[...] Enfin, Drew et Lester arrivèrent devant la colonie. Cette immense tour terrifiante sans aucun charme, où les N.O.D s'entassaient pour vivre.

Drew s'immobilisa devant l'édifisse et frissona. Cette tour avait quelque chose de... d'éffrayant. Elle prit une grande bouffé d'air et s'engouffra à l'intérieur, suivit de près par son invité qu'elle avait réussi à trainer jusqu'ici. Le trajet avait été silencieux. Trop silencieux. Ancun des deux n'avait osé parler. Pourquoi? Sans doute parce qu'aucun ne savait quoi dire.

Par malchance, Drew s'était tapé un appartement au trente deuxième étage. Simplement parce qu'elle était arrivé très tard et que tous ceux d'en dessous avaient déjà été pris. Il fallait donc monter une infinté de marches étroites et irrégulières. Il fallait sans cesse faire attention de ne pas tomber. Exercice difficile lorsqu'on se trimbalait un blessé plus qu'affaibli.

L'intérieur de la tour valait l'extérieur. L'insalubrité était telle qu'on osait même plus toucher les murs ou bien la rampe. Les odeurs qui se promenaient librement dans le batiment donnaient fortement envie de vomir. Parfois, l'envie de prendre une éponge et décrasser les couloirs démangeait Drew. Elle en avait mar de devoir tous les jour monter et descendre ces foutue escalier moisis et de s'impregner des odeures putrides avant de se rendre à son travail.

Encore quelques marches et ils y étaient. Drew jeta un rapide coup d'oeil derrière elle pour s'appercevoir que l'état de son patient n'allait pas en s'améliorant. Il avait un teint cadavérique, qui correspondait aux lieu, pensa-t-elle. Ses vêtements état dans un état lamentable. Le sang venait faire têche sur le blanc du linge. Vraiment, il avait l'air d'un clochard...

Drew s'arrèta devant une porte et sortit une carte magnétique qu'elle passa dans la fente. La porte se dévérouilla dans un petit "clac" sec suivit d'un grincement. Elle l'ouvrit en grand et dit sans entousiasme:

- Voilà chez moi...

La pièce était minimaliste... Mais vraiment, vraiment minimalite. Sobre, sans couleur. Le stricte minimum de meubles dans le minimum de pièces: un petit salon-salle-à-manger-cuisine-chambre meublé de ce qu'on pouvait encore à peut près appeler un lit double, une commode, une petite table avec deux chaise, un semblant de cuisine, et, incroyable, un canapé avec une petite télé qui marchait une fois sur deux. Une petite porte qui fut il y à fort longtemps, blanche, donnait sur une salle de bain décoré de moisisure verdâtre. Cette pièce, aussi amusant que cela puisse pareitre, était aussi grande que l'autre.

Drew fit signe à Lester de rentrer, et le suivit dans cette humble deumeure...

Elle entra dans l'appartement à la suite Lester. Elle n'aimait vraiment pas cet endroit... C'était petit, insalubre, très laid car sans couleur et sans design... Non, franchement, cet endroit était vraiment horrible. On se serait crut dans une cage à oiseau. Une cage à oiseau n'aillant pas était changée depuis quelque mois déjà! A chaque fois qu'elle se retrouvait ici, elle se sentait comme un fauve en captivité. Elle ne pouvait s'empêcher de faire des allers-retours nerveux attendant que le temps passe. De plus, regarder pas la fenêtre lui donnait la nausée. C'était vraiment très haut et la vue qui s'offrait à elle ne montrait que la misère et la laideur de Novlangue.

Heureusement, elle ne passait que très peu de temps dans cet appartement. Huit heures de travail par jour si tout allait bien, et plus si tout allait mal (et comme tout allait toujours mal...). Suivies d’une heure pour se rendre au lieu de rendez-vous qui changeait chaque jour, plus une heure de divulgation d'informations importantes à propos du gouvernement, et pour finir une heure de marche pour le retour. En gros elle avait minimum 11 heures de vadrouilles par jour, qu’en fait elle n’avait jamais car il y avait toujours des imprévues qui augmentaient le nombre d’heures. Alors son appartement pourrit, elle ne le voyait pas beaucoup. Mais pour le peu de temps qu’elle y passait, ça lui suffisait amplement.

Alors elle entra difficilement dans cet appartement qu’elle méprisait tant et invita Lester à faire comme chez lui. Elle disparut ensuite quelques instants dans la salle de bain ou elle fouilla de fond en comble son armoire à pharmacie pour en sortir du désinfectant, des compresses et du spray pansement. Puis elle se saisit de sa pince à épiler et retourna dans le salon.

Lester était à la fenêtre, pensif. Elle se demanda ce qui pouvait bien lui passer par la tête à cet instant là. Souhaitait-il sauter pour se suicider ? Il n’avait pas intérêt, elle ne voulais pas qu’il en finisse, pas après qu’elle eut retiré les morceaux de verre et qu’il soit partit. S’il devait mourir en sortant de l’immeuble, en marchant dans la rue ou bien en tombant dans les escaliers, peu lui importait. Tant qu’il attendait d’être parti…

Elle l’observa un court instant puis se dirigea vers lui et lui dit :

- Allez vous asseoir sur le canapé, je vais vous enlever toute cette merde qui vous fait souffrir.

Alors que Lester se trainait lentement vers le canapé, elle contata que la plaie était vraiment très sale. Elle regarda tout son matériel puis reporta à nouveau son regard vers Lester. C'était évident, avant de voiloir désinfecter et penser la blessure il fallait tout d'abord la nettoyer.

- De l'eau... marmona-t-elle pour elle-même.

Elle saisit rapidement un petit saladier dans un des placard de la-dite cuisine puis disparut à nouveau dans la salle de bain pour le remplire d'eau tiède. Ceci était encore un des point très pratique de cet appartement: si l'on voulait de l'eau, il fallait la chercher dans la salle d'eau, faute d'absence de robinet dans la cuisine. Elle attrapa en passant une serviette propre, ou du moin à peu près propre, et elle ressortit.

Dans le salon, Lester s'était alongé en boule sur le canapé, tranblotant comme un gamin tétanisé... Pourtant il ne faisait pas froid dans l'appartement. Elle s'approcha doucement du canapé et posa la bassine sur la petite tablette banquale près d'elle.

Lester avait vraiment mauvaise mine. Il était tout pâle et ses muscle était cripé. Il serrait dans ses mains les plis de son pantalon. Là il marmona d'une voix tramblante:

- Faîte ce que vous voulez, peu m'importe. Mais ça ne me fait pas souffrir, ou si peu, comparé au reste...

On pouvait entendre dans sa voix et dans ses propos toute la lassitude d'un homme qui en avait trop subit. Il y avait aussi un melange de tristesse et de colère de l'incompris. Que cachait-il derrière cet enveloppe corporelle qui donnait l'image d'un homme puisant et sans émotion? Un homme anéanti un je-ne-sais-quoi, un coeur en miettes, et sans doute autre chose, de plus terrible, de plus troublant...

Drew avait pitié de lui. Lui apporter son aide pour une simple petite blessure ne devait en rien améliorer sa situation. Mais que pouvait-elle faire d'autre? Lui demander de se confier? Il ne le ferait sans doute pas et, offencé, il s'en irait sans être soigné. Elle se contenterait donc de le guérire et de le laisser partir ensuite.

Elle le saisit au epaule et lui dit calmement comme une mère ferait avec son enfant:

- relevez-vous et arrêtez de raconter des âneries. Si vous restez ainssi je ne pourais rien faire pour votre blessure.

Lorsque Lester fut redressé, elle passa derrière lui, de l'autre coté du canapé, avec tout son matériel de secouriste amateur.

- Détendez-vous...

C'était inutile de dire cela. Elle voyais bien que Lester l'était déjà au maximum. Mais c'était un peu un reflexe... Et puis il fallait bien tuer le silence.

Elle s'empara de la pince à épiler et l'approcha précautionneusement de la plaie. Elle agrippa un premier morceau de verre et le retira brusquement, découvrant ainssi une petite entaille d'où le sang ruissela immédiatement à petite dose. Elle s'attaqua ensuite à un deuxième bout de verre, puis à un troisième, ...

Pendant ce temps, Lester, devant elle, ne manifesta aucune douleur.

Soudain il débita:

- Ca doit pas être très beau... Et pourtant j'aurais pu lui faire pire. Peut-être n'ai-je pas osé l'attaquer parce que c'était une femme ? Qu'elle avait froid sans doute ou qu'elle me paraissait suffisamment pathétique pour que je minimise la remarque. En fait, non, je crois surtout que j'étais trop con. Ca aussi, ça m'arrive souvent...

Drew l'écouta parler. Elle ne comprit pas tout de suite ce dont il parlait. Puis, au fil de ses mots, elle sut qu'il racontait ce qu'elle n'osait plus lui demander. C'était un peu confu mais son récit parlait d'une visiblement d'une femme, mais pas n'importe quelle femme, mais celle qui l'avait agressé. Mais qui était-elle? Et pourquoi lui avait-elle fait cela? Des question que Drew ne voulut pas poser. Elle savait que si elle le laissait parlait sans le précipiter, il lui dévoilerait ce qu'elle voulait savoir.

Elle resta donc muette et continua son travail.

Lorsque vint le enième et dernier morceau de verre, elle nétoya la plaie avec le serviette et l'eau puis appuya dessus avec la compresse pour tenté de stopper toute les petites hémoragies qu'elle avait provoquées en retirant les bouts de verre. Elle prit alors ces quelques seconde pour obsever discrètement et plus en détails son invité. Elle contempla ses habits blanc, souillés par le sang, puis sa ceinture d'où pendait une matraque, et un emplacement pour une arme qui n'y était plus. Etait-ce aussi cette femme qui lui avait volé? Ou bien l'avait-il tout simplement perdu ou oublié?

Elle était au courant pour lui, pour ce qu'il était. Depuis la seconde ou elle l'avait apperçut, elle avait comprit. Mais elle n'avait fait aucune remarque à ce sujet. Du moin elle s'était fortement retenue. Mais il fallait qu'elle sache. Alors elle sortit cette question qui lui brûlait les lèvres depuis le debut. Cette question idiote et pourtant qui risquerait de faire fuire l'homme qui se tenait assis devant elle. Elle savait qu'il n'avait pas assez confiance en elle et qu'il risquerait de s'immaginer toutes sortes de choses folles.

- Dites-moi, Mester, pourquoi un mentalliste tel que vous se retrouve-t-il soudain dans un état des plus déplorable et tente de se faire passer pour un clodo et pour l'homme le plus malheureux du monde?

Drew prit une grande bouffé de fumé puis la recracha. Devant ses yeux passait et repassait la vision qu'elle venait d'avoir. Car, en effet, ce n'était pas pour ce qu'elle avait dit qu'elle chassait Lester, c'était parce qu'il faisait ressuirgir en elle des souvenir terrible de son passé. Cette fois-ci ce n'était pas une vision d'avant le crache, mais une d'après.

Elle était quelque part, au milieu d'un grand prés qui n'avait plus été exploité depuis longtemps. Au loin le Sloeil se levait timidement, comme à son habitude, ne prenant pas compte de des nombreux avions écrasés au sol... Drew se releva difficilement. Son flanc droit la faisait terriblement souffrir. Elle regarda autour d'elle, et ne vit que désastre et fumé. Aucun signe de vie... Etait-elle réelement la seule survivante de cette bataille? Etait-elle desormais seule contre tous? Devrait-elle continuer à lutter contre Novlangue, celle qui était à l'origine de ce chaos?

Elle s'extirpa des décombre de son avion et se dirigea vers le suivant. A l'intérieur, le pilote et le copilote étaient dans un état lamentable, et les quelques soldats qui étaient à l'intérieur ne ressemblaient à plus rien d'humain. Elle fit ainssi le tour de tous les avion en retrouvant à chaque fois le même tableau. Il n'y avait donc aucun survivants...

Seule...

Personne...

Tous morts...

Drew fut brusquement retiré de ses pensés lorsque Lester s'appracha d'elle et lui parla. Elle avait les larmes aux yeux, tant sa vision avait suscité en elle une nuée d'émotion allant de la tristesse au désespoir, de la panique à la rage. Son coeur battait si fort qu'elle en avait mal. Sa respiration était sacadée. Elle avait le sensation d'étouffer, de se noyer dans sa détresse.

Alors lorsque Lester lui tendit amicalement la main, elle la saisit comme une opportunité de s'évader de cet état d'urgence. Elle lui sourit timidement et lui envoya un regard qui disait tout sur ce qu'elle ressentait à cet instant.

Elle avait le sentiment d'avoir enfin trouvé quelqu'un sur qui compter...

Ce fut un long baisé doux et langoureux. Si beau et si étrange à la fois. Drew n'avait jamais ressentit ça auparavant, du moin ne s'en souvenait-elle pas. Et se laissa entrainer dans cette vague d'émontions que susitait ce baisé. Ces émotions inconues. Etait-ce de l'amour? Ou bien de la passion? Non. Rien de cela. C'était plutôt une sorte d'attirance corporelle, de désire temporaire, de besoin...

En effet, c'était un réel besoin. Dans un monde où le plaisir est interdit, c'est là qu'il est le plus convoité. Et le plaisir hors la loi était sans doute le plus risqué mais le plus beau et facinant aussi. C'était celui là dont Drew et Lester avaient besoin à cet instant. Ce plaisir qui pouvait leur remonter le moral, leur redonner le goût de vivre ne serait-ce qu'un instant.

Alors Drew se laissa prendrre au jeu. Et lorsque Lester se décolla pour la remercier à son tour, elle continua ce qu'elle avait commencé. Par un bref "chut" et un doigt sur sa bouche, elle le fit taire. Puis elle se racrocha à ses lèvres. Cette fois-ci, le baisé fut plus violant, plus insistant. D'une main elle agrippa la chemise de Lester et de l'autre ses cheuveux.

Lèvres entralassées, corps sérés l'un contre l'autre, elle faisait appel à ce fameux plaisir interdit...

Drew était prise dans l'élent de plaisir. Elle laissait Lester lui faire tout ce qu'il voulait. La parade devenait de plus en plus érotique.

Mais soudain, elle rouvrit les yeux et, en face d'elle en train de la ploter, ce n'était plus Lester mais un des deux hommes qui l'avait sauvagement violé à son arrivé à Novlangue. Et fut prise d'un malaise et repoussa violement son invité.

Comme une enfant, elle alla se réfugier derière le meuble télé. Elle s'assit et séra ses genoux contre sa poitrine. Tout son corps tramblait, et pour se calmer, la jeune femme se mit à se balancer d'avant en arrière tout en chantant une chansson américaine qui lui était revenu à l'ésprit sans qu'elle s'en rende compte. Encore un souvenir enfui qui refaisait surface...

"Oh, say, can you see, by the dawn's early light,
What so proudly we hail'd at the twilight's last gleaming?
Whose broad stripes and bright stars, thro' the perilous fight,
O'er the ramparts we watch'd, were so gallantly streaming?
..."

Des vague d'images qu'elle ne comprennait pas passèrent devant ses yeux. Un drapeau, des soldat, un homme, ...

Les tremblemants redoublèrent de plus belle. Elle continua donc son hymne plus fort, avec des petit sanglot hoquetants de temps à autre.

"And the rockets' red glare, the bombs bursting in air,
Gave proof thro' the night that our flag was still there.
O say, does that star-spangled banner yet wave
O'er the land of the free and the home of the brave?
..."

Elle s'arrêta brusquement et se releva d'un bond. Puis elle se dirigea vers un placard de la cuisine et en sortit de derrière une floppé de boite et de paquet, une petite plaquette de pillules antidépresseurs. Elle en sortit deux (bien qu'il était fortement conseillé d'en prendre qu'une seule par jour et de préférence le ventre plein) et l'avala s'en rien.

Elle retourna chez Lester et begueilla:

- Ex... Excusez moi... Je... Je ne comprend pas ce qui m'arrive...

Elle regarda un long moment Lester dans les yeux. Elle portait dans son regard toute la misère du monde. On aurait cru qu'elle avait été mise à très rude épreuve, ce qui n'était pas forcément faux.

Elle prit la main de Lester et la porta à sa poitrine.

- Sentez-vous mon coeur battre? Ce coeur si brisé. Je souffre à un point, vous ne pouvez pas imaginer. Alors je vous en prie, ne partez pas. Ne me laissez pas seule dans cette prison. J'en peu plus. Libérez-moi. Emmenez-moi je ne sais où, mais emmenez-moi...

Tout en parlant elle commença à dénouer son corset. Lorsqu'elle en arriva au dernier étage, elle se racrocha aux levres de Lester et l'embrassa langoureusement, sensuellement, suptilement, ...

Puis elle se décrocha à nouveau et dit:

- Ne partez pas... J'ai besoin de vous...

Elle retira alors completement le corset, découvrant ainsi une large poitrine, ronde et ferme, ne demandant qu'un homme pour être admirée.

Elle enlassa à nouveau Lester et l'embrassa.

- Vous ne devriez pas Drew, je vous en prie, ne vous rabaissez pas de la sorte. Je resterais avec vous, mais ne faîtes pas comme moi, ne vous humiliez pas vous-même je vous en prie ! Ne commettez pas mon erreur !

La voix de Lester résonna dans la t^te de Drew. Ces mots apparurent comme méchants, humiliants en comparaison au faits. Jusque là il n'avait pas refusé ses avance, et d'un coup il la rejetait! Alors lorsqu'il voulu l'étreindre elle résista et le repoussa très violament contre la porte. Elle ramassa son corset et le remit tout en criant sur son invité:

- Vous avez bien profité de moi, et dès que vous voyez mes faiblesse vous prenez peur! Vous êtes un beau salaud en réalité!

Elle commença à lasser son corset.

- Oubliez-moi! Oubliez ce que vous avez vu ici! Et foutez moi le camps immédiatement! Je ne veux plus vous voire, je ne veux plus...

Tout en parlant elle se raprocha de Lester de frappa le torse de l'homme avec ses poings. Elle frappa encore et encore, de moin en moin fort jusqu'à arrêter et retouber dans ses bras en sanglotant. Elle entoura sa taille de ses bras et murmura:

- Je suis désolée! Je suis telement désolée! Si vous saviez à quel point j'ai honte!

Ils étaient mainenant elassé comme un couple.

- Je voudrais rester ainsi pour toujours... chuchota-t-elle. Mais hélas c'est impossible...

Elle dessera un peu l'étreinte afin de pouvoir regarder Lester dans les yeux.

- Si j'agis comme ça, c'est que j'en ai envie, pas pour me prostituer.

Elle prit le visage de Lester entre ses petites mains.

- Si je fais ce que je fais c'est que j'ai envie de vous. J'ai besoin de vous. Ne vous donné-je pas envie? Ne me désirez-vous pas?

Elle approcha son visage de celui de Lester jusqu'à ce que leur bouche se frolent, puis elle recula d'un bon et se dirigea vers le lit. Elle s'allongea en espérant que son invité la regeoingne.

L'atmosphère se réchauffait fortement. Allongée sur le lit, Drew observait Lester qui était resté devant la porte. Elle l'appelait avec son regard le plus coquin qu'elle pouvait. Elle l'invitait à le regeoindre. Elle le voulait, elle avait tellement envie de lui.

Il s'approcha d'elle tout en enlevant son T-Shirt, découvra un longue torse squelettique. Ce qui ne manqua pas d'aracher une petite grimace discrète de la part de Drew. Mais il en fallait bien plus pour lui hôter l'envie.

"Mmh, un stip tease", pensa-t-elle.

Elle se laissa tranquilement porter par Lester, sans mots dire. Il l'emmena jusque dans la salle de bain.

- Un massage? Volontière!

Lorsqu'il la posa à terre, elle n'attendit pas pour enlever à nouveau son corset pour laisser repirer sa poitrine. Elle s'empressa de retirer ses bottes et son pantalon en cuire, tout en restant gracieuse et sensuelle. Elle se retrouva alors en string, face à Lester. Abant de terminer de se deshabiller, elle se dirigea vers sa beignoire, écarta le rideau, et alluma l'eau chaude et fumante. Puis elle fit demi-tour vers Lester, l'enbrassa langoureusement tout en dénouant sa ceinture. Elle recula d'un pas et en leva son string, laissant échapper un triangle de poils rouge comme ses cheuveux.

Elle retourna alors à la beignoire pour y ajouter des boules parfumée et du savon moussant. Rien ne valait la mousse dans un moment tel que celui-là. Immédiatement une douce odeur de vanille s'échappa de la beignoire. Elle attrapa ensuite un petit flacon et l'envoya à Lester.

- Huile de massage. Monoï.

Elle laissa paraître un large sourir et s'engouffra dans la beignoire, laissant l'eau chaude lui bruler la peau et la mousse la chatouiller. Elle s'allongea et fit ressortir ses jambes pour ajouter un coté sexy à la situation.