Restaurant de l'hôtel

**PNJ** **L'Ecclésiaste** Age : 134 Fan Club RP : 0

Les portes du restaurant s'ouvrent violemment et claquent contre le mur
Cassées, brisée, dégondées, explosées en mille débris.

Il fait chaud tout à coup, trop chaud
Une brume étrange précède l'homme qui se trouve dans l'encadrement de la porte
La lumière, dans toute la pièce vire au rouge
Non, ce n'est pas un mauvais tour de votre raison
Qui peut dire ce que c'est ?

L'Ecclésiaste avance au travers de la pièce, au milieu de ce qu'il reste de la magnifique salle de restaurant où luxe et frivolité résonnaient il y a encore quelques instants, avant le premier coup de semonce de L'Ecclésiaste.
Il évite soigneusement chaque décombres, chaque obstacle avec une agilité gracieuse, un pas sur, une marche sure, il est maintenant fasse à Claudia... Samia... Dilan ?

Il regarde...
Claudia.

L'Ecclésiaste empoigne son visage entre ses mains
Il la fixe sans sourciller, sans un mot, sans prononcer une seule parole
Il est en elle, dans son esprit
Elle souffre
Elle est prise de spasmes
Rien qui ne dérange L'Ecclésiaste.

Dilan a du tenter de s'interposer,
Tant pis pour elle
Elle est projetée quelques mètres plus loin.

Ouille, ça fait mal, n'est-ce pas Dilan... Recommence, et je te pulvérise, ou bien je broie tes os en commençant par les tibias. Sois une gentille fille et je te laisserais vivre quelques heures, encore.

Elle entend ses mots, dans sa tête mais elle seule, les entend.

Il relâche sa prise, le visage de Claudia est libéré,
Claudia S'effondre inerte
Elle respire, sans conscience.

Samia a du avoir un mot trop haut, une parole, un cri ?
Il lève le bras, la paume de sa main dirigée vers elle,
Elle se tort de douleur
Sa blessure
La douleur est insupportable
Et puis cesse.

Elle retombe à terre avec la voix de L'Ecclésiaste qu'elle seule a entendue
Ces mots qu'elle n'osera jamais prononcer :

Tu es une chienne parmi les chiennes
L'instrument du plaisir
Tu crèveras la dernière
Je te réserve un sort tout particulier, à la mesure de tes péchés !
Couché !
La chienne...

L'Ecclésiaste attrape Claudia par la main et la jette sur son épaule
Personne ne sait comment il est parti, ni comment il a quitté la pièce

La lumière n'est plus rouge
La chaleur et la brume se sont estompées
Tout est à nouveau normal
Claudia a disparu.

Je suis là, cachée, recroquevillée dans un coin , si bien qu'il semble qu'il ne m'ait pas vu.. Faut dire que j'ai suivi les consigne de Dilan cette fois... Mais Dilan, il l'envoie voler, il semble en avoir après les deux femmes qu'on a rejoint...

Je ne les connais pas, je regarde, examine silencieusement... J'ai tout de même sursauté quand les portes ont claqué, cette lueur rouge qui l'entoure, qui semble remplir la pièce, c'est comme ci ca piquait mes prunelles bleue, je les frotte...

Il finit par choper l'une des filles, la balance facilement sur son épaule et disparait... Je cligne des yeux, lâche un soupir de soulagement et murmure à moi même...

- il ne m'a pas vu...

Je crois que je suis blessée, pas grand chose juste quelques écorchures sur la paume de mes mains, mais ca pique quand même... Et tout l monde s'en cogne on dirait... Vu que le grand méchant est parti, j peux peut être enfin gueuler... P'tet qu'enfin l'une d'elle va m soigner non?

Il y a du verre partout en plus, je suis peut être même capable de me blesser encore...

- Aieuuuuuuh, j'ai mal moi !!!

Je m'approche de Dilan, presque inquiète.. enfin je sais très bien jouer la comédie quand même alors je fais semblant de m'intéresser à son état..

- Dilan ?? hey lève toi, j'ai besoin de toi, regarde je saigne...

les yeux tout triste, même une larme qui coule le long de ma joue, une petit reniflement si avec ca elle ne m'aide pas je sais plus quoi faire moi...

Claudia se trouve dans la Zone Psychiatrique

Comment imaginer que ca pourrait être pire et pourtant. Au moment où il est entré dans le restaurant, elles allaient quitter la pièce.

A nouveau cette sensation de peur qu'y la saisi et tord ses entrailles. Une goutte de sueur glisse le long de sa tempe jusque dans son cou. Tétanisée elle regarde cet homme, cette chose approcher. Instinctivement, elle recule de quelques pas, grimaçant quand elle s'appuie sur son pied blessé.

Elle regarde la scène qui se déroule devant elle, sans pouvoir bouger, sans pouvoir réagir. Claudia et Dilan, comme des pantins entre les mains de l'ecclésiaste. Un gout de sang dans sa bouche, elle n'a même pas réalisé qu'elle se mord la lèvre inférieur jusqu'au sang si absorbée par cette vision.

Elle a du laisser échapper un cri, il se tourne vers elle, la regarde. Un frisson parcours son dos, pourtant elle n'a pas froid.
Il ne s'approche pas et pourtant, il ne la touche même pas. Mais durant cet instant si court, et pourtant si interminable pour elle, elle aurait voulu mourir, mourir pour stopper cette douleur qui la submerge.

Elle place ses mains autour de sa cheville douloureuse, un long cri plaintif s'échappant de ses lèvres. Quand enfin tout s'arrête, la douleur s'arrête mais pas la peur.

Tu crèveras la dernière...

Un sort tout particulier...

Elle entend encore ces mots dans son esprit pendant qu'il quitte le restaurant, emportant Claudia avec lui. Elle n'a rien fait, n'a pas levé le petit doigt pour aider la jeune femme. Mais qu'aurait-elle pu faire?

Les yeux écarquillés, les mains encore autour de sa cheville, elle fixe l'endroit où l'homme et Claudia ont disparus.
Une petite voix se fait entendre pas loin d'elle. Mais elle fait quoi ici cette gamine. Samia la regarde faire avant de réaliser enfin. Elle n'a pas l'air blessée, la fille de l'autre peut être.
Elle doit bouger, bouger pour les aider et partir d'ici avant que l'autre décide de revenir.

Mais il va m'obéir ce corps....

Après un gros effort pour que ses muscles se décident à lui obéir, elle s'approche de la gamine et de la jeune femme. Elle a du recevoir un gros choc.

Eh, vous! On se réveille!

Une claque... une deuxième....

A l'attention de la gamine

Essaye de trouver de l'eau, une bouteille n'importe quoi.

J'ai mal aux mains, c'est comme ci ca brulait la juste au creux de mes paumes...
Essaye de trouver de l'eau, une bouteille n'importe quoi.

Je sais pas si elle à vu la dame, mais j'suis petite moi, j passe même pas la tête au dessus du comptoir et en plus je suis blessée et ca brule...

- Ça brule...

Je me lève époussette ma robe blanche plutôt grise à présent, je tourne la tête pour regarder tout autour de moi mais c'est trop sombre, et la ou ca ne l'est pas c'est des lustres explosé au sol à la lumière vacillante...

- Ça fait mal...

J'ai pas l'habitude de la douleur, jusqu'à maintenant j'ai pas connu ca, j'ai l'impression que les souvenir de la gamine prennent un peu plus de place en moi.. C'est étrange...
Je m'accroupis de nouveau et déchire un bout de ma petite robe, je le tend à la dame...

- Peut être que avec ca et un bisou elle va aller mieux?

C'est papa qui avait l'habitude de faire des bisous sur mes blessures, pour que je guerrisse plus vite, pourquoi ca marcherait pas avec Dilan, ca doit marcher...

Samia regarde un instant la petite fille, ne sachant si elle rigole ou pas. Un bisous, si les bisous pourraient guérir elle serait le médecin le plus réputé de Novlangue à force.

Elle doit faire quoi avec cette gamine, lui dire quoi, elle ne sait pas y faire. Elle se plaint d'avoir mal mais elle n'a que des égratignures, surement un truc de mioche, se plaindre pour tout et n'importe quoi.

Samia pose une main maladroite sur l'épaule de Meredith. Tentative grotesque pour la rassurer.

Ce n'est rien, ca va passer, par contre je ne pense pas que les bisous puissent la réveiller.

Elle retire sa main rapidement, elle aurait du ajouter "désolée" peut être. Non elle ne l'es même pas, pourquoi elle le serait d'ailleurs.
Après avoir réussi à se relever, non sans grimace et gémissement de douleur, Samia passe derrière le bar en quête d'eau.

Continue de lui parler, si elle entend une voix familière peut être...

Elle laisse sa phrase en suspend alors qu'elle brandit une bouteille pleine d'un liquide transparent.

J'ai trouvé!

Elle revient vers la mioche et l'autre femme tout en ouvrant la bouteille. Cette odeur. C'est de l'alcool et il a l'air fort, tant pis. Par contre, Samia espère qu'elle n'a pas de blessure trop profonde, ca pourrait lui faire très mal.

Elle s'accroupit devant Dilan et lui verse un peu "d'eau" sur son visage faisant quand même attention que rien ne coule dans ses yeux.

J'y crois pas comment il m'a balayé l'autre ! D'un coup de bras !

Un sacré coup à mon honneur !
Qui revienne un peu à armes égales, j'vais m'le farcir l'aut' fumant là !

J'ai honte... Ridiculisée. Il était tout chétif en plus...

Je suis par terre... Je le mérite.

J'y reste. Qu'on m'oublie un peu...
La mioche servira de casse-croûte...
Les deux autres y joue avec de t'façon...

J'y crois pas !! Elle est encore là... Et déjà elle chouine.
Maman, bobo !!
Et moi ?! Tu crois que j'me dore la pilule !!

Y en a une des deux qui est là aussi...
Foutez-moi la paix. Je reste là...

Elle me tarte, j'y crois pas !!
Tu me le paieras, garce...

Qu'est-ce qu'elle veut faire avec de la flotte ?

Elle en a rien à foutre la gnome. Elle geint encore...

C'est quoi "ça" ?
Garde tes bisous va. La bave ça à jamais soigné un homme...

L'autre est aussi gavée par la naine on dirait. Hé hé !

'Tin, mais qu'est-ce que ça va changer qu'une voix de pinson me vrille les oreilles ?!
Je suis pas sauvée avec vous deux...

Elle a trouvé un truc l'autre... Sa flotte ?

Je l'entends traîner du pied... C'est celle qu'on a déterré. Et l'autre ?

Fffupwwaaaa !!!

Mais c'est quoi son eau !! Ca brûle en plus !
Je vais me servir d'elle comme bélier contre l'autre tonsé si c'est ce qu'elle veut !

Pwouaa !

C'est quoi que vous m'avez mis dessus ?!

De l'alcool !! Ah ouais super !
Manque qu'une allumette et pis j'vous sers de torche c'est ça ?!
C'est dans la bouche que ça va !

Je préfère le boire...

Donne-la moi c'te bouteille tiens.
Que j'me dessoude un peu.

Mmm...

Merci.

Ouais je suis quand un peu cassée aussi... Mal au dos.
Je dois m'être bien râpée le dos contre toutes les conneries par terre.

On devrait aller se trouver une cachette avant qu'il revienne...
Bon sang c'était qui celui-là...

Vous pouvez marcher toutes les deux ?

Elle a qu'une égratignure la naine...

En fait je veux bien reprendre la bouteille... Merci.
Mérédith, ton bout de robe.

Viens-là.
Ca va piquer, je suis désolé. Mais c'est pour guérir plus vite.

Enfin on fait avec ce qu'on a... Parce que c'est pas terrible non plus...

Sois courageuse. Je verse.

Voilà. Un petit bandage maintenant. Et un noeud.
Va pas la mettre n'importe où hein !

L'alcool n'était pas une bonne idée enfaite, mais apparemment la jeune femme préfère finir la bouteille autrement. Au moins, son idée a eu le mérite de l'avoir réveillée.

Elle regarde Dilan soigner la gamine, ce n'est pas vraiment le moment de la soigner, peut être partir d'ici, quitter ce lieu tant qu'elles le peuvent encore.
Samia ne dit aucun mot, elle regarde juste comment la femme agit avec la mioche. Elle aurait du savoir ca, toutes les femmes devraient le savoir. Elle se retourne régulièrement pour vérifier que l'autre malade mystique ne soit pas de retour. Ses yeux trahissent son inquiétude.

Dites, vous ne voulez pas bouger par hasard? Je ne sais pas si vous avez remarqué mais c'est de plus en plus dangereux ici, vous pourriez finir de soigner les petits bobos plus tard.

Un autre regard inquiet derrière son dos.

Je ne sais pas où il a emmené Claudia et je n'ai pas trop envie de le savoir.

Elle se lève difficilement, regarde autour d'elle en pensant peut être trouvé une arme de fortune, tenter de se défendre. Mais elle se ravise et avance lentement en direction de la porte, a quoi bon essayer de se défendre, elle ne pourrait même pas l'approcher.

Dilan elle se réveille, et même qu'elle braille alors que moi ma main tout le monde s'en fiche... Après tout c'est qu'elle a fait des bêtises si le monsieur l'a puni non?

Je sais pas trop, elle à pas l'air contente que la dame lui passe de l'eau sur le visage, et puis après elle boit l'eau qu'a une drôle d'odeur...

Elles sont vraiment étrange ses femmes... J'ai envie de partir, je devrais peut être non..
Tiens elle a l'air calmé, et elle veut me soigner me dit d'être courageuse, si elle me dit ca c'est que c'est sensé me faire mal, c'est jamais facile de jouer la comédie sur la douleur, vu que en théorie je ne l'ai jamais connue, ou très vaguement...

Mon petit bout de nez se retrousse légèrement, mes yeux se remplissent de larme, mais je dirais rien, même pas un aie... non je dirais rien...
Elle passe un bandage sur ma main, j'ai toujours mal, son eau s'en ai pas j'en suis sur.. Elle a fait exprès de me faire mal? Je recule méfiante et glisse ma main dans celle de Samia je veux partir de la moi...

- Venez..

[Vers la piscine les filles? ]

**PNJ** **L'Ecclésiaste** Age : 134 Fan Club RP : 0

Mérédith n'arrivera jamais à la piscine.
L'Ecclésiaste l'a emporté, comme les autres.

Il ne reste que Samia. La dernière qu'il emportera.
Entre elle et la porte béante, L'Ecclésiaste.

Brume, chaleur, lumière rouge, Samia connait, elle a déjà été touché du doigt par lui, L'Ecclésiaste.
Cette fois, c'est sera peut-être différent. Peut-être aura t’elle un peu moins mal ? Non, L'Ecclésiaste n'est pas ici pour faire l'aumône, il est venu punir les transgressions.

Samia est violemment agenouillée par une force invisible, cette même force qui l'oblige à s'incliner, visage au sol, bras étendus devant elle.

Ton châtiment sera à la hauteur de tes vices, chienne des chiennes.

La force empoigne Samia et la relève brutalement, elle lui enserre la gorge
Samia étouffe, l'air ne passe plus, le sang ne circule plus vers le cerveau
Elle vacille, elle devient rouge comme la brume
Et puis la force desserre son étreinte, mais ce n'est pas terminé
Elle soulève Samia et la plaque contre le mur, ses pieds touchent à peine le sol, juste par leurs pointes.

Immobilisée, Samia n'est plus qu'un mannequin entre les mains de l'étrange force.
Elle effleure son corps, le frôle et puis, les effleurements sont remplacés par de véritables caresses,
Son visage, son cou, ses seins, son ventre, son sexe
La force déchire les vêtements et continue à jouer avec le corps de la femme dénudée.

Si un témoin assistait à la scène, il verrait sa peau subir les caresses et se déformer, s'enfoncer, s'étirer...

Samia peut-elle ressentir du plaisir ?

L’Ecclésiaste ne bouge pas, son bras est pointé vers Samia, sa main la désigne.

Coupable

Samia sert la main de la petite fille dans la sienne, étrange sensation que peut provoquer la peau douce d'une enfant, rassurant. Cette responsabilité qui vous accable, protégé cette être fragile et, en quelques instants, sa propre vie n'est plus la seule préoccupation. Elle suit Dilan qui passe à travers un mur éventré. Alors qu'elle voit Dilan s'installer dans le transat, Samia n'a pas le temps de passer le mur que déjà cette sensation d'apaisement s'évanouit, la petite main dans la sienne n'est plus. Elle regarde à côté d'elle, la gosse a disparu.

Le rouge autour d'elle... Elle entend la voix de Dilan de l'autre côté sans comprendre le sens de ses paroles. C'est lui, il est là!

Elle regarde partout, le cherche alors que ses entrailles se tordent déjà de peur. Elle prend une profonde inspirations, elle ne doit pas avoir peur. Il ne peut rien contre elle.
C'est une Valkyrie, femme de plaisir et avec la bénédiction du gouvernement.

Elle le voit devant elle, un petit instant, tout petit instant avant de tomber à genoux, comme si des mains l'avaient attrapés pour la placer ainsi.
A genoux, les mains en appuis sur le sol. Ses cheveux tombent en cascade autour de son visage baissé. Ce visage grimaçant sous la douleur. La douleur de sa cheville blessée ou la douleur dans son orgueil. Probablement un peu des deux.

Elle veut crier, mais un étau s'empare de son cou, serrant son étreinte toujours plus. Ses mains cherchent à attraper, se battent, mais contre qui, contre quoi. Elle ne sent que sa propre peau, son cou mais rien qui ne le sert, rien contre quoi se défendre. Elle sent la force la quitter, l'envie aussi, quand il desserre enfin elle prend une grande inspiration, tousse, tente de calmer ses tremblements, mais il ne lui en laisse pas le temps.

Elle subit ce châtiment étrange, châtiment qui donne tout son sens à son rôle de poupée au sein des Valkyries. Pourtant jamais elle n'avait subit pareille torture, ce sentiment d'être touchée au plus profond de son intimité. De n'être plus rien d'autre qu'un tas de viande difforme à la merci d'une force étrange. Elle se sent mal, elle se sent sale. Jamais aucune pratique de ses clients ne lui avaient fait un tel effet, et pourtant.

Elle répète en murmurant, plus pour elle même

Coupable...

Les yeux fermés, un mélange de peur, de douleur et d'excitation. A t-elle le droit de ressentir? Ils ont pourtant inhibés tout plaisir en elle, elle ne doit pas ressentir. Elle en a pas le droit.

Coupable....

Coupable de plaisir, oui elle a pensé à son propre plaisir. Elle pense encore à son propre plaisir....

Coupable...

Est-ce là le goût de la mort?
Elle aurait aimer ce faire emporté par la mort plus vite....

Mérédith se trouve dans la Zone Psychiatrique

**PNJ** **L'Ecclésiaste** Age : 134 Fan Club RP : 0

Oui, elle sent le plaisir monter en elle, entre ses cuisses, au fond de ses chairs
L'étrange force poursuit son œuvre de caresses en caresses, jusqu'à...
Samia tremble et se cambre, pince ses lèvres, ferme les yeux...

Ça suffit !

L’Ecclésiaste baisse le bras
La force abandonne Samia qui s'effondre par terre.

L'Ecclésiaste s'approche d'elle, tout près
Il s'accroupie et colle son visage contre le sien
Il la regarde dans les yeux intensément

Tu as aimé
Tu n'es rien ! Juste un pantin entre mes mains...
Et tu dois expier.

Il pause sa mon sur sa cheville blessée et serre... serre... si fort que la douleur devient insupportable.

Samia s'évanouie.
L'Ecclésiaste l'emporte.

Samia a disparu.

Samia se trouve dans la Zone psychiatrique

*Non mais il faut dire ce qui est... ça c'est exactement le genre de scénario, d'un bon vieux film gore, où y a un idiot qui dit au début "Bon les gars... On va se séparer. Ils pourront pas tous nous tuer si on est pas ensemble. Et si quelqu'un se fait attaquer, il hurle, comme ça les autres sauront qu'il faut éviter cette zone !" C'est sûr quand y a un seul type qui ouvre sa grande gueule, t'as un troupeau de mouton derrière. Sauf que le type en question, il aurait mieux fait de la fermer. A quinze contre un, ça va mieux qu'à quinze fois un contre un... Surtout que pour changer, tout ceux qui se font dégommer ont la sale manie d'être tétanisé au point de même pas pouvoir sortir une putain de syllabe... On va tous crever... C'est moi qui te le dit. On sait même pas d'où il sort cet abruti là. On aurait mieux fait de rester se planquer dans un coin de table avec le pistolero de la chambre...*

Bonjour les vieux réflexes! Si on arrête de respirer, de bouger et qu'on ferme les yeux fort, fort, fort, on peut devenir invisible. Si, si, on peut... La preuve, l'autre type là, il n'a pas vu Mike... Bon évidemment, c'est pas vraiment une technique apprise au camp ou chez les insurgés... Mais ça marche comme ça peut. Par contre la question, c'est qu'est ce qu'on fait ensuite. Miki est retombée dans les vapes, l'assistance se fait kidnapper doucement mais sûrement par l'autre furieux, et ce pauvre vieux Mike n'a jamais appris le plan d'évacuation en cas d'incident de ce genre. En plus, il vient même de se faire abandonner par Conscience qui a du tomber dans les pommes, ou se faire dessus. Peut-être même les deux en fait. On l'entends plus du tout.

*Mike arrête de réfléchir, il faut juste se tirer d'ici avant que l'autre ne rapplique de nouveau!*
*Oh ben t'es revenu toi ?*
*Cause toujours... Tu ferais mieux de m'écouter. Attrape Miki et barrons nous d'ici par la porte la plus proche...*

Regard circulaire sur ce qu'il reste de la pièce, calcul rapide des distances. La porte la plus proche de leur situation actuelle...
*Les cuisines*
*Ah ouais bonne idée, on trouvera peut-être même de quoi faire du saucisson de kidnappeur !*

Il prends sa jumelle dans ses bras, et cours aussi vite qu'il peut vers les portes, sans se retourner, en priant de toutes ses forces, que le hurleur ne s'amène pas justement par ces portes là, cette fois ci...

[A la recherche d'un couteau pointu !]

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