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Novlangue est un univers totalitaire inspiré de 1984 (G Orwell)

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 Dépatouillage mental contre ses souvenirs

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Mentaliste
Le destin bat les cartes, nous jouons

Lester
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MessageSujet: Dépatouillage mental contre ses souvenirs   Dépatouillage mental contre ses souvenirs Icon_minitimeMar 10 Aoû 2010 - 22:37

Rappel en cas d'alzheimer précoce

Parce qu'on est jamais trop prudent...


Dépatouillage mental contre ses souvenirs Thewriterbytasteofomi


La vie est une pièce de théâtre aux multiples actes, remplis de scènes. Le personnage principal n'est personne d'autre que soi-même. Jamais il ne peut savoir qu'elle sera la scène suivante et avec qui il la jouera.
Ses compagnons, tous très bons comédiens, l'accompagneront le temps d'un dialogue, d'une scène ou peut-être d'un acte. Bien peu sont resté longtemps à ses côtés, et pourtant c'est avec ces quelque uns qu'il a vécus ses plus beaux moments.

Si l'esprit arrive à capter les images les plus marquantes, souvent le temps efface les parties environnantes. Il n'y a qu'un seul moyen pour forcer son esprit à se rappeler.

C'est pour ça, que moi, Lester, ai commencé à taper ce qui sera un ersatz de journal intime. Mon récit.
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MessageSujet: Re: Dépatouillage mental contre ses souvenirs   Dépatouillage mental contre ses souvenirs Icon_minitimeMar 10 Aoû 2010 - 23:05

Acte premier


Scène 1 : Panne, pour le meilleur, et pour le pire...

    Dépatouillage mental contre ses souvenirs 0hapinessbysblueskyCe jour-là est sans doute un des jours qui m'a le plus marqué et mérite vraiment que je le retranscrive ici, tant par le fait que les puces end-vices venaient de tomber en panne que de la merveilleuse rencontre qui en a découlé.
    Après m'être réveillé en sursauts sous les hurlements stridents de l'alarme du temple et la réunion de briefing qui a suivi, je suis parti en ville comme tous les autres mentalistes. Sauf que, moi, au contraire d'eux, ait fini par vite renoncer à ma mission quand j'ai vu les orthodoxes si déchainés que même deux N.O.D ne pouvaient pas survivre bien longtemps face à eux. A coup de poings, de pieds et de tout ce qui trainaient, j'ai vu deux des miens finir en chair à pâté. Alors, moi, tout seul et aussi inoffensif qu'un moucheron, j'ai décidé de passer inaperçu et de rester calme. Vu la supériorité numérique et l'état d'excitement intense des sujets, c'était sans doute la meilleure solution.
    Le stress ou tout simplement la malchance ont (a) fait que je me sente tout à coup mal. Comme d'habitude un mal de tête intense et des nausées m'ont fait chancelé. Je me suis rattrapé au premier arbre venu.
    Tellement préoccupé par mes troubles, je n'ai pas vu qu'il était déjà « pris ». En l'occurrence par une jeune orthodoxe, timide et douce aux grands yeux verts et aux cheveux bruns. Elle portait sur elle un énorme manteau ce qui m'a un peu surpris quant à la chaleur ambiante. Si j'avais su...
    Elle était avenante et je me suis assis à côtés d'elle. Nous parlions de tout et rien, (surtout de rien) tandis que derrière nous des insurgés lynchaient un pauvre bougre.
    Rapidement nos gestes et paroles se sont gorgés d'un deuxième sens et, voyant qu'elle était conciliante, je me suis rapproché d'elle. Sans même la connaître, je lui faisais confiance. Ce qui s'est passé entre nous pendant ces dix malheureuses minutes ne peut être retranscrit en mots. Juste pour dire que c'était fabuleux... Je ne pensais pas qu'on puisse éprouver autant de plaisir, un plaisir simple et pas pervers, de tenir dans ses bras un autre être humain, de sentir son corps battre contre soi, de sentir sa peau... Je n'étais plus vraiment moi-même. Un instant, j'étais ce fœtus nageant dans la cuve 6767, insouciant, heureux. Plus rien n'avait de sens, ni l'odeur de chair brûlée qui parvenait à mes narines, ni les cris de joie des gens derrière moi. Juste elle.
    Et puis, tandis qu'elle me caressait, un contact furtif, bref comme le temps d'un battement de cœur, a fait revenir le mentaliste que j'étais. Une partie de moi se sentait coupable, surtout de ce que je profitais alors que je n'en avais pas le droit, alors que j'étais censé faire autre chose. J'avais désobéi au gouvernement et je devais donc m'auto-punir.
    Pris de colère, plus après moi-même qu'après elle, j'ai feinté de toujours vouloir son étreinte (une partie de moi la voulait encore, ça c'est sur, et même maintenant), tandis que je lui arrachait son manteau.
    La surprise fut de taille car ce que j'y découvris... Enfin non, je ne veux pas l'écrire, j'ai déjà tellement l'image en tête, j'ai trop honte pour revenir dessus...
    Je ne savais pas quoi faire, j'étais tiraillé entre deux chaises : la dénoncer ou continuer. Finalement, pour m'éviter de plus tard m'en vouloir, j'ai fais ce qu'il y avait de mieux à faire : je suis parti.
    Ce fut douloureux pour spécimen-mâle6767, et énervant pour ma partie mentaliste, mais je n'avais pas le choix...


Conclusion : Maintenant il y a deux femmes que je veux revoir : specimen-femelle6767 et Emilie, si le destin me le permet.


Scène 2 : après la tempête en pleine mer
    Dépatouillage mental contre ses souvenirs Kayla01bycarla22Ayant laissée Émilie à regrets, une autre femme m'a tout de suite harponnée, encore une rebelle (à croire que je les attirais le jour-là). Une autre brune, plus foncée celle-là, un peu plus vieille. Mais ça restait tout de même une pièce de choix ! Une certaine Kaÿla, un prénom de Diva. D'abord je me suis demandé si je ne la rêvais pas, si je ne m'étais pas drogué sans en avoir conscience. Mais non, la Kaÿla était bien réelle et vivante, pas trop cruche en plus.
    Bref, une magnifique femme qui me parle, qui semble intrigué par ma présence. C'est qu'il y avait de quoi, surtout face au contraste entre tous ces corps pressés qui s'entrechoquaient un peu partout au sol, ces animaux, et moi, triste et seul. Je devais tellement me dégoûter que ça sortait par tout les pores de ma peau. Déjà que je ne passe pas souvent inaperçu avec ma tenue blanche, mais là...
    Donc elle a commencé à me tanner, à s'intéresser à moi. D'après elle c'était mystérieux que je sois dans cet état, ça lui donnait un peu d'occupation.
    Elle m'a proposé une petite promenade que j'ai accepté, malgré mon envie croissante de partir. Et on a parlé, de tout de rien. On a fait tomber les masques : elle insurgée, moi mentaliste. Je n'avais plus le cœur au service de toute manière, juste envie de me droguer un bon coup et de tout oublier, oublier qu'être spécimen-mâle6767 était possible.



Scène 3 : errances brouillées
    Dépatouillage mental contre ses souvenirs Ordurebyseita74J'ai ensuite erré, loin, quelque part. Je ne me rappelle plus où je me suis piqué ni quand. Mais les seuls souvenirs lucides qui me sont restés de cette fin de soirée sont placés sous le signe de la décharge. J'étais bien beau : plein de boue et pataugeant dans une fange putride.
    N'empêche que c'est dans ce cadre cauchemardesque que j'ai fait ma troisième rencontre. Encore, si ça avait été un claudos ou je ne sais quoi. Mais non, c'était une jeune adolescente, belle et encore fraîche.
    Je n'étais plus vraiment moi-même, plus vraiment sur cette terre. Je me souviens de quelques mots, de mon allure débraillée et des quelques phrases pas très cohérentes que j'ai prononcé. Elle aurait pu très mal le prendre, mais apparemment je ne lui ai pas fait aussi peur que ça puisqu'au final nous avons partagé mes dernières pastilles de drogue. Aventureuse la petite.
    C'était comme une petite étincelle au milieu de la merde, une petite étincelle rose.


Dernière édition par Lester le Dim 10 Oct 2010 - 8:54, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Dépatouillage mental contre ses souvenirs   Dépatouillage mental contre ses souvenirs Icon_minitimeMar 17 Aoû 2010 - 19:33

Acte second


Scène 1 : Le partage du sanctuaire

    Dépatouillage mental contre ses souvenirs BlogloftEt alors je l'ai ramenée, ma petite étincelle, chez moi-même. Il faut dire qu'il n'y avait aucun des deux pour rattraper l'autre. Ça partait dans tous les sens ! Un coup je titubait jusqu'à la salle de bain, un coup elle me vidait une pleine bouteille d'alcool ! Je vous raconte pas l'état de mon appartement après, entre les gens boueux du gros orteil jusqu'à la racine des cheveux... On pouvait nous suivre jusqu'à la trace. Ça m'apprendra, tient, à être si dépravé.
    Dépravé, parlons-en ! Cette gamine avait 16 balais tout rond... Bon, elle était consentante, mais tout de même. Moi, le vieillard de 27 ans, c'est pas très sérieux tout ça !


Scène 2 : La défense du sanctuaire
    Dépatouillage mental contre ses souvenirs MoscouplacerougeLe lendemain, je n'ai pas eu le temps d'immerger (il devait bien être trois heure de l'après-midi), que déjà les emmerdes recommençaient. « La place de la réflexion est le siège d'une émeute sans précédente ! » nous dit une mentaliste gradée. Et hop, on fonce au dit-endroit, et j'ai découvert un truc énorme, impensable.
    Grisés par la panne des centaines de gens (insurgés et orthodoxes), lançaient des pavés sur la façade du temple. Le Temple, lynché ! Non mais vous imaginez le spectacle ? On avait jamais vu ça !
    Nous les mentalistes, on a pas eu vraiment le temps de s'en extasier car les moutons, prenant conscience de leur avantage numérique, se sont mis à nous tirer dessus. Une N.O.D s'est prise une balle dans la jambe et une autre s'est faite tabassée. Je m'en suis bien sorti de mon côté et j'en ai descendu pas mal, comme tous.
    Le repli nous était obligé car les émeutiers se faisaient de plus en plus violents, même pour les membres de l'Ordre et de la section Bêta. On a ravalé notre égo et on a couru vers le temple, épaulant les plus faible.
    Et puis une voix, féminine, entêtante, suave, m'a soufflé à l'oreille un truc incroyable. Elle voulait que j'utilise mon pouvoir mental pour permettre aux chiens du gouvernement de survivre et de regagner le temple.
    Alors j'ai obéi sans me poser de question. Je n'avais pas le temps de réfléchir.
    Je suis resté en arrière et j'ai lancé sur les cerveaux qui bloquaient notre sanctuaire une bonne pâtée d'ondes. Il fallait que sa grille pendant trente seconde.
    Un gars est venu m'aider, un chic type lui.
    J'ai peut-être tenu quinze seconde au lieu de vingt, mais n'empêche que je me sentais plus pisser après. Je sentais plus mes jambes non plus d'ailleurs et il a fallu que mon nouvel ami me tienne, et ensemble, on a franchi la porte du temple.


Scène 3 : Le repli au sanctuaire

    Dépatouillage mental contre ses souvenirs ChampagnesanctuaireBien, vite, on s'est rendu au temple, et on est resté, comme des cons. Je ne me rappelle plus bien de ce qui s'est passé. En tout cas, notre statut de mentaliste en prenait un j'ton. Vous pensez bien, ceux qu'on croyait les plus fort... Obligés de se cacher comme des lapins dans leurs terriers. Une honte, une vraie. Du jamais vu !


Scène 4 : Sex, no drugs, no Rock and roll'

    Dépatouillage mental contre ses souvenirs CigarettebydoloreLa seule chose que je me suis dis à la fin de tout ça, c'est que j'avais vraiment eu des couilles le jour-là. On peut dire que cela résume parfaitement ce qui s'est passé, rien à redire de plus si ce n'était que je ne sais pas, encore maintenant, si je dois en rire ou en pleurer. Pourtant c'était mal parti au départ, mais ça s'est sacrément rattrapé ! De toute manière le mal s'était installé depuis bien longtemps, depuis avant tout ça même. Je ne sais pas, je ne l'ai pas senti faire sa tanière. Alors à quoi bon regretter ? L'échafaud est déjà prêt désormais...


Scène 4 : Adieux

    Dépatouillage mental contre ses souvenirs LovebyketkaKleuska est revenue. J'étais las, transi de fatigue. En fait, je ne pensais pas la revoir un jour. Elle m'attendait, et j'ai faillis la tuer. C'était poignant, ça faisait mal. Un instant, je ne me suis senti plus seul. Un instant, je me suis senti bien. Mais c'était avant les adieux, avant que nos paroles ne s'enveniment et que nos cœurs ne se mettent à se serrer.
    Et elle est partie, cette connasse, en volant mon flingue...
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MessageSujet: Re: Dépatouillage mental contre ses souvenirs   Dépatouillage mental contre ses souvenirs Icon_minitimeDim 30 Jan 2011 - 14:27

Acte tertiaire


Scène 1 : drømmeren så vannet ser

    Dépatouillage mental contre ses souvenirs ThamesbyvenusgalerieJ'étais plutôt heureux. Quelque chose avait changé dans ma façon de percevoir ma vie ; j'avais entraperçu la précarité du système, et parallèlement, la beauté du monde. L'automne commençait à enserrer de ses griffes Novlangue et je profitais des dernières chaleurs du jour, assis sur le jetée à admirer le fleuve. Personne, rien pour contredire ma rêverie, et la souffrance même qui s'en était allée.
    Soudain, alors que je ne faisais pas trop attention, une pauvre femme a essayé de me voler. Je n'ai pas protesté. Futilité de ce bas-monde. Intriguée, elle est finalement restée à parler, jusqu'à ce qu'elle parte en omettant de me rendre mes pilules. Évidemment, le manque me poussa à la suivre, jusqu'à la rejoindre dans une sombre ruelle. Il s'agissait d'une simple insurgé qui tentait de survivre.
    Je me suis shooté, naturellement, et j'ai été trop bavard. Sans doute ai-je été chiant, ou a-t-elle juste vu une occasion de sortir de la merde. Je ne sais pas. J'ai faillis, ce soir-là, entrevoir le rêve à coup de tesson de bouteille. Mais il en fallait plus pour avoir raison d'une crevure de rat comme moi.


Scène 2 : Bon(ne) Samaritin
    Dépatouillage mental contre ses souvenirs WecanbefriendsbybenheinJ'ai ensuite erré dans Novlangue. Apparemment, il n'était pas si tard et dans le quartier du marché, j'ai rencontré une femme charitable. Je suis d'abord resté méfiant. On me la fait pas à moi, le coup de la pute trafiqueuse d'organes, je m'y connais moi. Mais non, elle semblait au final vraiment charitable. Alors je me suis laissé entraîné jusque chez elle. Il fallait aussi dire que je n'étais pas au top de ma forme pour réfléchir.Au fait, j'étais même sacrément amoché.


Scène 3 : Chacun ses démons

    Dépatouillage mental contre ses souvenirs 8cd087d2bebb5af6d277658C'était une N.O.D, une furie au corps magnifique, qui noyait son moral en dent de scie à coup d'antidépresseurs et de nymphomanie. D'un côté, elle m'avait soigné, alors il fallait bien que je la contente, et face à pareille bête, je n'étais pas vraiment contre. Je ne comprenais même pas bien ce qui pouvait l'attirer dans le chien galeux que j'étais. Puis j'ai su qu'en fait, sous ses airs de guerrière, elle était plus chamboulée que moi. Pour une fois, je me suis dit que je n'étais pas le plus malheureux et que, dans le fond c'était elle la plus à plaindre... Une certaine Drew Connor. Drôle de nom.


Scène 4 : Nytt år, siste år ?

    Dépatouillage mental contre ses souvenirs PluiebyemmyphotographieUn étrange phénomène métrologique paralysait Novlangue depuis plusieurs jours. Au début, j'aurais pensé qu'une telle tempête ne pouvait durer plus de deux jours, mais ça a empiré. L'ambiance au sein du gouvernement était plus tendu, et cela se ressentait jusqu'aux sphères mentalistes, mais j'étais bien trop préoccupé pour m'en rendre compte. Ce que je peux passer à côté de pleins de choses importantes quand je suis en manque.
    Plus de dealer. J'ai harponné une orthodoxe (assez irascible d'ailleurs. Ça se comprend), et je l'ai carrément obligée à me suivre dans ma petite escapade dans les quartiers miteux. Une femme blanche, sans odeur...
    Et l'eau qui tombait, les tsunamis, les désastres. Serait-ce le début de la fin ?


Scène 4 : La fin des temps

    Dépatouillage mental contre ses souvenirs Paniquebyxannikaxd32fcpDevant le temple, c'était le mouvement de panique. Il pleut tellement, c'est la catastrophe ! Nous, les mentalistes, devons courir en tout sens pour ramener la population dans un lieu sûr. Mon dieu, la fin est réellement en route ! Mais qu'est-ce que les scientifiques ont encore pu faire ? J'ai réellement peur. Le vent s'était levé et j'étais incapable de tenir debout, sans veste qui plus est. Je vais attraper la mort.
    En fait, je crois que je l'ai déjà attrapé, car je vois des hallucinations. Des choses affreuses, comme des gargouilles, qui hurlent et sifflent. Et qui parlent...
    Pourtant, une petite fille l'a vu aussi...


Scène 5 : Un monde d'apparence

    Dépatouillage mental contre ses souvenirs Janinax3mnightclubbyjanPourtant, s'il y a bien une culture que même la tempête n'ébranle pas, c'est bien le monde des automates. Les porcs gavés de privilèges (et donc de tunes, et donc de drogues), je les ai senti à cent mètres à la rondes. Même sous la tempête, ils attendaient devant une nouvelle boîte de nuit. Le Wonderland.
    Ni une ni deux, je les piste, je flaire. Face à une population compacte, j'ai été dans l'obligation de me replier jusqu'au bar. Et là, je suis tombé sur une pièce de choix. Un riche, l'air un peu trop aimable, qui m'a payé ma tournée et même la suite : c'était le proprio. Il y avait aussi une étrange femme qu'il m'a semblé reconnaître. Étrange, vraiment. Le pire c'est que ça aurait pu être une chouette soirée...
    Pourtant, je ne me rappelle plus de la fin, et je suis toujours en manque. Cherchez l'erreur. Est-ce encore une hallucination ; je me le demande ?
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MessageSujet: Re: Dépatouillage mental contre ses souvenirs   Dépatouillage mental contre ses souvenirs Icon_minitimeDim 30 Jan 2011 - 14:44

ENTRACTE


Pause 1 : Le prophète et l'apocalypse



Pause 2 : La faille



Pause 3 : Heure zéro


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