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Novlangue est un univers totalitaire inspiré de 1984 (G Orwell)

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 plaisir fatal

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AuteurMessage

Valkyrie
Instrument de plaisir

Adranon
Adranon

Masculin
Age : 37
Fan Club RP : 0

Fichier Edvige ♫ ♪♪
<b>Particularité </b> Particularité :
Un peu d'histoire :

plaisir fatal Vide
MessageSujet: plaisir fatal   plaisir fatal Icon_minitimeLun 30 Aoû 2010 - 13:14

- Hou encore… c’est bon ! Juste là. Huuuuuuummmmm

- Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiing

- C’est l’heure ma belle, j’ai quelqu’un d’autre juste après.

- Adra, s’il te plaît, encore un peu.

- Un peu, combien de temps ?

- Juste ce qu’il faut.

- Te connaissant ca risque de durer longtemps. Tu as assez ?

- Ne t’inquiète pas pour ca.


Elle posa une liasse de billets sur la table de nuit et se remis en position. Cela dura un bon moment, durant lequel Adra trouva le temps long. Il s’attacha d’abord à compter mentalement le nombre de clientes qu’il lui restait pour la soirée quand elle fut allongée sur le dos.

Il la retourna à quatre pattes car il voulait repenser la décoration de sa chambre. Les rideaux étaient là depuis un petit moment déjà, il devrait les changer. Idem pour le tapis, il prend trop la poussière. Et puis ce rouge… Quel cliché !

Elle commença à gémir, cela de l’empêchait pas de réfléchir au tableau au dessus du lit. L’impressionnisme était dépassé, les femmes qui aimaient les toiles s’intéressait plus au lugubre. Il faut le changer.

Les gémissements murent en cris et il dut la bâillonner pour se concentrer sur l’épilation des quelques poils qui se battaient en duel sur son torse.

Il en était à son troisième poil quand soudain elle arracha son bâillon et se mis à hurler de plaisir. Il avait l’habitude de ses écarts, il avait juste à réajuster son emprise sur l’implant de cette groupie. Pas besoin d’arrêter les mouvements ondulés de son bassin, il se concentra sur la zone de plaisir.

Il se concentra sur la zone de plaisir.

Il se concentra sur… elle se tourna, l’agrippa dans le dos. Ses ongles plantés dans la chair, elle accentua le mouvement et hurla de plus en plus fort. Il n’arrivait pas à reprendre le contrôle de son implant. Il n’arrivait pas à reprendre le contrôle de son corps. Il l’avait perdu ce contrôle.

Elle était déchainée, le mordait dans le cou, le maintenant fortement entre ses cuisses et continuait l’ondulation. Il était prisonnier du désir qu’il inspirait à cette femme.

Il se mit également à gémir, le plaisir montait, montait, il ne pouvait plus l’arrêter. Et toutes les barrières se brisèrent d’un seul coup. Le flux monta et fut libérer sans retenue. Le plaisir le submergea un instant. Mais la douleur fit surface rapidement. Elle continuait, il n’avait pas l’habitude, elle en voulait encore, toujours plus. Il ne pouvait plus, il n’était pas prêt à ça. Elle hurla à la mort, mais de plaisir. Et puis, plus rien. Elle relâcha son emprise sur son bassin, se laissant choir en arrière, dans un ultime gémissement.

Emma souriait, immobile. Lui se remettait tout doucement de cette expérience inédite, assis sur le lit, les coudes sur les genoux, la tête dans ses mains.

Une heure passa. Il ne bougea pas, Emma pas non plus. Dans sa tête, tout se bousculait, son métier, sa vie, sa conscience, son âme… il ne s’était jamais posé de questions.
Il se leva lentement, marcha vers la fenêtre, ouvrit les rideaux, il faisait jour, beau, radieux.

Il se rapprocha d’Emma, caressa ses bras nus, elle était froide. Si étonnant après la fièvre qui l’avait emportée une heure auparavant. Mais elle ne tremblait pas, un sourire illuminait sont visage. Il l’appela :

- Emma, réveille-toi. Il faut que tu ailles travailler.

Elle ne répondait pas et ne répondrait plus.

Quelques heures plus tard, sur toutes les ondes on parlait de gens incontrôlables errant dans les rues. Certains commettants des crimes, lui aussi, il était comme eux. Il le pensait.
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