Une des seules sorties possible de Novlangue. Un petit hangar dont une large porte permet de sortir du dôme.
A l'intérieur, quelques jets privés. C'est aussi un des endroits les plus protégés de novlangue. Une attaque insurgée à cet endroit serait une véritable catastrophe.
Heureusement, tout est contrôlé, jusqu'au moindre petit détail.

De grandes plaques de métal suspendues dans les airs. Je ne vois pas comment voir les avions différemment.
Dans une autre vie, j'aurais peut-être été terrifié. Pourtant aujourd'hui je suis serein.
Calme, du sang froid dans les veines, zen. Pour un peu, je me prendrais à chanter.

Je devrais prendre cette occasion pour dormir un peu, mais je n'ai pas sommeil et je sais que je peux tenir encore une bonne journée avant que la fatigue ne s'abatte sur moi.

Il doit avoir reçu mon appel maintenant. Mon message sur sa boite vocale était plutôt clair. Et tous les NOD doivent également connaître le lieu de rendez-vous.
Je n'ai plus qu'à les attendre et une fois qu'ils seront présent, il ne nous restera qu'à décoller.

J’espère que tout se déroulera comme prévu

Conteneu des poches et vêtements:

Les ''N.O.D.'' procédaient à ma ''fouille en règle'' et à l'inspection de mon ''équipement'' qui consistait en un pistolet à gaz avec les accessoires et deux pochettes contenant des injecteur de mes produit favoris.  Hors de question que j’emmène ma mallette de fonction fétiche dans ce genre d'escapades. Je porte mes vêtements de voyage et comme ce que les Valkyrie me fournissent, c'est aussi pratique qu'élégant. Une fois les contrôles d'usages effectuée je sort enfin du poste de sécurité. Je parcours le tarmac et mon regard s’attarde sur la grande porte qui donne sur l’extérieure du dôme, ce monde retourné à l'état sauvage. Un officier armé m'approche et je souhaite ne pas avoir outrepassé une quelconque zone interdite.


Hey c'est vous le Valk?! Allez rejoindre votre transport au quai E et resté dans les zones jaunes.



Il se rapproche en s'assurant qu'il n'y avait pas de personne qui regardait.


Je sais pas si tu me reconnait, c'est Sorenfeild! Tu parts longtemps et où?! Tu sais que je suis dut pour la semaine prochaines. j'ai refait des crise et y'as vraiment que cette tisane qui...


Ouf! C'est un client, je ne me serai pas retapé une séance de fouille en règle avec ses tordu. Ne me reste qu'à me rappelé pourquoi je vais le voir au juste sinon il le prendra personnelle. Heureusement j’aperçois Geai et réussit à m'extirper des griffes de ce client en manque de je ne sais pas quoi.


Je serai sûrement revenue pour notre rendez-vous. Là je doit me rapporté au bataillons de Miss Hammond alors à plus!


Je prend la direction du quai E et salut mon vielle amis Jay.

J'ai hoché la tête pour le saluer en retour. Tout le monde est là ? Il est temps de partir.

Vous verrez, c'est le sommet de la technologie, et tout le confort moderne.

Ce n'est pas un mensonge. C'est un mini-appartement, avec ce qu'il faut de boissons fraîches et de plats exotiques pour accompagner un vol rapide et agréable.

On y va ?

Je suis monté à bord, et je me suis installé sur un des canapés à l'intérieur.
Si tout est prêt, il ne reste plus qu'à lever le camp.

Dans ma poche, je n'ai pas oublié de glisser une arme à feu. Rien de technologique. Ou du moins, rien d'aussi dangereux.
Si quelque chose tourne mal, c'est ce bon vieux revolver qui s'occupera de régler le soucis avec un peu de poudre et beaucoup de métal sous la peau.

Je n'étais jamais sorti de Novlangue. Ça va être amusant.

Je mets la valise contenant mon pistolet à gaz à coté de mon siège, prend place juste devant lui et constate que cette avion n'était plus luxueux que mes premiers quartier de Valkyrie.



Ouais ben tempère ton enthousiasme. En un siècle à vivre par eux-même en dehors des lignes directrices de la civilisation, c'est devenue le ''Far West'' là dehors!



Notre officier militaire de service passe devant nous pour aller directement. Au passage je contemple sa formes athlétiques qui étant misse en valeur par l'uniforme d'apparat qui était élégamment échancré. En quittant le Club Select j'était tomber sur une ''courtière d'information'', spécialiste Valkyrie qui valait à elle seule tout les services de renseignements à la disposition du gouvernement.


En échange d'une promesse d'informations spéculatives sur la Carlson Inc., elle m'a révélé ce qu'il y avait de pourri sous le toit de la maison Hammond et bien que c'était marrant notre protectrice n'était pas impliquée. J'attend que la séduisante soldate aille dans le cockpit pour briefer notre pilote sur l'itinéraire à prendre. Je me penche vers Jay et chuchote pour évité qu'elle puisse nous entendre.



Plutôt bien foutu notre dame de plomb, mais veux-tu en entendre une bonne sur la famille Hammond?  



Je me sens soudainement comme au bon vieux temps du centre d'éducation Automate. Ce voyage va être vraiment amusant tout compte fait. Les moteurs, à peine audibles de l’intérieure, se font sentir alors que le ''jet'' décolle en poussée verticale.

Je me suis adossé contre la banquette. Le voyage sera rapide.

Oui, pourquoi pas.

Une poussée horizontale, et c'est parti. La vitesse se ressent à peine et pourtant à travers les hublots, le paysage laisse Novlangue loin derrière.

Je lance un autre regard vers le cockpit pour être certain de ne pas être entendus.


Et bien son frère serai une espèces de pervers, le paternel ferai des pieds et des mains pour étouffer l'affaire. Normalement je n'en ferai pas de cas, mais quand ces rumeurs viennent d'une Valkyries spécialisé dans le délassement à l'horizontal qui  a certainement vue d'autres, on se demande jusqu'où ça peut bien aller? Voir même, es-ce que c'est de famille?


Je fit un signe de tête en direction de note protectrice. Je retrouvais, de familière sensations, durant les dernière années je n'ai pas eut le moindre rapport avec un être humain qui n'était liée à mon boulot. Bien que ce voyage était pour conclure une affaire au nom du gouvernement, j'était enfin hors du pot de vaseline qu'était ma situation professionnelle.  




Pendant ce temps, à des centaines de kilomètres, Olympia préparait l'arriver des Novlangiens, ou était-ce Novlangois? Elle devrait trouver la réponse avant leur arrivée. Sous la menace de leur couper le courant tout les villageois avaient été mit à la tâche pour rendre le petit hameau présentable. C'est deux larbins préférés la gardait avec vigilance, car ce n'était pas tout le monde qui acceptait sa suprématie sur leur condition précaire bien que confortable. Olympia les avait extrait de la fange en leur fournissant lumière, chauffage et autre commodité. Le sacrifice demandé était moindre en comparaison de l'alternative de devoir survivre dans ces montagnes où les température allait en dessous de zero 10 mois par années. Son règne était ferme et juste selon elle, mais son autorité était constamment remise en question par les familles de ses travailleur ''volontaires''.  Quand ceux-ci disparaissait ou plus, souvent qu'autrement, trouvaient la vie à ses coté plus agréable qu'avec leur proches. Un écho lointain pouvait se faire entendre, était-ce les moteurs d'un de ces véhicules épatants?



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Fin du prologue, suite dans; L'ascension-de-la-reines-blanche.