Le vent souffle dans les arbres, Les oiseaux chantent, Apocalysia est dans un nouveau monde.
A chacun de ses pas, elle redécouvre sans cesse la nature. Le soleil filtré par les branches d'arbres, éclate en plusieurs rayons de lumière.
La forêt étant parfois hostile, la jeune fille avance lentement, coupant les quelques ronces qui lui barre le chemin.
Ses sens en éveilles, guident ses gestes au travers du danger verdoyant.
Avertis intérieurement des risques encouru, si elle venait à arracher une ortie de la main, ou bien même de traverser un chemin rempli de chardon.

Mise à part ces divers désagrément, la forêt est calme.
La faim se fait ressentir, L'aventurière laisse ses pas la guidée, la menant droit vers une baie.
Plusieurs petites boules rouges se révèlent devant elle, mais d'instinct Apocalyspia sait qu'il ne faut pas y toucher.
Sans même savoir exactement ce qu'est du poison, sa voix intérieur l'interpelle, lui disant d'oublier les supplications de son ventre et de continuer plus en avant.
Ce qu'elle fit, rebroussant chemin et continuant vers l'est.
Elle s'arrêta de nouveau devant un arbre, lorsqu'elle aperçu encore une fois des boules rouges... accrocher dans un arbre.

Cette fois c'est la bonne!

Les prises étant nombreuses comparer aux parois du pic d'Arpège, ni une ni deux, elle saute sur l'arbre et grimpe avec une faciliter déconcertante.
Elle décroche le fruits, ça croque, c'est juteux, cette un pomme!
Après en avoir mangé huit et remplis son sac avec une vingtaine d'autres pommes, elle redescend et reprend sa route.
Pas loin d'ici on peu entendre l'écoulement d'une rivière, la terre sais prendre soins de ses enfants.
Apocalypsia remplie sa gourde, la voila prête pour continuer son périple.
Mais comme après chaque bonne journée et surtout un bon repas, il est l'heure du repos.
S’asseyant dans le creux d'un chêne, elle contemple la rivière.

Je voie tant de choses merveilleuses et je n'ai personne avec qui les partager.
Suis-je seul au monde ?
Pourtant je suis certaine que mes parents son la, près de moi.
...
J'aime le bruit le l'eau qui s'écoule, c'est si paisible.
Tant de choses à vivre... tant de choses à voir.
Seul... et pourtant tellement heureuse...

Les cerfs s'approchent de l'enfant, alors qu'elle s'endort...