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 Le BG de MUNUROË

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Corben Dallas
Corben Dallas

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Un peu d'histoire :

Le BG de MUNUROË Vide
MessageSujet: Le BG de MUNUROË   Le BG de MUNUROË Icon_minitimeVen 17 Mai 2024 - 17:10

Préambule.

Il était temps…
Ouaaaaaaaach ! Dieu s’étira si fortement que sa compagne reçue sa main dans la figure.

Depuis quelques temps, Dieu, lui-même ! S’ennuyait.
Et quand un dieu s’ennuie… Imaginez donc !
Un dieu c’est balaise quand même, ça sait tout faire et ça peut TOUT faire !
Sauf que lui, il s’ennuyait.

CLING ! Fit la cervelle de Dieu en trois exemplaire et contresigné.

C’est à cet instant précisément, qu’il eut cette idée incroyable...
En regardant le monde qu’il avait créé hier ou avant-hier, pour lui le temps n’ayant pas
la même teneur que pour nous autres mortels, il se dit qu’il pourrait sans doute changer
le cours des choses et qu’au fond, ça ne serait pas pire que maintenant, et qu’au pire,
s’en serait une distraction nécessaire.
C’est ainsi que Dieu créa l’erreur. Et d’un monde parfait, où tout semblait voué à
évoluer dans un sens, sur une route toute tracée et sans la moindre surprise, sans le
moindre cloaque, sans le moindre dérapage, pas même un mauvais virage oublié d’avoir
été dessiné sur les cartes Michelin, Dieu en fit un monde imparfait, illogique,
surprenant, différent !
Dieu jeta le grain de sable et l’erreur pris tout son sens, le fruit de son absolue
imperfection, l’erreur devint mortelle.



Chapitre I : Le monde bascula dans l’erreur.

Napoléon ne naîtra jamais, mais un nain nommé Bécile naît au détour d’un siècle se mis
en tête de conquérir le monde. Rien que ça. Il était méchant et sournois, vil et aussi laid
qu’un crapaud ! Son ambition immense et démesurée lui permis de conquérir… les
sous-sols de Lonedonne. Ben oui, mais pour un nain c’est pas rien. De nos jours, cette
Cité existe encore, mais on parlera de ville, on est quand même pas à la préhistoire.

Leonard de Vinci fut enfermé pour hérésie, Galilée quand à lui, naît aveugle et mourut
persuadé que la terre était définitivement plate et rectiligne. Cette
déduction fut le fruit d’une longue réflexion induite par les nombreuses chutes et autres accidents de parcours dus à sa cécité.
A noter que les aveugles perçoivent les lignes droites comme des courbes, on peut en
déduire aisément que Galilée n’était pas très malin et qu’il est bon pour Munuroë qu’il
n’ait jamais trouvé la vue.

Tous ces grands hommes qui auraient pu bâtir Munuroë à l’image d’un monde sans
l’erreur, n’ont pour ainsi dire pas réellement existés ou si peu. En tout cas, Dieu en rit
encore, mais il glissa tant de grains de sables dans les rouages chromosomiques, qu’il y
eut plus de crétins que de génies.
Bien sur, de grands hommes sont à l’origine de ce monde, mais… ils sont différents. Et
ils bâtirent Munuroë… différemment.

Si l’on devait définir Munuroë, on aurait bien du mal. Mais, j’aime à dire que ce monde
est un peu comme si, à un moment donné, tout ce qui aurait du continuer et prendre la
voie logique, faire le monde tel que nous aurions du le connaître, avait basculé dans le
désordre. Au lieu de suivre un chemin parfaitement droit et logique, en totale cohérence
avec l’ordre des choses que les siècles des siècles ont scellé sur certains parchemins
historiques et même bibliques, c’est en mille chemins éminemment absurdes, que le
monde de Munuroë s’est dispersé.
L’Elfe en est le parfait exemple. Cf. la description des races.
En tout état de cause, votre voyage sur Munuroë vous laissera un gout étrange en
bouche, comme un bon vin estampillé Château Margaux qui s’épanouie au palais avec
un mauvais gout de torchon aigre et qui décape la langue sans oublier de hacher la luette
menu-menu.



Chapitre II : Quand l’erreur prend le pas sur le temps.

Ici, on ne va pas aborder le temps qu’il fait, mais son unité, la météo étant une science
légitimée aux gobelins, il faut rendre à César ce qui est à César.
En effet, les grands Hommes de Munuroë ont bien entendu évoqués ce problème, parce
qu’il fallait bien manger à un certain moment et que sans établir une règle, tout le
monde mangerait à n’importe quel moment et ce serait le foutoir. L’économie à venir en
dépendait.
Ainsi donc, nos têtes bien remplies se mirent à penser, et sans manger, la faim fit très tôt
sont apparition et toute l’ampleur de la problématique fut démontrée et confirmée par
cet état de fait.
L’unité de temps, très logiquement et par voix de conséquence, fut : la Denrée.
Evidemment, Dieu s’amusant, il ne prit pas le temps de modifier les cycles planétaires, et
le système solaire resta en l’état.
Evidemment, les grands Hommes moins brillants sans doute, qu’il aurait fallu,
s’arrêtèrent ici. Et le temps fut mesuré simplement en Denrée, une denrée
correspondant à 365 lunes et pis c’est tout.

De cet essaim de grands Hommes, naquit le mouvement des faux-maçonniques. Groupes
composés des plus brillantes cervelles, des plus érudits et des plus altruistes.
En tout cas, c’est ce qu’on dit
Ils devinrent les dépositaires de l’erreur, sans le savoir, Dieu est si puéril.
C’est à eux que nous devons la voiture sans moteur, le moteur n’ayant pas été inventé.
Mais aussi, l’électricité ! Parce que sur Munruoë, il y a l’électricité ! Mais pas de moteur
à faire tourner avec, évidemment.
L’électricité servira donc partout, mais sans moteur à faire tourner. De fait, l’éclairage
au moyen de bougie sera le plus souvent préféré, et la nourriture sera cuite au feu de
bois, c’est bien meilleur. Dieu en rit encore.
Le pétrole ? Il y en a ! Et partout ! A foison ! Mais sans moteur à faire tourner...

Pour tout dire, on trouvera tout ce qui constitue un monde moderne, mais sans moteur.
Et ainsi soit-il, ricana Dieu.
Le rasoir électrique existe ! Les faux-maçons l’ont inventé ! Sans moteur bien sur, il
orne les salles de bain comme on y range un parfum ou un savon.
La brosse à dent électrique existe elle-aussi, on l’utilise normalement, sans moteur, en la
frottant sur chacune des facettes des dents et de bas en haut, de préférence.

Les cuisines sont des plus modernes, les robots électriques occupant d’ailleurs, une des
places majeures de la cuisine moderne. Parfaitement positionnés sur le plan de travail,
ils assurent une décoration parfaite et harmonieuse, on pourra y apposer, par exemple,
un magnifique pot de fleurs.
Quant à la télévision, elle aussi fut inventée par les faux-maçons et tient une place tout à
moteur en a fait des objets très utiles, on peut, par exemple, remplir le tube cathodique
conçu étanche, avec de l’eau pour en faire un aquarium où petits et grands pourront
admirer sans se lasser, les joies de leurs petits animaux à nageoires. D’autres préféreront
y exposer leurs meilleurs ouvrages, siège de toutes les ambitions et par qui, naîtront les
discussions les plus raffinées. Ou les plus ennuyeuses, tout est une question de point de
vue, dira Dieu en soupirant.

Certains faux-maçons travaillèrent sur le vélo à moteur, il en résulta un véhicule bicycle
dont l’arrière était constitué d’une sorte de réceptacle qui prit le nom de porte bagage à
l’endroit où le moteur aurait du être. On nomma cet engin, un vélo.



Chapitre III : Un peu de géopolitique.

A la lumière d’une bougie, nous pouvons aborder la géopolitique de Munuroë qui peut
se résumer en cette phrase : que s’est-il passait pendant toutes ces denrées pour que
Dieu se marre encore !

Comme de bien entendu, les guerres se succédèrent, guerres de races, guerres de
territoires, guerres lasses et cetera, quand les races arrivaient à s’entendre et ainsi de
suite jusqu’à la construction de la première grande ville : Lonedonne.
On y retrouve toutes les races, puisqu’elles s’affrontèrent pendant nombre de denrées,
suivez s’il vous plait. Et très vite, elle devint la capitale de Munuroë.
Autour de cette grande cité, on trouvera une petite ville ou plutôt un village exotique, ses
maisons étant construites dans les arbres ou avec des arbres. Quant à leurs habitants,
difficile de les définir, toujours est-il qu’on retrouve un certain nombre de légendes
toutes plus ou moins fondées, mais le mieux reste encore de s’y rendre pour en découvrir
la véracité.
Ce village porte aujourd’hui le nom de Robe InWoode.
L’histoire de ce village est toute droite issue de l’épopée héroïque du dit Robe. Une sorte
de voleur qui ce serait retiré des affaires. On dit de lui, qu’il aurait mené le plus puissant
gang de Lonedonne, pillant et massacrant tous les marchands.
Les lonedonéèns, lasses d’être dépouillés d’un coté, grassement rémunérés par les
marchands de l’autre coté, se seraient rebellés pour chasser Robe et son gang jusqu’aux
frontières terrestres de Munuroë, laissant Lonedonne à la merci des marchands et le
bordel s’établit. Dieu, parait-il, s’en tape encore les genoux.

On vit alors l’arrivée massive de toutes sortes de gangs et d’un boss nommé Al Papon.
Mais les livres ont oublié ce personnage, trop petit et minable pour orner les étagères de
nos bibliothèques. Il semble toutefois, qu’il ait mené certaines opérations secrètes et que
son nom fut craché lors des massacres d’innocents, trahisons, délations et autres
bassesses.
Quant à Robe, il aurait établi son gang dans ce fameux village forestier et se serait
converti en prêtre vaudou pour faire « couleur locale ». En tout cas, son canif ne servit
plus jamais à trancher des gorges, mais à tailler des petits bouts de bois d’une forme
longue et droite, au bout arrondi, qui mesure environ 14 cm… et destinés aux femelles.Encore une fois, il s’agit d’une légende et nul ne connaît réellement l’utilité de ces petits
objets. Mais, peut-être serait-il sage d’interroger certaines femelles à ce sujet…

A l’opposée de Lonedonne, un autre assassin fit parler de lui au cours des siècles passés.
Les histoires font état d’un personnage cruel et sans pitié. Certains rapportèrent qu’il
portait une balafre sur la joue droite dont la cicatrice ne se refermait pas. Elle lui aurait
été faite par un succube, alors qu’il l’aurait séduit. Il lui aurait tranché la gorge après lui
avoir arraché le cœur pour le sacrifier dans un rituel satanique.
Le succube aurait alors pris la forme d’un loup, qui errerait encore à l’Est de
Lonedonne.
Si vous payez quelques tournées générales dans l’auberge du coin, peut-être vous
glissera t-on son nom, entre deux verres : « Vil Basker ». Mais ne soyez pas surpris du
silence et des mines effrayées qui suivront la prononciation de ce nom : Le Vil Basker,
c’est ainsi qu’on le reconnaît. « Par les nuits sombres et sans lune, entre deux arbres
morts, vous pourrez distinguez sa silhouette et celle de son loup. Alors, il faudra fuir et
ne pas vous retourner »
Ceux qui vous parleront de lui, le feront avec cette peur qu’on lit sur les visages et qui
leur donne ce trait si particulier de la terreur. Ils vous parleront de ce village réduit en
cendre par les hordes de démons du Vil Basker et de son loup noir, ils vous parleront de
ce marais où résident les rejetons du Vil Basker et du succube, et si la peur ne vous serre
pas l’estomac et que vous vous rendez dans les régions du Vil Basker, alors prenez garde
les soirs sans lune…
Mais, ce ne sont que des histoires de comptoir, et Dieu lui-même se tait quand on lui
parle de succube. On dit que le sujet est si sensible, que chaque orage qui s’abat sur
Munuroë est une colère divine et concernerait le succube et le fils de Dieu : Odieu.


Toutes ses histoires se racontent dans les tavernes du port « Aster Damné », le célèbre
port de Lonedonne par où partent et arrivent les marins d’ici et d’ailleurs, les voyageurs
venus de contrées éloignées et encore inconnues et que seules les dieux reconnaissent : les
régions lointaines.
Ce port porte le nom d’un marin disparu en mer, jusque la rien d’étonnant, et Dieu
aime à rire de son histoire, puisqu’il n’en a pas !
Aster Damné serait un marin, un marin arrivé par la mer comme tout marin et qui

aurait raconté quelques sombres histoires sur des terres lointaines et inexplorées où
vivraient des populations encore inconnues et aux mœurs si différentes de celles
communément reconnues par ici.
C’est tout ce qu’on connaît de l’histoire d’Aster Damné, son nom fut donné au port et
nul ne sait pourquoi.
Peut-être son histoire se raconte t-elle dans les régions lointaines…

Au Nord, un château immense et magnifique domine Lonedonne et là encore, mille
contes et légendes inachevés sont chantés, mis en fêtes et en cérémonies et puis
garnissent les comptoirs accompagnés de vins et de bières.
Son histoire n’est pas connue, il est là, il a toujours été là, comme un objet posé il y a des
siècles, tout le monde le voit, tous le connaissent, mais quand on interroge un passant au
hasard des rencontres, ce dernier reste muet dans l’incapacité d’en révéler quoi que ce
soit.
Mystère et boule de gomme, dira Dieu en mâchouillant un Chamallow.

On parle toutefois à voix basse, de salles énigmatiques et de labyrinthes, mais le mystère
reste entier.



Chapitre IV : Les cultes.

En effet, comme dans tous les mondes, les cultes existent et malgré que, sur Munuroë, les
dieux soient là pour tenir les rennes et jeter des grains de sables à tout va, ils ont bien
évidemment fomentés les cultes. Cultes, qu’ils ont décidé sans l’avouer, toujours faisant
croire aux mortels à leur propre destiné et invention.

En voici les principaux auxquels chaque race s’en trouvera rattachée d’une façon ou
d’une autre et ainsi soit-il, dira Dieu en pétant.

NB : cherchez et vous trouverez peut-être quel dieu se cache derrière tel ou tel culte.

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