratuit dans la vie. Si je prend votre argent ce ne sera pas pour rien, donc n'ayez crainte vu que visiblement vous ne voulez pas grand chose de ma part....

Alors au lieu de déverser toute votre colère sur moi vous feriez peut-être mieux de m'offrir une de vos cigarettes et alors je pourrais vous dire ce que j'ai a vous offrir en plus des services générales d'une Valkyrie.


Tout en marchant sa main tanée se saisit du paquet de cigarettes, il le jeta en direction de la Valkyrie sans même lui accorder un regard, tout en tirant sur sa cigarette il continua sa route.

"J'ai besoin de personne, c'est plutot vous qui sembler avoir besoin de parler.
Moi j'ai déja accepté ma condition, je suis déja mort intérieurement et exterieurement il suffit d'une défailliance de la machine pour m’expédier ad-patres, mais je suis curieux de savoir ce que vous avez en plus, une chose est sur vous ne devez pas connaitre grand chose du dur labeur quotidien.